Séjour à Cabourg 2/2

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Séjour à Cabourg 2/2Comme convenu avec Rayan c’est Quentin le troisième larron qui le midi suivant fait le service à ma table.A chaque fois qu’il me sert une boisson ou un plat je l’allume ce qui le fait rougir et devenir maladroit ce qui m’amuse.Quand il m’amène le dessert nous convenons du lieu où nous devons nous voir.Assise sur un banc je l’attends, quand je le vois arriver je constate qu’il ne s’est pas éternisé dans le restaurant une fois son service terminé.Je le questionne et apprends qu’il loge dans un petit studio sous les toits.Nous nous y rendons, il faut monter des étages en empruntant des escaliers très raides.Le studio est petit, peu meublé et vétuste, comme l’immeuble.Comme d’habitude je prends l’initiative.Je l’enlace et je me colle contre lui et fais bouger mon ventre contre le sien.Je pose mes lèvres sur les siennes, il répond timidement à mon baiser mais quand il s’y met sa langue se mêle fougueusement à la mienne, elle pénètre profondément dans ma bouche.Je le caresse par dessus les vêtements, à mon invitation il en fait autant sur moi et pose partout ses mains sur mon corps.Je me recule et retire mes vêtements puis me plantant devant lui je dis:<>.Il n’ose pas regarder franchement et bredouille.<>.<>.<>.<>.Je m’approche de lui et le déshabille.Lui aussi est très peu poilu donc bien jeune.Il est gêné et rougit, une fois nu sa queue qui était en érection a perdu de sa superbe, c’est encore timide à cet age.Je m’installe sur le lit qui craque et l’invite à me rejoindre.Quentin s’allonge à côté de moi et de nouveau nous nous embrassons.Nous nous caressons partout pendant un moment.Je me mets à genoux à l’inverse de lui, présentant mes fesses vers son visage.Je caresse son ventre, ses cuisses puis sa queue que je trouve mignonne et qui est bien érigée.Puis tout en caressant ses bourses j’embrasse et lèche son membre.Il reste immobile se laissant faire, je lui demande de participer. <>.Pendant que je recommence à embrasser, lécher sa verge puis suçoter et aspirer le gland il commence à caresser mes fesses puis mes cuisses avant de passer timidement sa main sur mon intimité.Après un moment je prends sa main et la mets contre ma chatte.<>.Je frotte ses doigts contre mon bouton pour lui montrer l’endroit.Pendant qu’il fait maladroitement ce que je demande, illegal bahis j’enfonce sa belle queue dans ma bouche et tout en triturant ses testicules je lui fais une fellation avec d’abord des aller-retour de ma bouche lents puis plus rapides.La pipe ne dure pas longtemps, il gémit et son corps bouge sur le lit.Rapidement sa verge gonfle encore dans ma bouche puis s’y agite envoyant des jets de sperme dans ma gorge.Comme d’habitude j’avale la semence et continue à sucer bien qu’il se tortille de nouveau.Avec ce que je lui fais il bande toujours.J’abandonne la queue et je me couche sur le dos.<>.J’écarte les jambes puis il vient se mettre sur moi après avoir jeté un coup d’oeil appuyé sur mon intimité ouverte et offerte.Je le laisse galérer pendant qu’il essaye de me pénétrer puis je prends sa verge dans une main et la positionne à l’entrée de ma grotte.Le corps toujours raide il se couche sur moi et je sens sa queue s’enfoncer dans ma chatte.Il commence à donner des coups de reins mais donne trop d’amplitude à ses mouvements, son membre sort de mon ventre.Le pénis de nouveau enfoncé dans mon corps il donne des coups de reins plus mesurés.Après quelques minutes je fais bouger mon bassin en rythme avec lui.Les craquements du lit sont agaçants et cassent le charme de notre relation sexuelle.Nous remuons de concert pendant un petit moment puis il se soulage dans mon vagin.Une fois qu’il s’est retiré et tenant avec les doigts d’une main ma chatte fermée je vais au lavabo me nettoyer.Il reste assis sur le lit pendant que je me rhabille.Nous échangeons quelques mots puis je sors de la chambre après l’avoir embrassé sur les lèvres.Mon séjour touche à sa fin, demain c’est le départ.Je discute avec les trois serveurs pendant une de leurs poses.<>.<>.<>.<>.<>.<>.<>.<>.Ils sont désorientés ne s’attendant pas à ça.Nous nous retrouvons dans la chambre de Quentin qui est proche de l’hôtel restaurant.La pièce n’est pas bien grande et meublée pauvrement mais seul le lit nous intéresse.Les trois jeunes hommes restent là ne sachant pas quelle attitude prendre.Je me déshabille pendant qu’ils ne peuvent pas détacher leurs regards de mon corps qui se dévoile.Debout illegal bahis siteleri et nue je les toise, pas un d’entre eux n’a bougé.<>.<>.<>.Timidement ils retirent leurs vêtements tout en s’observant gênés de se mettre nus devant les autres.Je me mets à genoux sur le lit.<>.Je sais que le lit ne va pas arrêter de grincer mais je ne vois pas comment faire autrement.Les trois jeunes me rejoignent.Comme ils sont empruntés je les dispose de façon à pouvoir m’occuper des trois en même temps.Je les embrasse tour à tour tout en caressant les queues en essayant de faire la même chose à chaque compère.Eux caressent mes seins, agacent les tétons que l’un deux tord et pince me faisant sursauter car c’est un peu douloureux.Des mains sont entre mes cuisses, caressent ma chatte puis des doigts la pénètrent et la fouillent sans ménagement.Avec une main je saisis un doigt d’un des hommes et le positionne contre mon anus.Il a compris, le doigt s’enfonce dans mon cul et y fait des aller-retour ainsi que divers mouvements pour l’agrandir.De nouveau je prends l’initiative.A genoux je lèche puis suce sans insister les queues une par une tout en masturbant doucement les autres.Je fais durer pendant un bon moment pour bien les exciter.Pendant que mon corps est beaucoup peloté sans ménagement et que mes orifices sont doigtés je passe ensuite à la fellation appuyée.J’enfonce au maximum la verge que je suce dans ma bouche et je fais des aller-retour rapides tout en m’occupant avec les mains des deux autres pénis.Je n’oeuvre pas bien longtemps avant que ma gorge reçoive des jets de sperme que j’avale avant de sucer une deuxième queue qui subit le même sort avant que je ne passe à la troisième.Pas de jaloux, les trois compères ont rapidement et chacun leur tour éjaculé dans ma bouche.Je reste à genoux sur le lit et je demande à Rayan qui bande encore parfaitement de se mettre derrière moi et de me prendre en levrette.Pendant qu’à coups de reins, les mains agrippées à mes hanches, il fait aller et venir sa grosse queue dans mon intimité je suce et masturbe la verge des deux autre jeunes sans les amener à la jouissance.Il ne se passe pas beaucoup de temps avant que je ne sente le pénis tressauter dans ma chatte et y déverser du sperme.Il se retire aussitôt remplacé par Lucas de me pénétrer, j’apprécie les va-et-vient canlı bahis siteleri de son membre dans ma chatte pendant que je masturbe et suce la queue gluante de Rayan et que je maintiens celle de Quentin en érection.Il ne cherche pas à faire durer le coït et se soulage dans mon ventre.C’est au tour de Quentin de prendre du plaisir, avec mon aide il enfonce sa verge dans ma grotte puis commence à bouger.Je continue à m’occuper avec les mains et la bouche des deux autres pénis.Quentin met un peu plus de temps avant d’arroser mon vagin.Rayan et Lucas sont en érection.Je demande à Lucas de se coucher sur le dos puis je me mets au dessus de lui, avec une main je positionne sa verge à l’entrée de ma grotte dans laquelle elle s’enfonce quand je me baisse.Obéissant à ma demande Rayan se positionne derrière moi, je l’aide à mettre sa queue contre mon anus puis les mains agrippées à mes hanches il exerce une poussée pour faire pénétrer son membre dans mon corps.Les deux hommes se mettent à bouger, surtout Rayan, faisant aller et venir leurs pénis dans mes orifices.Au début leurs mouvements sont désordonnés puis ils arrivent à les coordonner.J’apprécie les sensations que je ressens tout en essayant de remettre Quentin en forme.Ils me défoncent pendant un bon moment avant de se laisser aller et de se soulager dans mon cul puis dans ma chatte.Une fois qu’ils se sont retirés je me couche sur le dos, je replie mes jambes et et les écarte puis j’invite Quentin à s’allonger sur moi. Avec mon aide il introduit sa queue dans mon anus puis se met à me défoncer.Ses collègues sont spectateurs, je ne m’occupe pas de leur membre ramolli et flaque qui pend entre leurs jambes. A force de me faire défoncer le plaisir dans mon ventre devient trop fort et prise de spasmes je jouis, des jets de cyprine s’échappent de mon vagin au grand étonnement de Quentin qui arrête de me défoncer.<<ça ne va pas, qu'est ce qui t'arrive, tu as mal>>.<>.Il recommence à donner des coups de reins et fait aller et venir sa queue dans mon cul pendant un moment avant de s’y soulager de son sperme.Une fois qu’il s’est retiré je me lève et vais me nettoyer au lavabo.Je remets mes vêtements, voyant cela les trois jeunes se rhabillent.<<ça vous a plu>>.<>.<>.J’embrasse les trois compères chacun leur tour puis je sors de la chambre avant de quitter l’immeuble.Le soir au repas les trois jeunes font le service en salle, leurs regards sont souvent tournés vers moi mais la présence de mon mari les empêche de venir me parler en dehors de ce qui est nécessaire pour le service.Ils savent qu’en principe ils ne me reverront jamais mais garderont un bon souvenir et j’en suis sure vont raconter à leurs amis ce qui leur est arrivé.

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Verleih meiner FrauMeine erste Frau ( vor mehr als 30 Jahren ) war im Bett eher langweilig und mehr als päpstlich sanktionierter Blümchensex war selten angesagt. Zu dieser Zeit spielte ich noch in Freiburg Volleyball und war regelmäßig am Wochenende unterwegs. An einem Wochenende spielten wir in Friedrichshafen am Bodensee und sie begleitete mich. Nach dem Spiel gingen wir am Ufer Essen. Sie hatte eine weiße, knallenge Hose an, die ihren knackigen, runden Arsch schön betonte. Die rote, enge Bluse hatte sie etwas aufgeknöpft, so dass man ihre 75 c Brust gut erkennen konnte. Mit den roten Heels und ihren langen braunen Haaren war sie ein echter Hingucker. Wir ergattern in unserem Hotel noch ein Tischchen auf der Terrasse und bestellten eine Flasche Sekt und unser Essen. Am Nachbartisch saßen 3 Herren mittleren Alters, die ich auch schon beim Spiel gesehen hatte, die kaum die Augen von meiner Frau lassen konnten. Wir tranken unsere Flasche Sekt zügig und waren bald etwas angetrunken. Nach dem Essen bestellten wir noch eine Flasche Rotwein und erfreuten uns an dem herrlichen Sonnenuntergang. Kurz bevor wir die Flasche Wein leer hatten, mußte meine Frau auf die Toilette. Sie ging mit leicht unsicheren Schritten ins Hotel. Einer der drei Herren vom Nebentisch setzte sich zu mir und fragte, ob er und seine Freunde uns noch auf einen Absacker in die Hotelbar einladen dürfte. Ich sagte zu, da wir eh mit dem Essen fertig waren. Als meine Frau zurück kam und erfuhr dass wir eingeladen wurden, sagte sie erfreut zu.In der Bar setzten wir uns in eine Ecke und tranken Tequila illegal bahis Sunrise. Während zwei der Herren meine Frau unterhielten und ihr laufend Komplimente machten, nahm der andere mich auf die Seite und sagte, dass er mir ein Geschäft vorschlagen will. Er und seine Freunde würden sich gerne für heute Nacht meine Frau gegen ein Entgelt ausleihen. Als Leihgebühr hätten sie sich 500 DM vorgestellt. Sie hätten auch ihre Zimmer in dem Hotel. Ich war etwas verblüfft und schaute wohl entgeistert. Er sagte, wenn es zu wenig ist, dann könnte man auch noch erhöhen. Ich überlegte kurz und sagte, für 800 DM und ich darf zuschauen. Er ging kurz zu seinen Freunden, flüsterte ihnen etwas ins Ohr und nickte mir zu. Ich ging zu meiner Frau und sagte, dass wir noch einen Absacker bei einem der Herren auf dem Zimmer nehmen und dann in unser Hotel sollten, da sie doch ein bisschen stark angetrunken sei. Sie lachte und meinte, dass sie uns alle unter den Tisch trinken würde. Kurze Zeit später waren wir in einer großen Suite und tranken Sekt. Ich setzte mich in einen Sessel an der Seite, während meine Frau ziemlich aufgedreht die Männer unterhielt. Auf die Frage ob ihre Titten echt sind lachte sie und öffnete sie ihre Bluse und sagte, er könne ja mal schauen. Einer der Männer umfasste sie von hinten und massierte ihre Brüste. Nach kurzer Zeit holte er sie aus dem BH heraus und sagte zu seinen Freunden, was meint ihr? Hmmm das sollte man auspacken um es richtig beurteilen zu können. Sie zögerte kurz, dann zog sie ihre Bluse aus, öffnete den BH und meinte, so, was sagt ihr jetzt. illegal bahis siteleri Sehr schön, waren die Kommentare, aber den Rest wollen wir auch noch begutachten. Nee, nee, meinte sie. Aber einer der Jungs stand hinter ihr und öffnete die Hose. Sie wehrte sich etwas, war aber zu angetrunken. Kurze Zeit später hing die Hose an den Knöcheln. Als sie weiterlaufen wollte stolperte sie und fiel bäuchlings aufs Bett. In kürzester Zeit hatte die Jungs ihr die Schuhe und die Hose ausgezogen. Da lag sie nun in ihrem roten Spitzenschlüpfer und streckte den Hintern in die Höhe. Die Jungs drehten sie auf den Rücken und zogen ihr auch den Schlüpfer noch aus.Einer der Männer legte sich zu ihr und versuchte mit ihr zu knutschen. Nach anfänglicher Gegenwehr erwiderte sie seine Küsse heftig. Die beiden anderen zogen sich aus und legten sich ebenfalls aufs Bett und bearbeiteten ihre Titten und ihre rasierte Fotze. Sie muss scharf wie Harry gewesen sein, denn ihre Fotze triefte nur so. Kurz darauf forderte der erste meine Frau auf, auf seinen Schwanz zu sitzen. Sie setzte sich auf ihn und er rammte seinen Schwanz tief in ihre nasse Fotze. Sie stöhnte und trieb ihn an. Einer stellte sich vor sie und wollte, dass sie seinen Schwanz bläst. Da sie nicht wollte, nahm der dritte den Kopf und öffnete ihren Mund, damit der andere seinen Schwanz in ihren Mund schieben konnte. Sie wehrte sich, hatte aber gegen die 3 Männer keine Chance. Nach kurzer Zeit war der Widerstand gebrochen und sie nahm den fetten Schwanz in ihren Mund und saugte ordentlich daran. Kurze Zeit später canlı bahis siteleri hielt er ihren Kopf fest und spritzte eine Monsterladung in ihrem Mund und über ihrem Gesicht ab. Auch der andere war soweit und jagte seine Ladung in ihre Fotze. Sie rollte sich auf die Seite und wollte vom Bett runter. Aber der dritte Mann setzte sich auf ihren Schenkel, hob ihr Bein an und rammte seinen Schwanz in die vor Sperma triefende Fotze. Er nahm eine Brustwarze zwischen die Finger und knetete diese so hart, dass sie stöhnte. Er störte sich nicht daran und fickte sie immer härter in ihr wundes Loch. Kurz bevor er kam, zog er seinen Riemen heraus, setzte sich auf ihre Brust, nahm ihren Kopf hoch und fickte sie tief in ihren Mund. Sie wurgste, aber er schob seinen steifen Pimmel immer tiefer in ihren Rachen bis  er abspritzte. Als er seinen Schwanz herauszog sabberte sie und ein bisschen Sperma kam auch heraus.Sie wolle auf die Toilette meinte sie und wankte ins Bad. Einer der Jungs half ihr dabei. Als fertig war, führte er sie heraus und meinte, so jetzt ist sie bereit für den abschließenden Arschfick. Er führte sie zum Bett, sie kniete sich breitbeinig darauf und die Jungs fickten sie der Reihe nach in den Arsch. Sie genoss es offensichtlich, da sie stöhnte und einen nach dem anderen Orgasmus hatte. Als die Jungs sie abgefickt hatten, bekam ich mein Geld und sie bedankten sich bei meiner Frau für den geilen Abend. Sie bedankte sich auch für den geilen Ficks, die man gerne wiederholen könnte. Da war ich dann doch überrascht.In unserem Zimmer angekommen, blies sie mir auch noch einen und ich fickte sie in ihre spermatriefende Arschfotze. Wir waren noch einmal so unterwegs, bevor wir uns dann wegen meiner Bi Neigung getrennt haben. Sie konnte nicht damit umgehen, dass ich einen passiven Arschfick auch genießen kann.

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Die sadistische Nichte 3

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Die sadistische Nichte 3Im ersten Moment nahm ich ihre Frage gar nicht bewusst wahr. Ich spürte aber, dass sie ihren Unterleib gegen meinen presste, sie an mir rieb. Ich wälzte mich von ihr runter, lag keuchend neben ihr auf dem Bett. Sie krabbelte auf mich rauf und was ich nicht wollte, machte sie natürlich. Sie rutschte so hoch, dass ich ihre Spermaverschmierte Möse vor dem Gesicht hatte – und dann im Gesicht. Sie rieb sich an mir und ich schmeckte ihren geilen Fotzensaft, aber auch meinen eigenen Samen! Ecklig und geil zugleich!Rasch stand sie auf und verschwand ins Bad. Ich erholte mich langsam, stand auf, und ging mit einem Glas Wasser auf den Balkon hinaus. Sie kam auch raus, hatte den Bademantel an, presste sich von hinten an mich und kneifte mich in die Brustwarzen. Ich griff hinter mir und gleich an ihren Hintern, der Bademantel war offen. «War das vorhin ernsthaft gemeint?» fragte ich, während ich an ihrem Arsch fummelte. «Ich muss doch wissen, ob du nur brauchbar bist, wenn du lange nicht abspritzen darfst oder auch sonst.» Ich drehte mich um, packte ihre Brüste mit meinen Händen und drängte sie zurück ins Zimmer. Sie packte meine Eier und war erstaunt, dass mein Schwanz schon wieder halbsteif war. «Oha!» war ihre Reaktion, während sie rücklings aufs Bett fiel. Ich spreizte ihre Beine und presste meinen Mund auf ihre Möse. Rasch leckte ich sie mit spitzer Zunge, drückte einen Finger in ihr Fickloch, einen anderen in ihren Hintern. Sie keuchte, als ich sie so fickte, schloss die Augen, massierte ihre eigenen Titten. Mit Schwung drehte ich sei auf den Bauch, spreizte ihre Arschbacken und steckte zwei Finger in ihren Arsch. Nun fing sie an sich zu wehren. Doch ich liess ihr keine Chance, setzte mich auf ihre Oberschenkel und fingerte sie weiter. Dabei wichste ich meinen Schwanz, bis ich wieder hart wurde. Ich stand auf, zog sie an den Hüften hoch, so dass sie vor mir auf dem Bett kniete. Die Höhe stimmt nicht schlecht, so dass ich ohne Verrenkungen meinen Schwanz in ihrer Möse versenken konnte. Langsam bewegte ich mich, genoss jeden Stoss, massierte dabei ihren geilen illegal bahis Arsch. Langsam steigerte ich das Tempo, da ich aber schon gespritzt hatte, ging es recht lange. Offenbar hatte es an der Türe geklopft, meine Nichte zuckte zusammen. Ich hatte das klopfen nicht gehört und fickte weiter. Plötzlich stand eine ältere Dame vom Zimmerservice im Raum, auf den Armen Bettwäsche. Während meine Nichte versuchte, sich aus meinem Griff zu befreien und sich zuzudecken, machte ich weiter. Nach einigen Sekunden grinste die Frau, zwinkerte mir zu, schaute nochmal auf meinen harten Schwanz, der in der Fotze vor mir steckte und ging rasch hinaus.Während die Kleine irgendwas fluchte, machte mich diese Situation geil. Ich spürte, wie meine Eier sich zusammenzogen, es war wie Muskelkater, es schmerzte richtig, und schon spritzten Tropfen in die nass-glänzende und weit geöffnete Möse vor mir. Ich drückte den Schwanz nochmal ganz tief rein, presste mich an sie, und genoss die feuchte Wärme an meinem Schwanz. Die Samentropfen klebten an ihrem Loch, flossen an ihren Oberschenkeln hinunter. Der Anblick der vor mir knienden Nichte, die rote Fotze, die Spermaspuren – wieso kann man(n) nicht einfach weiterficken….? Nach ausgiebigem Duschen und dem Frühstück war der letzte Tag am Poll angesagt. Ich war von der morgendlichen unerwarteten Action ziemlich platt und pennte gleich wieder ein. Kurz vor dem Mittag weckte sie mich und sagte etwas von Mittagessen. Ich drehte mich auf den Bauch und wollte weiterschnarchen. Dann flüsterte sie mir ins Ohr «Essen oder lieber ficken?» Unglaublich, welche Wirkung solche Worte haben können. Ich war hellwach, murmelte etwas von kurz aufs Zimmer gehen. Sie schnappte sich ihr Badetuch und ich griff ihr kurz zwischen die Schenkel, was sie zum Quietschen brachte. Bevor aber rundherum jemand reagieren konnte, hatte ich meine Hand wieder weggezogen.Bereits im Lift massierte ich ihre Arschbacken wieder. Im Zimmer war die Türe noch nicht ganz zu, lag ich schon nackt auf dem Bett. «Du kannst ja schon mal probieren, ob du wieder hart wirst. Und ich überlege mir, illegal bahis siteleri ob du mich ficken oder nur lecken darfst.» Und schwupps war sie im Bad. Als sie nackt zu mir aufs Bett sprang, hatte ich meinen Schwanz zu ordentlicher Härte gewichst. Sie nahm ihn in die Hand, ihre Finger strichen sanft am Schaft auf und ab und als ich die Augen schloss, fragte sie «Was sagt wohl mein Mann, wenn ich ihm zuhause erzähle, dass du mich gefickt hast?»Ich war hellwach, die Erregung verflog. Ihr Mann war ein ganz lieber Kerl, aber ein kräftiger muskulöser Kerl. Ich könnte mir vorstellen, dass er sauer reagieren würde, wenn er weiss, dass ich in die Möse seiner Frau gespritzt habe. Sie wichste weiter, hielt mir ihren Arsch hin, damit ich meine Hand zwischen ihren Schenkeln vergraben konnte. Während zwei Finger in ihrem Loch stecken, der Daumen die Clit rieb, schaute sich mich an und überlegte: «Ob er wohl böse wird?»Dann setzte sie sich auf mich, mit Schwung, zwischen ihren Beinen schaute mein steifer Schwanz hervor. Sie rieb sich daran, es sah einfach pervers aus, wie eine Frau mit Schwanz. Ich knetete ihre Brüste, die mir irgendwie voller schienen als Anfang Woche. Vielleicht hatten ihnen das Sperma gut getan 😉 «Vielleicht ist besser, wenn ich dich nicht mehr abspritzen lasse. So wegen meinem Mann.» Ich wollte das nicht mehr hören! Vor allem nicht, wenn ich kurz vor dem Abspritzen war, und sie mit ihrer Fotze meinem Schwanz rieb. Plötzlich spritzte ich ab, es kam tatsächlich noch ein bisschen Sperma, klebte auf meinem Bauch und an ihren Schamhaaren. Sie schaute mich enttäuscht an und fragte, ob sie jetzt nicht mehr kriegen würde. «Was willst du denn?» war meine Antwort, während ich kurz ins Bad ging. «Naja, du kannst jetzt eh nicht mehr ficken. Dein Schwanz wird sicher nicht mehr hart. Also bleibt wohl nur lecken.» Sie lag mitten auf dem Bett, die leichte Decke halb über sich gezogen. Ihre Brüste waren unbedeckt, die rosa Nippel standen aufrecht ab. Zwischen der weissen Decke und ihren Schenkel konnte ich ihre Möse erahnen, die Schamhaare waren ein wenig zu sehen. canlı bahis siteleri Sie spreizte ihre Beine, eine Hand glitt zwischen ihre Schenkel. Ich stand einfach vor dem Bett, schaute ihr zu, wichste langsam meinen schlaffen Schwanz. Sie rieb sich immer schneller, ihr Keuchen wurde lauter und dann presste sie die Beine zusammen, ihr Becken hob und senkte sich rhythmisch, und es dauerte einen Moment, bis ihre Atmung wieder einsetzte. Mit leicht glasigem Blick schaute sie mich an. «Das wirst du zuhause nicht mehr kriegen.»Ich konnte bei aller Geilheit und der riesigen Lust, meine Nichte zu vögeln, keinen harten Schwanz mehr hinkriegen. Ich war geschafft. Ich legte mich neben sie aufs Bett, meine Hand glitt zu ihrer Möse, meine Lippen saugten sich an ihrer Brust fest. Ich strich über ihren Bauch, berührte sie überall, küsste ihren Hals und flüsterte ihr ins Ohr, sie sei die versauteste Frau, die ich kennen würde. Und so dauergeil wie sie, sei wohl auch keine andere Möse. Sie grinste nur, genoss meine Berührungen. Ich schaffte es an diesem Mittag tatsächlich nochmals, dass sie kam. Ruhig, gemütlich, sanft bearbeitete ich ihren Schlitz. Bis sie kam… ruhig, leise, völlig entspannt. Ich werde das vermissen zuhause.Der Abend verging viel zu schnell. Nochmals ein kurzer Spaziergang ans Meer, dann packen, denn um 6 Uhr wurden wir bereits abgeholt. Da lief nichts mehr. Als der Wecker losging, ich im Halbschlaf aus dem Bad zurückkam, sass sie noch leicht verwirrt vom brutalen Wecken auf dem Bett. Ich zog sie hoch, umfasste ihren Arsch und schob sie ins Bad. Ich dachte mehrmals, dass ich diese Ferien wohl nie vergessen würde.Kurz vor der Landung griff sie unauffällig in meinen Schritt, schaute mich an, sagte «Danke!» und meinte, ich hätte mich brav geschlagen dies Woche. Sie geniesse es, Macht über jemanden zu haben, ihn zu manipulieren oder auch mal zu quälen. Ich konnte das aus eigener Erfahrung voll unterstützen. In der Ankunftshalle wartete ihr Mann auf uns. Wir umarmten uns kurz, er knutsche seine Frau ab. Draussen auf dem Parkplatz, wo unsere Autos standen, verabschiedeten wir uns. «Also, es war toll. Und denk daran, ich werd es meinem Mann heute sagen, dass du mich gefickt und mir auch deinen Samen reingespritzt hast. Ich bin gespannt, was er dazu sagt.» Sie konnte es nicht lassen, mir zuletzt noch einen Hieb zu verpassen…

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Meine Nacht in Nylons und Ketten

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Meine Nacht in Nylons und KettenSeit ein paar Tagen verspüre ich den Drang, mal wieder in der devoten Rolle sein zu dürfen. Das “dürfen” klingt vielleicht etwas komisch, denn ich könnte es meinem Gespielen ja einfach befehlen: “Fessel mich, bestrafe mich, quäle mich innig und liebevoll!” Ich würde mir die Strafe also selbst auferlegen. Gleichzeitig habe ich viele dominante und auch sadistische Fantasien. Und die hatten in den letzten Tagen immer gewonnen. Blöd gell?Gleichzeitig kommen die passiven Fantasien, welche unterwürfigen Spiele ich noch gerne ausprobieren würde oder welche Strafen sich wie anfühlen. Also, in mir wohnen genauer betrachtet sogar mehr als zwei Seelen mit vielen Ideen und Wünschen. Sie sind alle miteinander verbunden und das ist irgendwie auch herrlich, das liefert mir eine Fülle von Ideen.Mittlerweile kann ich damit ganz gut leben und manchmal frage ich den fordernden Teil in mir, was möchtest du eigentlich genau? Und da kommen so grundlegende Dinge heraus, wie geliebt werden, Zärtlichkeit, Aufmerksamkeit und Zuwendung erfahren und noch mehr. Manchmal wird es sehr extrem, vor allem wenn es um Strafen geht. Da ist mir noch nicht so ganz klar, was hier mitspielt. Ist es die andere und ganz bewusste Körperwahrnehmung bei Schmerzen oder anderes. Wie auch immer, ich akzeptiere und liebe auch das an mir. Wichtige Anmerkung: Mittlerweile!Für den gestrigen Abend ging es mir sehr um Nähe mit meinem Gespielen und ich hatte mich mit meinen vielen Seelen für den devoten und submissiven Part entschieden. In diesen Fällen gebe ich meinem Gespielen nur zu verstehen, illegal bahis dass ich in dieser Rolle bin. Den Rest überlasse ich seiner Intuition und dem Fluss der Dinge. Das eindeutige Zeichen für meine devote Rolle ist wie folgt: Ich sitze erwartungsvoll im Schneidersitz, in Nylons und Dessous bekleidet. Wenn ich Wünsche für besondere Methoden oder Strafen habe, lege ich sie vor mich oder, wenn sie mir ganz wichtig sind, halte ich sie in den Händen. Im Endeffekt entscheidet er, was er mit mir macht und ich hatte Glück: Mein Hintern glüht immer noch von seiner ausgiebigen Bestrafung. Er hatte gestern Abend ein ungewöhnlich hohes Strafmaß festgelegt, mein Vergehen war das zweimalige Drehen des Strapons in seinem Hintern um 180 Grad. Ja, ich gebe zu: Das war fies, aber es war einfach zu verlockend. Als ursprüngliche Strafe hätte er am liebsten das gleiche mit mir gemacht.Ich kann das breite Ende allerdings gar nicht von hinten einführen, die starke Dehnung schmerzt mehr als ich masochistisch bin. Er sagt immer, es sei Trainingssache, was ja auch stimmt. Wir kommen nur nie dazu, ich mag seinen Schwanz einfach lieber, und der ist genau richtig für mein Hinterteil. Im Urteil lautet wie folgt: “Als alternative Strafe erhält die Delinquentin 360 Schläge. Aus Kulanz darf das Strafmaß auf mehrere Tage verteilt werden.” Ich weiß nicht mehr, wie viele Schläge es gestern waren. Irgendwann bin ich beim Zählen quasi abgehoben und war in einem wunderbar herrlichen Zustand. Ich bin mehr als geflogen, einfach unbeschreiblich und so intensiv wie lange nicht mehr. Bei all illegal bahis siteleri den “besonderen” Spielen, ist mir Nähe ganz wichtig und mein Gespiele gibt mir immer viel liebevollen Körperkontakt. Sei es mit seinen Händen an meinem ganzen Körper oder noch besser: mit möglichst viel Haut an Haut wo es geht. Als ich aus meinem Höhenflug wieder sanft landete, spürte ich ihn noch intensiver ganz dicht neben mir liegen. Wir kuschelten uns unter die Bettdecke und genossen diese wohlige Zweisamkeit ungemein. Nach einer Weile wurde ich schon wieder extrem heiß, obwohl ich auch einfach hätte schlafen können. In der devoten Rolle ist das mit dem Fordern ja so eine Sache, ich darf ja nicht über ihn herfallen. Ganz vorsichtig nahm ich seine Hand und führte seine Finger an meine feuchte Spalte. Wir schauten uns tief in die Augen. Seine Finger begannen zu spielen und glitten in mich, mal einzeln, mal paarweise, manchmal vermutlich auch mehr…. ich begann lauter zu werden und intensiver zu atmen. Und dann ist es einfach passiert: Ich habe ihn gepackt und auf den Rücken gedreht. Dann umschloss ich seine Handgelenke mit meinen Händen und habe sie ihm nach oben gezogen. “Am liebsten würde ich dich jetzt ans Bett fesseln, aber für die Ledermanschetten habe ich keine Zeit mehr.” Ich hielt seine Armgelenke ganz fest und zog sie nach oben. Meine feuchte Lustgrotte sog seinen Schwanz förmlich ein und behielt ihn in sich. “Komm jetzt bloß nicht! Ich will noch länger mit deinem prallen Zauberstab spielen und bewege dich nicht, ich werde es steuern!” Ich verlangsamte meine canlı bahis siteleri Bewegungen genüsslich und küsste ihn wild und innig wo immer meine Lippen und Zunge ihn spürten. Mein Becken zog sich weit nach oben und wieder zurück, gaaaaanz langsam und immer intensiver spürte ich seinen harten Schwanz in mich rein und raus gleiten. Auf einmal überkam es mich wie aus heiterem Himmel und ich begann zu zucken und laut zu schreien: ” Du darfst!”Alles weitere bleibt der Fantasie des Lesers überlassen. Nur so viel: Ich könnte jede Strafe ertragen, wenn ich es abwiegen würde. Und meine Strafe war gleichzeitig eine Belohnung für mich: Eine Nacht in Nylons und Ketten! Selbst als ich dummerweise in der Nacht auf Toilette musste: Er hat sie nicht abgemacht. Sie duften erst zu Sonnenaufgang geöffnet werden.Er war die ganze Nacht dicht bei mir und hat mich zwischendurch liebevoll gestreichelt und geküsst. Immer wenn ich mich bewegt habe, haben die Ketten ziemlich laute Geräusche von sich gegeben, war aber irgend wie auch geil. Es war ganz klar, dass ich seine Lustsklavin in diesem Moment war und ihm vollständig ausgeliefert, mmmmhhhh…. herrlich! Das Rasseln der Ketten habe ich immer noch im Ohr gerade als ich diese Zeilen schrieb…..Übrigens: Immer wenn ich die Sklavenrolle erleben durfte, kann ich mich als Domina in meinen devoten “Patienten” noch besser einfühlen und seine Schmerzen fast schon miterleben. Häufig wache ich dann die nachfolgenden Nächte durch intensive Träume auf in denen ich ihn mit ziemlich ausgefallenen Methoden quäle. Und es kommt gelegentlich auch vor, dass ich ihn noch im Schlaf ans Bett fessele und alle meine Bedürfnisse an ihm befriedige. Wenn ich es trotz meiner Lust noch schaffe ihm und mir Nylons anzuziehen, komme ich oft schon dabei und genieße dann immer ein zweites Mal… oder mehr 🙂

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Szenen einer Ehe 7 – 13

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Szenen einer Ehe 7 – 13Englands erotische Seiten Es gibt sie noch, die eleganten Damen! – Szenen einer Ehe mit einer reifen Lady – 7 bis 13VII.So hatte ich an diesem Abend unerwartet alle Hände voll zu tun – nicht nur mit Kamera und Scheinwerfer. Denn bald räkelte sich Carla neben Pearl auf dem Sofa. Auch sie hatte sich einen neuen schwarzen Hüfthalter gegönnt, höher geschnitten als der andere und sehr fest gearbeitet. die kurzen Strapsbänder hielten, braune Nylons, die an Carlas Beinen wunderbar schimmerten. Wie immer hatte sie ihren Büstenhalter an. Und es war völlig klar, warum sie meinte, dass jetzt genug fotografiert sei. Schnurrend wie eine Katze forderte sie meine Zärtlichkeit.„Wir dürfen aber nur gestreichelt werden,“ stellte sie klar. Wir, das schloss Pearl zu meinem Vergnü-gen also mit ein. So genoss ich, wieder einmal ein Paar weicher, nackter Brüste in den Händen zu halten und entdeckte, dass Pearl es mochte, am Hintern kräftig angepackt zu wer¬den. Aber wie weit sollte ich gehen? Von hinten, die Schenkel entlang arbeitete ich mich ganz langsam zu ihrem halb durchsichtigen Höschen vor. Es fühlte sich feucht und glitschig an.Also weiter gestreichelt. Und dabei Carla nicht vernachlässigt. So hatte ich in jeder Hand eine andere feuchte Möse, wenn auch beide von Schlüpfern knapp verhüllt. Das Streicheln und Räkeln wollte kein Ende nehmen.Und wer kümmerte sich um mich? Schließlich lief ein leiser Schauer über Pearls Rücken. Heftig schlossen sich die Schenkel um meine Hand, die kurz darauf sanft zur Seite geschoben wurde. Jetzt ganz meiner Herzensdame zugewandt, bekam ich doch noch einen ganz besonderen Lohn. Vorsichtig tasteten sich lange, schmale Finger in meine Hose. Ganz behutsam wurde mein praller Stab aus den Seiden-Shorts gepellt. Als ob sie ahnte, wie geladen er war, berührte Pearl den vorfreudig feucht-glänzenden Kerl so behutsam mit ihren Fingerspitzen, wie ich es noch nie erlebt hatte. Federleicht glitten sie über seine Spitze, herunter zu der Stelle, wo die Haut angewachsen ist, die Wülste entlang. Doch trotz der zarten Berührung konnte es nicht lange dauern, bis es mir kam. Wohin damit? schoss es mir durch den Kopf. In diesem Augenblick seufzte Carla tief, presste mit beiden Händen die meine auf ihre Muschel. Hingerissen von ihrem Höhepunkt, wehrte ich mich nicht gegen den jetzt energischeren Griff, den ich unten spürte und ergoss mich gleich darauf in Pearls bereitwillig hingehaltene Hand. VIII.Wieder wusste meine Frau sich das Beste bis zum Schluss aufzuheben. Als Pearl im Bad verschwunden war, raunte sie: „Wir sehen uns im Schlafzimmer.“ Dort zog ich mich aus und versuchte, mein gutes Stück trockenzuwischen. Hoffentlich würde ich ihr noch etwas bieten können, dachte ich. Diese Sorge hatte ich mir zu früh gemacht. Vom Schlüpfer befreit und etwas gewaschen glänzte Carlas Muschel im Schummerlicht, als sie auf mich zu kam und mich auf das französische Bett drängte.Ich erwartete einen Ritt auf meinem Besenstiel. Doch nein, neben dem Bett kniete sie und begann, meinen noch schlaffen Schwingel zu kosen. Zuerst mit den langen, silbernen Fingernägeln, dann mit der Zungenspitze, dann ihn tief einsaugend und dabei mein Säcklein fest im Griff. Bald dankte ich die zärtliche Behandlung mit einem prächtigen Zauberstab, den sie dann doch reitend zu sich nahm.IX.Carla lässt sich Kleider gelegentlich illegal bahis von einer Schneiderin in der Nachbarstadt anfertigen. Bei einem Abendkleid oder einem Kostüm sind da immer wieder Anproben nötig. Ist das Stück weit gediehen, kann es schon vorkommen, dass Carla sich den Weg ins Atelier spart und der Sohn der Schneiderin zur Anprobe vorbei kommt. So überraschte es mich nicht, sein kleines Auto einmal wieder im Hof zu sehen. Von einer neuen Anfertigung hatte ich allerdings nichts gehört. Neugierig geworden steckte ich vorsichtige meine Nase in Carlas Wohnung. Ich folgte den Stimmen aus dem Schlafzimmer. Durch die halb offene Tür sah ich Carla, wie sie sich in ein eng anliegendes, grün glänzendes Kleid helfen ließ. Der junge Mann stand hinter ihr, und zog den Reißverschluss zu. Prüfend strich meine Schöne die Seide über ihre runden Hüften. „Meinen Sie nicht, dass es hier etwas aufträgt?“ Etwas zögernd folgte er der Aufforderung, und legte seine schmale Hand auf ihre Kurven. „Und ich denke, es dürfte etwas kürzer sein.“ Folgsam kniete er vor ihr, und steckte den Saum um.Graziös schob Carla ihre bestrumpften Zehen in seinen Schoß. „Findest du das etwa in Ordnung, mit so ausgebeulten Hosen vor einer Dame zu knien?“ fragte sie ihn spitzbübisch lächelnd. Der junge Schneider war sichtlich in Nöten. Ob ihr beim Ausziehen des Kleids der Unterrock absichtlich hoch rutschte, war nicht eindeutig. Jedenfalls starrte er wie hypnotisiert auf ihre Strapse und ihr durchsichtiges Höschen.Lachend setzte sich Carla auf ihr Bett und winkte ihn zu sich her. Leider konnte ich jetzt im Spiegel nur noch einen Teil des Gesche-hens beobachten. Klar war aber, dass sie nachsehen musste, was die Beule verursacht hatte. Und als die Bettfedern ihre typischen Geräusche von sich gaben, war klar, wozu sie den jungen Gehilfen bewegen konnte. Leise, aber mit meinerseits ausgebeulter Hose trat ich den Rückzug an.X.Eine englische Freundin Carlas sorgte sich ganz besonders um unsere Beziehung. Schon in dem häufigen Briefwechsel, den die Damen pflegen, erst recht aber, als sie uns besuchte. Als nach Tagen bei einem kleinen Abendessen der Sekt die Zungen gelöst hatte, fragte Brenda ganz direkt, ob wir immer so kühl und distanziert seien. Carla deutete der alten Freundin recht direkt an, dass wir uns sehr gut verstanden und sie auf nichts verzichten musste. Ganz zwanglos ergab sich daraus Brendas Vorschlag, wir sollten es uns doch gemütlicher machen. Gut, ich zog das Jackett aus, die Damen ihre Kostüme und schlüpften in seidene Kimonos.Nach weiterem Geplauder sagte Brenda entschlossen: „So geht das aber nicht. Ich glaube fast, Ihr geniert euch vor mir.“ Etwas erstaunt schauten wir uns an. „Nun zeigt mir mal euer Liebesnest,“ forderte Brenda. Ohne ein Wort zu sagen, führte uns Carla in ihr Schlafzimmer. Dort streifte erst Brenda, dann sie den Kimono ab. Erwartungsvoll schauten beide auf mich. Meine Angetraute trug ihr bestes weißes Satin-Corselett und Nylons. Brenda war mit einem langen, dunkelblauen Büstenhalter und einer passenden, bis fast zum Knie reichenden Miederhose regelrecht gepanzert. Mit ihrer großen, üppigen Statur und ihren hoch¬hackigen Pantoletten machte sie darin einen faszinierenden Eindruck auf mich. „Nun, worauf wartest du?“ Brenda hatte das Kommando übernommen. Wohin sollte das führen?Ich zog mich bis auf den hüfthohen, illegal bahis siteleri schwarzen Slip aus, dessen elastisches Material mich eng umhüllte, aber auch deutlich hervor treten ließ, was die Damen erfreute. Abschätzend stöckelte Brenda auf mich zu, strich über meine Hinterbacken und rieb sich an meiner viel versprechenden Wölbung. Carla hatte sich inzwischen auf dem Bett ausgesreckt, bereit sich kosen zu lassen, was ich nur zu gerne besorgte. Zart strich ich über ihre Brüste, küsste ihre Schenkel, sog den Duft ihres Schlüpfers ein, der mit einem feucht glänzenden Fleck schon zeigte, wie gut es ihr tat. Ganz vorsichtig zog ich das Höschen unter dem Corselett hervor, knöpfte die Nylons von den Strapsen, um es abstreifen zu können, und klippste die Strümpfe wieder fest. Immer unruhiger schob Carla mir ihre Hüfte entgegen, meine Zunge verlangend.„Nun ist‘s aber genug!“ hörte ich Brenda fauchen. Dabei zog sie energisch an meinem Slip. Unsere Beobachterin hatte ich ganz vergessen. Ein Hosengürtel klatschte auf meine Hinterbacke. „Gib’s ihr!“ befahl sie. So drang ich unter ihren Augen in meine Carla ein. Jedes mal wenn ich vorstieß, spürte ich den Riemen. Immer schneller trieb sie mich an. Carla stöhnte, wimmerte. Sie war am Höhepunkt, konnte nicht mehr, wollte eine Pause.Aber weiter trieb mich das Leder. Wie ich noch immer durchhalten konnte, weiß ich selbst nicht. Schließlich beugte sich Brenda von hinten über mich, griff nach meinem Schweif und massierte ihn, während ich ihn noch immer in die heisse Spalte stieß. Das löste eine ungeheure, erlösende Explosion aus und völlig erschöpft sanken wir drei in die Kissen. „Brenda neigt ein wenig zum Dominanten,“ war das einzige, was meine Frau später dazu zu sagen hatte. Wenn das nicht typisch englisches Understatement ist.XI.Im letzten Herbst waren wir bei Carlas Freunden in England eingeladen. Der Anlass war eine Fuchsjagd. Da ich nicht reite, fuhr ich den Landrover mit dem Picknick zum vereinbarten Treffpunkt. Zum ersten mal sah ich meine Schöne hoch zu Ross. Elegant sah sie aus in ihrem Reitkostüm mit weitem, innen lederbesetzten Hosenrock. Ich war gespannt, was sie darunter trug. Zurück in unserem Gästezimmer des Landhauses musste ich nicht lange warten. Total erschöpft fiel die Reiterin in einen Sessel. „Hilf mir aus den Stiefeln, Liebling,“ jammerte sie. Dann schlüpfte sie aus Jacke und Rock. Eine unglaublich straff sitzende Miederhose bis zum Knie schaute unter ihrer Seidenbluse hervor.„Komm her, mein Süßer,“ gurrte sie. „Ich wusste gar nicht mehr, was das Reiten bei mir auslöst.“ Dabei strich sie über ihren Venushügel. Ich löste ihre Rüschenkrawatte und knöpfte die Bluse auf. Nein, diesmal wollte sich nicht lange gestreichelt werden. Ich half ihr aus dem Sessel, schob sie aber gleich von hinten über dessen wulstige Rückenlehne. Reizend, wie sie mir jetzt ihren runden Hintern entgegen streckte, meine edle Stute. So zog ich die Miederhose auf Halbmast und massierte ihre Hinterbacken. Als sie noch mehr zappelte, holte ich meinen Zauberstab aus dem Hosenschlitz und gab ihn ihr. So war auch ich noch zu einem Ausritt gekommen.XII.Bei dieser Gelegenheit lernte ich übrigens eine weitere liebesbedürftige Zone meiner Süßen kennen. Und ich beschloss, das bei Gelegenheit näher zu untersuchen. Als mir Carla wieder zuhause in einem eher kurzen Strapsgürtel canlı bahis siteleri gegenüber stand, zog ich sie an mich, schob meine Hände in ihre french knickers und griff beherzt nach ihrem Po. Immer enger schmiegte sie sich an mich. Also weg mit dem Schlüpfer und ab ins Bett. Dort räkelte sie sich zur Seite und streckte mir ihre Kehrseite zu. Zart ließ ich meine Hand über ihre Backen gleiten. Dann immer tiefer in die Spalte. Immer stärker wölbte sich ihr Hintern mir entgegen.Offenbar mochte sie das. Also legte ich meinen Mittelfinger auf ihre Rosette und wartete ab. Langsam gingen ihre Hüften in kreisende Bewegungen über. Nur einen Mo-ment brauchte ich, um meine Finger mit etwas Gleitcreme zu befeuchten, dann war ich zurück, von heftigem Stöhnen begrüßt. Also strich ich langsam über die Hintertür, dann mit zunehmendem Druck. Und schließlich steckte ich die Fingerkuppe, dann mehr hinein – und langsam wieder heraus. Es gefiel Carla sichtlich. Also weiter. „Vergiss die andere Seite nicht,“ jammerte sie. Meine freie Hand schob ich unter ihrer Hüfte durch und meine Finger in ihre triefnasse Muschel. Jetzt immer im Wechsel, hinten und vorne, bis sie es nicht mehr aushalten konnte und in meiner Hand zum Höhepunkt kam. „Meine hinterfötzige Liebhaberin“ nenne ich sie seither unter vier Augen manchmal. Und sie weiß genau, was sie dann erwartet.XIII.Intimitäten in der Öffentlichkeit ist meine Schöne eher abgeneigt. Kühle Distanz ist ihr Stil. Darum hat mich sehr überrascht, was ich neulich bei einem Opernbesuch in M. erlebte. Eine junges englisches Paar, Freunde meiner Frau, begleitete uns. So hatte Carla in dem schönen alten Theater eine separate kleine Loge im dritten Balkon für uns reserviert. Die Herren saßen hinten, die Damen vorn. Doch nach dem ersten Akt gruppierte Carla um und hieß den jungen gentleman auf dem Sessel neben Carla zu bleiben, wo er mit seinem Glas Sekt stand. Kaum war das Licht erloschen, begann Carla ihren Gast zu kosen. Ein spitzbübisches Lächeln bestätigte mir, dass auch seine Freundin Gwen es bemerkt hatte. Warum sollten wir also nicht auch …?Ganz zart strich ich über ihren nackten Arm. Sie rückte näher! Also war ich willkommen. Bald streichelte ich ihre Schenkel, fand den Seitenschlitz der langen Robe, das spitzenbesetzte Band ihrer halterlosen Strümpfe und die weiche Haut darüber. Jetzt rutschte ihre Hand von der Armlehne in meinen Schoß, wo sie gerade¬wegs auf meinem schwellenden Glied lag. Immer fester schloss sich ihr Griff. Ich wurde auch immer forscher. Trug sie ein so knappes Höschen? Nein, überhaupt keines! Mein vorwitziger Finger wurde immer glitschiger. Gwen war mit meinem Reißverschluss beschäftigt. Als die Szene besonders dunkel wurde, geschah es: Sie raffte ihr Kleid und setzte sich mit nacktem Hintern auf meinen Schoß. Niemand hatte es bemerkt, hoffte ich, aber was nun? Mit ihren immer kühlen, langen Fingern schob sie mein Ding in ihre nasse Möse. Auch ich schob eine Hand unter ihren Rock und suchte erneut nach ihrem Lustknötchen. Je mehr ich dieses koste, desto stärker kreisten ihre Hüften. In einem fortissimo gaben wir uns den Rest. Jetzt war ich sicher, dass der Sessel geknarrt und uns verraten hatte. Zumindest feuchte Unterwäsche hatte es aber auch bei den beiden Täubchen in der Reihe vor uns gegeben. Jedenfalls mussten wir nach diesem Akt alle vier mal raus. Und da sage noch einer, die teuren Logen lohnten sich nicht.Leider hatte ich versprochen, die Gesellschaft nach der Vorstellung nach Hause zu fahren. Natürlich richtete es Carla so ein, dass der junge Engländer mit ihr im Fond ihres alten Jaguars einstieg.

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Episode II – Klaus der Füllmeister

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Episode II – Klaus der FüllmeisterKlaus meldete sich ein paar Tage später, als ich bei Ralf war. Seine Mail war nicht lang, aber dafür ist er gleich auf den Punkt gekommen.Hallo Teddy,ich würde gerne deinen Darm und Blase befüllen, dabei alles filmen, wie es bei dir rein kommt und du es wieder raus lässt. Wäre dir der nächste Dienstag Abend recht, so gegen 18 Uhr?Gruss KlausIch hatte fast damit gerechnet, dass Klaus so was mit mir machen möchte. Er hatte ja schon Andeutungen gemacht, als ich bei ihm als Wichsvorlage war. Nur warum will er alles filmen? Kurzerhand sagte ich zu und fragte wie ich kommen sollte. Er schrieb nur kurz zurück, dass er sich rießig freue und das ich ganz normal angezogen kommen soll, da ich mich eh ganz nackt ausziehen müsste.Da ich keine unangenehme Überraschungen haben wollte, spülte ich meinen Darm am Nachmittag nochmal richtig durch. Gut gesäubert fuhr ich zu Klaus. Da ich schon bei Klaus war, musste ich nicht lange suchen.Als ich vor seiner Wohnungstür stand, hatte ich dann doch leichtes Herzklopfen, obwohl ich nun schon einige Einläufe bekommen hatte, aber gefilmt wurde ich dabei noch nie, vor allem nicht, wenn alles wieder raus kommt.Klaus öffnete die Wohnungstür, als ich die letzten paar Treppenstufen hinauf kam. Mit einem breiten Grinsen stand er in der Tür.„Hallo Teddy, super das du gekommen bist, komm rein und zieh dich gleich aus“. Ich begrüßte Klaus ebenfalls, trat in den Flur und begann mich sofort an auszuziehen. Als ich ganz nackt vor Klaus stand, sagte er zu mir: „Ich freue mich, dass ich dir Einläufe verpassen darf und dich dabei filmen kann. Du wirst dich bestimmt gefragt haben, warum ich das filmen möchte?“. Ich schaute Klaus an, bevor ich darauf was sagen konnte, erzählte Klaus rasch weitert. „Ich möchte mir das immer wieder angucken, wie ich deinen Bauch“, Klaus streichelte über meinen nackten flachen Bauch, „schön voll fülle und anschließend eine Fontaine aus deine geile Arschfotze schießt. Ebenfalls bin ich gespannt wie es mit deiner Blase funktioniert“. Klaus griff auf meine rasierte Scharm und drückte leicht auf meine Blase. „Willst du da etwa sehen, wie ich pisse?“ „Ja, natürlich, aber dazu kommen wir dann später. Erst ist dein geiler Arsch dran“. Klaus gab mir einen kleinen Schlag auf meine Pobacken. „Sag mal Teddy, macht es dir etwas aus, wenn meine Nachbarin die Kamera bedient?“ Ich schaute nun Klaus mit großen Augen an. Davon war nun keine Rede in der Mail. „Wieso deine Nachbarin? Kannst du die Kamera nicht auf ein Stativ stellen und einfach nur an schalten?“ „Das könnte ich auch, aber so können geile Nahaufnahmen gemacht werden. Zum Beispiel wenn dein Bauch immer dicker wird. Oder ich dir die Füllung mit einer Klistierspritze verpasse“. Ich holte tief Luft und sagte schließlich: „Okay, dann hole deine Nachbarin“.Klaus grinste und sagte: „Die brauch ich nicht zu holen, sie ist schon da“. Klaus ging an eine geschlossene Tür und öffnete sie. Ich konnte im Türspalt schon helles Licht erkennen. Auf dem Boden war Folie ausgelegt und auf der Folie stand ein schwarzer Ledersessel, mit kurzen Arm.- und Rückenlehne.Klaus machte die Tür ganz auf. Ein Stück vom Sessel, standen zwei Stative mit je einer Kamera. Hinter einer dieser Kamera stand eine etwas dickere, ältere Frau. Als sie mich nackt im Flur sah, schmunzelte sie mich an. Klaus betrat das Zimmer, ich gleich hinter her.„Das ist Helga, meine Nachbarin“, stellte mir Klaus diese Frau vor. Ich sagte mit trockenen Mund leise „Hallo“. Schaute mich flüchtig in dem Raum um. Der Raum war fast leer. Fenster war mit einem dunklen Vorhang verhangen. Vor dem Ledersessel stand ein große Plastikkiste. Neben dem Sessel ein kleines Tischchen, worauf eine große Schüssel mit Wasser stand. In der Schüssel lag eine große Glasklistierspritze mit einem Füllvolumen von 250 ml. Zwischen Tischchen und Sessel stand noch ein kleiner Hocker. Alles stand auf Folie. Ich schaute nun auf die große Plastikkiste. „Soll ich etwa dann dort rein?“ Klaus stand nun auf der anderen Seite von mir, kurz vor dem Hocker. Helga stand neben mir und schaute auf meinen steifen Schwanz.„Ja Teddy, wenn dein Bauch schön voll ist, sollst du alles in die Kiste raus schießen“. Klaus drückte wieder auf meinen flachen Bauch. Helga sagte: „Ich bin ja erst gespannt, wie das aussieht, wenn seine Blase befüllt wird“. Dabei streichelte nun Helga über mein rasierte Scharm. Mir wurde es langsam etwas anders in der Bauchregion.Nicht nur das Klaus zusehen wollte, wie ich den Einlauf aus meinen Arsch lasse, nun guckt noch eine fremde Frau zu und filmt alles. Irgendwie ist mir das doch ein wenig peinlich geworden.„Setzt dich auf den Sessel, lege deine Beine auf die Seitenlehnen, spritze sie schön weit auseinander“, sagte Klaus schließlich zu mir. Ich holte tief Luft. Ging zum Sessel, an der großen Plastikkiste vorbei. Setzte mich auf den Ledersessel. Lehnte mich gegen die kurze Rückenlehne. Legte meine Beine rechts und links auf die Sessellehnen und spreizte dabei meine Beine weit auseinander. Mein Arschfotze war super zu sehen und nun leicht zugänglich. Helga und Klaus schmunzelten. Helga machte sich an den zwei Kameras zu schaffen. „Klaus“ sagte Helga, „wenn ich anfangen soll, sag einfach nur Aktion“. Klaus grinste.„Okay Teddy, ich werde deine Arschfotze erst mal schön flutschig machen mit Gleitmittel“. Klaus hielt eine Dose mit Gleitmittel in seiner Hand. „Dann bekommst du mit der Klistierspritze die Füllungen. Ich möchte dich bitte, soviel wie möglich in deinen Darm zu halten. Super wäre, wenn dein Bauch schön dick würde, bevor du alles in die Kiste hier schießen kannst“. Klaus zeigte dabei auf die Klistierspritze in der Wasserschüssel und anschließen auf die große Kiste, die zwischen meinen gespreizten Beinen auf den Boden stand. In diesem Monet, stellte Helga noch eine kleine Kamera, auf einem kleinen Stativ, in die Plastikkiste. Helge schaute mich an, speziell auf meine Arschfotze. „Wie viel passt eigentlich in dein Arsch rein?“, fragte Helga. Ich schaute Helga an, unterdessen titscht Klaus einen Finger in die Dose vom Gleitmittel, mit diesem Finger umkreist er meine Rosette und schob schließlich den Finger tief in mein Loch. „Ich hab mir heute schon ein paar Füllungen verpasst, damit ich schön sauber bin. Daher ist mein Darm schon etwas gedehnt“. „Das beantwortet nicht meine Frage“, sagte Helga. Ich schaute Helga etwas böse an, da sie mich so bedrängte eine Füllmenge zu nennen. „Ich denke so 1 ½ Liter müssten reinpassen“. „Na das ist doch schon mal eine Richtung. Klaus, da kannst du ruhig 2 bis 3 Liter rein pressen. Das muss der schon aushalten und sein Bäuchlein müsste sichtbar dick werden“. Helga streichelte mit der Hand über meinen flachen Bauch.Klaus sagte: „Wollen wir dann anfangen geile Videos zu machen?“ Ich schaute Klaus an: „Wieso Videos? Denke du wolltest eins machen, wie die Flüssigkeit rein und dann wieder raus kommt?“ Klaus schmunzelte und legte seine Hand auf mein gespreizten Oberschenkel. „Du wirst ein paar Einläufe bekommen und zwar mit verschiedenen Farben der Flüssigkeit. Das wird ein heißes, buntes, Video werden“. Ich schluckte als ich das hörte. „Du kannst dann die Kameras starten“, sagte Klaus zu Helga. „Die sind schon lange an. Ich wollte alles aufnehmen, wie du sein Loch bearbeitest und sein Gesichtsausdruck ist unbezahlbar, als er eben erfuhr, dass er mehrere Einläufe bekommt“. Klaus schmunzelte Helga an. „Du bist mir schon eine. Okay, dann kann ich dich ja schön abfüllen“. Klaus griff nach der Glasspritze in der Schüssel und machte sie voll der Flüssigkeit, welche sich in der Schüssel befand und weiß war. Erst jetzt wurde mir klar, dass eine Füllung gleich ein halber Liter bedeutete. Klaus steckt den kurzen Einfüllstutzen in mein Loch und drückte sofort den Kolben in den Spritzenkörper. Sofort schoss die Flüssigkeit in meinen Darm. Rasch war die Füllung in mir drin. „Na das klappt doch super“, sagte Klaus als er den Einfüllstutzen aus meiner Arschvotze zog. Ich lächelte Klaus an. Klaus zog sofort die nächste Füllung in die Glasspritze. Als Klaus mir erneut den kurzen Einfüllstutzen in meine Arschvotze schob, fragte er mich: „Sag mal, wäre es schlimm, wenn ich dir nachher ein Teil vom Spritzenkörper in deine Arschvotze schieben würde?“ Ich schaute auf die dicke Glasspritze, welche ca. 4 bis 5 cm dick war. „Wie tief willst du denn damit rein?“ „Wenn ich darf bis ca. zur Hälfte oder vielleicht auch etwas tiefer“. Die Glasspritze war ca. 30 cm lang. Ich schaute zu Klaus und anschließen zu Helga hinter den Kameras. Klaus hatte unterdessen die zweite Füllung in mein Darm gedrückt. Zog den kleinen Einfüllstutzen wieder aus mein Loch und füllte erneut die Glasspritze mit der Flüssigkeit. Hielt nun die volle Glasspritze in der Hand und etwas vor mein Gesicht.Ich schaute auf die große Spritze. „Wann willst du es denn machen?“ „Wann genau weiß ich noch nicht, dass möchte ich aus der Situation entscheiden, wenn mir danach ist“. Ich schaute erneut auf die große Spritze. Meine Hände lagen auf meinen nackten, gespreizten, Schenkel. Ich fuhr langsam an den Innenseite meiner Schenke in Richtung meiner Arschvotze. Mein Schwanz stand ganz steif und etwas pulsieren von meinem nackten Körper ab. „Na komm schon“, fing Klaus an ein wenig zu betteln und mich zu bedrängen. „Dich macht doch der Gedanke schon geil, die Glasspritze in deine geile Arschvotze zu bekommen. Das kann ich doch an deinen steifen Schwanz sehen“. Klaus griff mit der anderen Hand an meinen Schwanz, massierte ihn und meine Hoden. Ich holte tief Luft und sagte schließlich: „Okay, du kannst es machen. Gibst eh keine Ruhe bis ich einwillige“. „Super“, sagte Klaus und schob mir gleich den kurzen Einfüllstutzen erneut in mein Loch. Ich hatte fast damit gerechnet, dass Klaus mir gleich den Spritzenkörper in meine Arschvotze drücken würde, doch er beließ es erstmal nur bei den Einfüllstutzen. Schon presste Klaus mir die dritte Füllung in meinen Darm. Langsam bekam ich ein Völlegefühl. Als auch diese Füllung in mir war, war mein Darm mit 1 ½ Liter Flüssigkeit gefüllt. Klaus entfernte den Einfüllstutzen aus meine Arschvotze, legte die Glasspritze in die Schüssel und fing an meinen Bauch, der nun etwas dicker geworden war, zu massieren. „Na, wie ist es. Passt denn da noch mehr rein?“ „Ich glaube ja“, antwortete ich Klaus. „Super, dann kann ich dir ja gleich die nächste Dröhnung verpassen“. Helga fragte plötzlich: „Darf ich auch mal eine Füllung machen?“ „Klar“, sagte Klaus und stand auf um Helga platz zu machen. Helga setzte sich auf Klaus seinem Platz. Griff sofort nach der leeren Glasspritze und füllte sie auf. „Okay mein geiler Teddy, dann will ich dir mal eine Füllung verpassen“. Helga schob den Einfüllstutzen ganz vorsichtig in mein Loch. Als der Spritzenkörper gegen meine Rosette stupste, drückte Helga weiter gegen meine Arschvotze mit dem Glaskörper der Glasspritze. Was hatte sie vor? Wollte sie mir den Spritzenkörper in meine Arschvotze drücken? Was eigentlich Klaus machen wollte. Oder hatte Klaus für Helga gefragt. Ich holte tief Luft und war auf alles gefasst. Doch dann drückte Helga den Kolben in den Spritzenkörper. Erleichtert sah ich wie der Kolben die Flüssigkeit in mein Darm presste. Rasch war auch diese Füllung in mir. Doch was machte Helga nun?Als die Spritze leer war, entfernte Helga die Glasspritze nicht aus meiner Arschvotze, sonder zog den Kolben hinaus, so das sich die Spritze mit der Flüssigkeit in meinem Arsch füllte. Als die Glasspritze wieder voll war, drückte Helga erneut den Kolben in den Spritzenkörper und die Flüssigkeit zurück in mein Arsch. Dieses Spielchen wiederholte Helge einige male. „Das ist ja eine geile Idee“, sagte Klaus. „Warum bin ich nicht darauf gekommen?“ „Weil du ein Mann bist“, antwortet Helga lachend. Schließlich presste Helga die Füllung wieder in mein Darm und entfernte den Einfüllstutzen aus meiner Arschvotze. „Na Teddy“, sagte Helga und grinste mich an. „Passt noch eine Füllung rein?“ Der Druck in meinem Darm, wurde durch Helgas Spielchen zwar etwas stärker, aber war noch erträglich. Ich biss mir auf die Unterlippe und sagte: „Ich glaube eine Füllung vertrage ich noch“ Strich mir dabei über meine gespritzten Innenseite meiner Oberschenkel. Langsam fing ich gefallen an der ganzen Sache zu bekommen. Klaus sagte: „Wir können auch ein Gläschen Wein dazu trinken. Es soll ja ein gemütlicher Abend werden“. „Ja, warum nicht“, antwortete ich Klaus und Helga war auch gleich Feuer und Flamme. Klaus verließ den Raum, Helga füllte die nächste Füllung in die Glasspritze. „Sag mal, hast du schon viele Einläufe von Fremde Leute bekommen? Ich schaute Helga an. „Warum willst du das denn wissen?“ „Nur so, es interessiert mich halt“. Schob dabei den Einfüllstutzen in meine Arschvotze. „Es ist doch ungewöhnlich, wenn ein Mann zu einem anderen Mann geht, um sich Einläufe verpassen zu lassen“. Ich schmunzelte Helga an. „So hat jeder seine kleinen Hobbys und geht seinen Fetisch nach“. „Dir scheint es doch auch Spaß zu machen, mir die Flüssigkeit in meinen Arsch zu drücken“. In dem Moment betätigte Helga den Spritzenkolben. „Da muss ich dir Recht geben“. Klaus betrat wieder den Raum. Hatte drei Weingläser auf einem Tablett in der Hand und in der anderen eine Flasche Rotwein.„Ich hoffe Rotwein ist okay für euch?“ Helga und ich antwortet fast zeitgleich mit „ja“. Klaus stellte das Tablett auf den Fußboden, öffnete die Flasche Wein und füllte die Gläser. Reichte als erste mir eins, anschließen Helga, als sie fertig mit der Füllung in meinem Arsch war. Wir stießen zusammen an und tranken ein Schluck. Nun hatte ich schon 2 ½ Liter Flüssigkeit im Darm und füllte mich noch ganz gut dabei. Helga fragte mich mit einem grinsen im Gesicht: „Sag mal Teddy, würdest du auch mal einer intensiven Druckbefüllung zu stimmen?“ Ich schaute Helga etwas erstaunt an. „Was verstehst du unter intensiv und unter Druckbefüllung? Ich dachte das wäre hier schon eine Druckbefüllung“, antwortete ich Helga. „Nein, das hier ist doch eine normale Befüllung. Wenn du voll bist und den Druck im Darm nicht mehr aushältst, kannst du die Füllung ja einfach raus lassen. Dafür steht ja die Plastikkiste auf dem Boden. Eine Druckbefüllung wäre mit einem Schlundrohr, bzw. einem Ballonkatheter. Der Ballonkatheter käme in dein Arsch und die zwei Ballons daran würden mit Luft gefüllt und verschließen somit deine Arschvotze. So wäre es dir unmöglich die Flüssigkeit aus deinen Arsch zu lassen, selbst wenn du es wolltest“. „Aha“, sagte ich kurz und fuhr fort. „Ich kenne solchen Katheter, habe aber selbst noch keine Erfahrung damit gemacht. Und was verstehst du nun unter intensiv?“ „Mit intensiv meine ich, dass du gefesselt würdest an Händen und Füßen, damit du dich nicht wehren kannst, wenn dein Darm über die Höchstmenge von 5 Litern unter Druck befüllt wird“. Ich schaute Helga sprachlos an. „Über 5 Liter fragte ich erschrocken?“ „Wir würden dich natürlich langsam darauf vorbereiten. Deinen Darm in mehreren Etappen dehnen, so das immer mehr reinpasst. Wenn wir eine Füllmenge von ca. 3 ½ Liter erreicht haben, würden wir zu der intensiven Druckbefüllung über gehen, wobei du dann, ob du es willst oder nicht, über 5 Liter in deinen Darm bekommst“. Ich nippte sprachlos an meinem Glas Wein. „Warum sollte ich da einwilligen? Mich von euch freiwillig quälen zu lassen?“ „Weil es dich geil macht und du die Herausforderung illegal bahis liebst“, antwortet Klaus. „Kann ich das in Ruhe überdenken?“ „Na ja, es wäre schon super, wenn du uns eine Antwort geben könntest“, sagte Helga und Klaus fast gleichzeitig.Ich verzog meinen Mund. Hielt das Glas Wein in der einen Hand und streichelte eine Seite von meinen gespreiztem Innenschenkel mit der anderen Hand. „Wie soll denn die Vorbereitung aussehen?“ „Du müsstest über einen längeren Zeitraum zu mir kommen“, sagte Klaus. “Dann würde wir dir Einläufe verpassen, die du immer länger in deinem Darm behalten musst. Die Anfangszeit so lange wie du es schaffst, später dann mit Hilfe eines großen Plug´s, der verhindert, das die Füllung aus dein Arsch kommt. Dann würden wir langsam die Füllmenge erhöhen, so das sich dein Darm an die Dehnung gewöhnt und fähig wird, immer mehr aufzunehmen“. Kann ich dann wenigsten in normaler Kleidung zu dir kommen?“ fragte ich Klaus. Klaus schaute Helga an. „Eigentlich hatten wir uns das so gedacht“, fuhr Klaus fort. „Die Anfangszeit würden wir dir erlauben in normaler Straßenkleidung zu mir zu kommen, wenn du dich bereit erklärst, diese vor meiner Wohnungstür abzulegen“. „Wie, vor deiner Wohnungstür ablegen?“, fragte ich erschrocken. „Soll ich mich etwa im Treppenhaus nackt ausziehen?“ „Genau das möchten wir“, sagte Helga. Ich schaute Helga mit großen Augen an. „Auf der Etage wohnt Klaus doch nicht allein. Was ist wenn ein Nachbar aus seiner Wohnung kommt, oder jemand geht die Treppe hoch oder runter? Das Risiko wirst du wohl eingehen müssen, wenn du in normaler Straßenkleidung kommen möchtest, was übrigens eh nur für die Anfangszeit wäre“. „Und wie soll ich dann später zu dir kommen?“ fragte ich etwas trotzig. „Später wirst du in halterlosen Strümpfen, Stiefel und Mantel zu uns kommen, sonst nackt“. „Das hab ich mir schon fast denken können, dass ihr das auch wollt“. „Na ja, damit hast du doch kein Problem, oder?“ fragte mich Klaus. „Problem direkt nicht, aber das ich so durch die halbe Stadt fahren muss, ist immer ein Risiko für mich, falls ich Bekannte treffe, die nichts von meinen kleinen Spielchen wissen und mich nur als guten Kumpel kennen“. „Tja, das Risiko wirst du wohl auch eingehen müssen“, sagte Klaus mit einem Lächeln im Gesicht. „Es kommt ja noch etwas auf dich drauf zu“, sagte Helga. Ich schaute Helga erneut mit großen Augen an. „Was denn noch?“ „Wenn dein Darm langsam die Füllmenge von 3 Litern erreicht hat, diese Füllung über einen längeren Zeitraum in dich bleiben kann, ohne das du große Schwierigkeiten hast diese Füllung alleine zu halten, wirst du mit Fuß,- Hand,- und Halsfessel zu uns kommen“. Als ich das hörte viel mir fast das Weinglas aus der Hand.Mittlerweile machte sich die Füllung in meinem Darm bemerkbar. Ich holte tief Luft und sagte: „Bevor ihr mir weiter über euer Vorhaben berichtet, würde ich gerne die Füllung in meinem Darm rauslassen“. Ich hatte es kaum ausgesprochen, da schoss schon der ersten Schwall aus meiner Arschvotze. „Ja okay“, sagte Klaus. „Lass alles raus. Tu dir keinen Zwang an“. Ich lies meine Schließmuskel ganz locker und die ganze Brühe schoss in den Plastikbehälter zwischen meinen gespreizten Bein auf den Boden. „Oh super“, sagte Klaus. Genau so habe ich es mir vorgestellt. Mir war die ganze Sache jedoch etwas peinlich. Schließlich saß ich ganz nackt, mit gespreizten Beinen auf einen Ledersessel und zwei Personen schauten mir zu, wie ich meinen Darm entleerte. Als mein Darm schließlich leer war, sagte Klaus: „Okay, dann werde ich mal die nächste Flüssigkeit holen.“ Helga reichte Klaus die fast leere Schüssel, legte zuvor die leere Glasspritze auf meinen nackten Bauch. Klaus verließ den Raum und kam kurz darauf mit der gleichen Schüssel zurück, nur die Flüssigkeit war nun Blau. Helga stellte die Schüssel wieder an ihren Platz. Ich sah mir die blaue Flüssigkeit an. „Was ist das?“ fragte ich Klaus. „Das ist nur Wasser mit blauer Lebensmittelfarbe. Also keine Angst. Wollen wir wieder die Plätze tauschen?“ fragte Klaus Helga. „Natürlich“ erwiderte Helga sofort stand sie auf und ging hinter die Kameras, die ich schon ganz vergessen hatte. Klaus setzte sich auf den Hocker, griff zur Glasspritze von meinem Bauch und begann sofort diese zu füllen.„Was meinst du nun?“ fragte Klaus, als er mir den kleinen Einfüllstutzen in meine Arschvotze schob. „Was soll ich wozu meinen?“ fragte ich und stellte mich etwas blöd. „Na zu unserem Vorhaben mit der intensiven Druckbefüllung?“ Dabei drückte Klaus den Spritzenkolben in den Spritzenkörper. Die blaue Flüssigkeit drang langsam in mein Darm ein. „Wie oft müsste ich denn zu dir kommen und wie viele Einläufe würde ich da bekommen?“ Helga lenkte plötzlich ein: „Klaus, sollte Teddy nicht noch etwas machen bei der blauen Füllung?“ Ich schaute Helga fragend an. „Ach ja Helga, gut das du mich erinnerst“, antwortete Klaus. „Teddy, bei dieser Füllung möchte ich, dass du deinen Schwanz wichst“. Ich grinste Klaus an. „Was soll ich? Meinen Schwanz wichsen?“ „Ja, schön wichsen wenn ich dir die Füllungen verpassen und natürlich auch wenn ich die Glasspritze wieder fülle“. „Also soll ich meinen Schwanz durchweg wichsen“. „Genau“, sagte Klaus. Ich schmunzelte, griff zu meinen Schwanz und begann ihn langsam an zu wichsen. Jetzt wurde es mir erst recht etwas peinlich. Sitze ganz nackt, mit weit gespreizten Beinen auf einen Ledersessel, bekommen vor laufender Kamera Einläufe in mein Darm und nun soll ich auch noch meinen Schwanz wichsen vor einer fremden Frau.Mit der anderen Hand hielt ich das Weinglas und nahm auch gleich einen großen Schluck. Die erste Füllung war in mir. Klaus zog den kleinen Einfüllstutzen aus meine Arschvotze und füllte die Glasspritze sofort wieder nach. Ohne zu warten schob Klaus erneut den Einfüllstutzen in mein Loch. Drückte den Spritzenkolben nun etwas schneller in den Spritzenkörper. Helge schmunzelte hinter der Kamera, was mir nicht entgangen war. „Warum schmunzelst du so?“ fragte ich Helga. „Na ja, du sitzt auf dem Sessel mit weit gespreizten Beinen, bekommst Einläufe, wichste dein Schwanz und trinkst dabei Wein als ob dies das normalste der Welt sei“. Ich schmunzelte nun auch und wichste meinen Schwanz langsam weiter.„Ein bisschen schneller könntest du deinen Schwanz schon wichsen“, sagte Klaus als er den Einfüllstutzen aus mein Loch zog. Ich schaute zu Klaus und wichste etwas schneller. „Soll ich auch abspritzen?“ „Ja, eigentlich schon“ sagte Klaus. „Aber es wäre super geil für unser Video, wenn du es hinbekommen könntest abzuspritzen wenn der Einlauf aus deiner Arschfotze schießt“. Ich rieß meine Augen auf und sagte zu Klaus: „So was habe ich ja noch nie gemacht. Ob ich das wirklich hinbekomme?“ Klaus verpasste mir gleich die nächste Füllung. „Versuche es einfach“, sagte Helga. Es wurde etwas still. Ich wichsten meinen Schwanz immer schnell, so wie Klaus mir die Füllungen mit dem blauen Wasser immer schneller in meinen Darm presste. Schnell wurde mein Bauch wieder voll. Ich spürte langsam einen leichten Druck im Darm. „Soll ich vorher ankündigen wenn ich spritze?“ „Nein, das musst du nicht“, sagte Klaus. „Ich glaube das werden wir schon sehen, wenn du richtig geil wirst und so kurz vorm abspritzen bist“. Ich hatte mittlerweile schon wieder 2 Liter von der blauen Flüssigkeit in meinem Darm. Der Druck wurde immer kräftiger. „Ich glaube ich bin langsam voll“, sagte ich zu Klaus. Klaus faste auf meinen Bauch, vorbei an meinen Schwanz, den ich nun kräftig am wichsen war. „Na, eine Dröhnung passt doch noch rein“. Schon füllte Klaus erneut die große Glasspritze. Ich schloss meine Augen und versuchte mich zu konzentrieren. Schon spürte ich den Einfüllstutzen in meine Arschfotze eindringen und kurz darauf mit großer Wucht die Füllung der Glasspritze.Ich stöhnte leise als ich weiter abgefüllt wurde und wichste immer schneller. Klaus zog den Einfüllstutzen aus mein Loch in dem Moment konnte ich die Füllung nicht mehr halten. Die blaue Brühe schoss im großen Bogen in den Plastikbehälter kurz darauf spritze ich meine Ladung auf meinen nackten Oberkörper, bist fast hoch zum Hals. „Wow“, sagte Helga. „Da kommt ja eine Ladung Sperma aus deinen geilen Schwanz. Einfach super“. „Na super“, sagte auch Klaus. „Hat doch fantastisch geklappt“.Ich machte meine Augen wieder auf und presste den letzten Tropfen Sperma aus meine Pissröhre. Klaus streichelte meinen gespreizten Schenkel auf seiner Seite.„Das war wirklich klasse“, sagte Klaus „Dann kann ich ja gleich die nächste Flüssigkeit holen“. „Wie die nächste Flüssigkeit?“ fragte ich etwas empört. „Na du bekommst noch einen weiteren Einlauf, nun mit gelber Flüssigkeit. Ich hab doch gesagt, wir machen ein buntes Video“. „Wie viele Einläufe bekomme ich denn noch?“ „Noch mindestens drei“, sagte Klaus. „Der nächste mit gelben Wasser, dann mit grünem Wasser und dann noch mit rotem Wasser“. Ich holte tief Luft. „Dann bring bitte etwas zum abwischen mit, damit ich mein Sperma vom Körper bekomme“. „Können wir das nicht drauf lassen?“ fragte Helga. „Sieht irgendwie super geil aus“. Klaus schaute mich an. „Ja, dass wäre doch eine gute Idee, oder?“ „Okay“ sagte ich. „Wenn es sein muss. Kann ich dann wenigstens noch ein Glas Wein bekommen?“ Reichte Klaus mein leere Weinglas. „Aber natürlich“. Klaus schenkte Wein in mein leeres Glas, da sagte Helga: „Ich würde auch noch eins nehmen“. Dann muss ich eine neue Flasche holen.Klaus klemmte sich die leere Flasche Wein unter den Arm, legte die leere Glasspritze auf dem Hocker, auf dem er saß und schnappte sich die Schüssel mit dem restlichem blauen Wasser und verließ den Raum. Ich streichelte die Innenseiten meiner Schenkel. Helge schaute mich an. „Du bist echt ein geiler Kerl“. „Danke“ „Das man mit dir solche Sachen machen kann, hätte ich nicht für möglich gehalten, dann wäre doch die intensive Druckbefüllung ganz das richtige für dich“. Ich holte wieder tief Luft. Klaus betrat den Raum mit der vollen Schüssel, mit dem gelben Wasser. Stellte die Schüssel hin und legte die Glasspritze hinein. Dann verließ er erneut den Raum, um kurz darauf zurück zu kommen, mit einer vollen Flasche Wein. Schenkte Helga ein und goss sich ein Schluck nach, denn er hatte kaum etwas getrunken. Klaus setzte sich wieder auf den Hocker und befüllt sogleich die leere Glasspritze mit dem gelben Wasser.„Könntest du deinen Schwanz wieder wichsen?“, fragte Klaus, als er die volle Glasspritze in seiner Hand hielt. Ich griff ohne nachzudenken an meinen schlaffen Schwanz und wichste ihn wieder langsam. „Aber ob ich erneut abspritzen kann, kann ich euch nicht versprechen“. „Wichs einfach deinen geilen Schwanz“, sagte Klaus. Er legt die volle Glasspritze zurück in die Schüssel. Griff nach dem Gleitmittel, machte einen ordentlichen Schwung auf zwei seiner Finger. Strich meine Rosette langsam damit ein und schob mir seine zwei Finger in meine Arschfotze. Als seine Finger in mich eindrangen stöhnte ich leise. Klaus bewegte seine Finger ein Weilchen rein und raus. Dies machte mich erneut total geil. Mein Schwanz stand wieder ganz steif und hart von meinem nackten Körper ab.„Okay Teddy“, sagte Klaus. „Ich werde nun versuche dir die Glasspritze in dein geiles Loch zu schieben“. Im Rasch meiner Geilheit sagte ich nur: „Ja mach“. Klaus nahm ein Küchentuch, machte seine zwei Finger trocken. Griff zur Glasspritze, führte den Einfüllstutzen an meine Rosette, drückte ihn langsam in mein Loch. Als der Spritzenkörper meine Arschspalte berührte lies ich meine Schließmuskeln ganz locker, um das Eindringen der Glasspritze in meine Arschfotze zu ermöglichen. Klaus übte einen stärkeren Druck gegen meine Arschfotze mit der Glasspritze aus, den mein Loch nicht lange widerstehen konnte. Langsam spreizte die Glasspritze meine Arschfotze auf und der Spritzenkörper drang in mich ein. Klaus schob die Glasspritze ca. 10 cm in mich rein und drückte dann den Kolben in den Spritzenkörper. Ich spürte wie die Flüssigkeit tief in meinen Darm vordrang. Als Klaus die leere Glasspritze aus meiner Arschfotze zog, kam ein Schwall Flüssigkeit hinterher. So schnell konnte ich meine Schließmuskeln gar nicht drücken, wie Klaus die Spritze raus zog.„Na das müssen wir wohl noch ein bisschen üben“, sagte Klaus und grinste dabei. Schon füllte er die nächste Füllung in die Glasspritze. Erneut schob Klaus mir den Spritzenkörper in meine Arschfotze. Bei jeder Füllung ein paar Zentimeter tiefer. Bei der dritten Füllung war sie über der Hälfte in meiner Arschfotze. Ich wichste meinen Schwanz unaufhörlich immer weiter.Klaus presste die dritte Füllung in meinen Darm. Als die Glasspritze leer war, zog er sie nicht raus, sondern lies sie in meiner Arschfotze stecken. Griff zu seinem Glas Wein und prostete mir zu. Helga sagte hinter der Kamera: „Das sieht total geil aus, wie die Spritze in deinem geilen Arsch steckt“. Griff auch zu ihrem Glas Wein, welches auf dem Boden stand, zwischen den Stativbeinen und nippte daran.„Es macht wirklich total Spaß mit dir“, sagte Klaus und schaute mich an. Streichelte meinen gespreizten Schenkel auf seiner Seite. Ich lächelte Klaus an, wichste meinen Schwanz und trank ein Schluck Wein.Mit der Glasspritze tief in meinem Arsch, fragte mich Klaus erneut. „Was ist nun mit den intensiven Druckbefüllungen? Würdest du so was nun machen lassen?“ „Ich hab noch keine Antwort auf meine Frage von vorhin bekommen?“ „Welche Frage“ „Wie oft ich zu dir kommen müsste und wie viele Einläufe ich dann jedes mal verabreicht bekäme?“„Die Anfangszeit müsstest du jeden zweiten Tag zu mir kommen. Du bekämst ca. 5 Einläufe, ähnlich wie heute, nur ohne farblichem Wasser“. Ich runzelte die Stirn. „Nach ca. 2 Wochen müsste sich dein Darm langsam an die Befüllungen gewöhnt haben, dann müsstest du täglich kommen, wo du dann bis zu 10 Einläufe bekommst, die du aber länger in dir halten musst“. Als ich das hörte, viel mir fast das Glas Wein aus der Hand. „Wie 10 Einläufe?“ fragte ich entsetzt. „Ich möchte mich bei der Anzahl der Einläufe nicht festlegen“, sagte Klaus und streichelte erneut mein gespreizten Innenschenkel. „Es ist nur eine theoretische Zahl, wir würden sehen wie gut du die Füllungen aufnimmst und in deinem Darm halten kannst“. Ich holte tief Luft und trank erneut ein großen Schluck Wein. „Wie lange würde das dann gehen?“ „Ich kann es nicht genau sagen“, antwortete Klaus. „Es hängt ganz von deinem Darm ab. Wenn wir ihn zusätzlich vielleicht noch mit Luft und langen Dildos dehnen würden“. Ich unterbrach Klaus und viel im ins Wort. „Wie mit Luft?“ „Na, du bekommst so einen Ballonkatheter in den Arsch und an stelle von Wasser, würden ich dir Luft mit einem kleinen Kompressor einpumpen, um so deinen Darm zu dehnen“. „Du bist verrückt“, sagte ich zu Klaus. „Und wie willst du mit Dildos mein Darm dehnen? Damit kannst du doch höchsten mein Eingang dehnen“. „Nicht ganz richtig“, sagte Klaus. „Wurde bei dir schon einmal eine Darmspiegelung gemacht?“ „Ja“, antwortete ich, „aber da bekam ich eine Narkose“. „Ja, dass machen die meist, damit es dem Patienten leichter fällt, bzw. sie besser in seinem Darm rum machen können. Ich hab lange Dildos von 30 cm bis 60 cm“. „Wie lang?“ rief ich gleich. „Na der längste Dildo ist ca. 60 cm lang und 4 cm dick und sehr biegsam. Damit kann ich auch deinen Darm langsam dehne, indem ich immer tiefer vordringe“.Ich trank das Glaswein mit einem Schluck aus. Hielt Klaus das leere illegal bahis siteleri Glas hin. Klaus schenkte sofort nach. „Was fällt dir denn noch alles ein“, fragte ich Klaus. Ich hatte immer noch die Glasspritze im Arsch und wichste meinen Schwanz leicht. „Hab ich deshalb die Glasspritze im Arsch?“ Klaus schmunzelte und sagte „Vielleicht“ Klaus zog die Glasspritze langsam aus meiner Arschvotze. Wieder kam ein Schwall Flüssigkeit hinterher. Klaus füllte sofort die Glasspritze. Ohne zu zögern stopfte er sie mir erneut rein, diesmal wieder ein Stück tiefer. „Hast du vor mir die Glasspritze ganz in meine Arschvotze zu schieben?“ „Wenn du es aushältst, würde ich das gerne machen“, sagte Klaus mit einem lächeln im Gesicht. Helga stand hinter der Kamera und betätigte den Sumer. „Das werden geile Nahaufnahmen“, sagte sie. Klaus drückte noch einmal gegen die eingeführte Glasspritze, um sie so noch etwas tiefer in mich rein zu schieben. Ich drückte meinen Arsch etwas dagegen. „Schau dir Teddy an“, sagte Helga. „Der will doch die Spritze ganz rein bekommen, sonst würde er nicht seinen Arsch dagegen drücken. Ich biss mir wieder auf die Unterlippe. Streichelte meine Innenseite vom Oberschenkel. Grinste Helga nur an. „Du bist schon eine geile Sau“, sagte Klaus und drückte die Glasspritze noch ein weiteres Stück tiefer in meine Arschfotze. Ich stöhnte leise und verschloss kurz meine Augen. Nachdem ich sie wieder öffnete, sah ich, dass der Glaspritzenkörper nur noch knapp 5 cm aus meinem Loch schaute. Die Glasspritze steckte nun 25 cm in meinem Arsch drin. Klaus drückte gegen den Spritzenkolben. Diese Füllung drang nun noch tiefer in meinem Darm vor.„Oh Gott“, sagte ich, als die ganze Füllung in mir war. „Was machst du nur mit mir?“ Ich wichste meinen Schwanz wieder etwas kräftiger. Der Wein hatte mich noch zusätzlich geil gemacht. „Wenn du es zulässt“, sagte Klaus „würde ich noch viel mehr mit dir machen wollen“. Ich schaute Klaus an. „Das könnte ich mir schon vorstellen, aber was du vor hast, mit der Druckbefüllung und der Dehnung meines Darms, ich weiß nicht“. Klaus streichelte plötzlich meine Hoden. Ich ließ meinen steifen Schwanz los, da griff Klaus danach und wichsten ihn. Ich stellte mein Weinglas auf die Sessellehne und streichelte nun mit beiden Händen die Innenseiten meiner Oberschenkel, bis hin zu der eingeführten Glasspritze. Helga betätigte wieder den Sumer. „Man ist das ein geiler Kerl“, sagte sie nur und schüttelte leicht ihren Kopf.Klaus wichste meinen Schwanz immer kräftiger. An meinen Bauchmuskeln konnte er wohl erkennen, dass mich dies sehr erregt und ich wohl kurz vor einem zweiten Samenerguss stand. Mit der Glasspritze im Arsch und der intensive Bearbeitung meines Schwanzes von Klaus, brauchte wir auch nicht lange darauf warten. Schon schoss erneut mein Sperma auf meinen nackten Oberkörper. Zwar nicht so eine große Ladung wie beim ersten Mal, aber auch ganz ordentlich.„Wow“, sagte Helga wieder. „Der Kerl ist ja unergiebig. Dem macht bestimmt der Gedanke geil, dass er seinen Darm gedehnt bekommen werden soll“. Klaus drückte die letzten Tropfen Sperma aus meinen Schwanz. Knetete meine Hoden und spiele mit meinem Schwanz und Hoden weiter rum. Ich reckte mich. Strich erneut über die Innenseiten meiner gespritzten Schenkel. Schaute Helga an und grinste. Der Wein zeigte wohl langsam seine Wirkung. Ob das Absicht von Klaus war, Wein anzubieten?Wenn ich etwas Alkohol getrunken habe, werde ich immer total geil und man könnte mit mir fast alles machen. „Na Teddy“, fragte Klaus erneut, als er meinen Schwanz bearbeitet. „Was ist nun? Machst du mit bei der intensiven Druckbefüllung?“ Ich griff zu meinem fast leeren Weinglas, nippte daran. „Ich bin mir nicht sicher, die vielen Einläufe, die Sache mit der Luft und die langen Dildos machen mir schon etwas Angst. Dazu kommt noch, dass du 5 Liter in mich rein pressen willst“. Die Füllung in meinem Darm machte sich langsam auch bemerkbar. Plötzlich schob sich der Spritzenkolben aus den Spritzenkörper und die Glasspritze füllte sich langsam mit dem gelben Wasser. Klaus und Helga bemerkten dies natürlich sofort und schauten zu, bis die Glasspritze halb gefüllt war. Klaus lies meinen Schwanz los und drückte mit der einen Hand den Kolben der Glasspritze wieder in den Spritzenkörper, wobei er mit der anderen leicht meinen Bauch massierte und dabei das frische Sperma breit wischte. Die Flüssigkeit drang wieder tief in meinen Darm vor. „Wir wollen doch, dass du schön abgefüllt bleibst“, sagte Klaus und zog anschließen die leere Glasspritze aus meinen Arsch. Wieder kam ein kleiner Schwall Flüssigkeit hinterher.Klaus füllte die Glasspritze erneut. Schob den kleinen Einfüllstutzen in meine Arschfotze, doch diesmal nicht den Spritzenkörper auch noch, sonder presste mir die Füllung gleich in meinen Darm. Dies wiederholte Klaus einige male, bis ich schließlich randvoll war und die ganze gelbe Brühe aus meinen Arsch schoss. „Super“, sagte Helga. „Eine geile Fontane“ Doch diesmal kam noch einiges Schwall artig nach. Das lag bestimmt daran, das Klaus mir ein paar Füllungen tiefer in meinen Darm gepresst hatte. „Super Teddy“, sagte Klaus der noch die leere Glasspritze in seiner Hand hielt. „Dann können wir ja gleich zur nächsten Farbe übergehen“. Ich schaute Klaus an. „Wollen wir nicht mal eine Pause machen? Ich müsste auch mal pinkeln“.„Pissen kannst du auch hier“, sagte Klaus. „Wie hier? Soll ich mich etwa anpissen?“ „Das wäre auch eine geile Idee“, sagte Helga. Klaus sagte: „Ja, wenn du das machen würdest, wäre echt geil. Du kannst aber auch in den Plastikbehälter pissen.Ich schaute Klaus und Helga mit gerunzelter Stirn an. Verzog meine Mundwinkel und biss mir anschließen auf die Unterlippe. Ich sagte schließlich: „Ach scheiß, was soll´s. Ich bin eh schon voll mit Sperma, da kommt es wohl auf ein bisschen Pisse auch nicht mehr drauf an“. „Geil“, sagte Klaus. „Soll ich meinen Schwanz selbst halten, oder will das einer von euch machen?“„Oh Gott“, sagte ich. „Was mache hier nur?“ „Deine Geilheit ausleben“, sagte Klaus, der sich meinen Schwanz griff. Klaus hielt meinen Schwanz fast Kerzengerade. Ich holte tief Luft und lies schließlich meine Schließmuskeln im Schwanz ganz locker und drückte ein wenig. Schon kamen die ersten Tropf aus meiner Pissröhre und kurz darauf ein mächtiger Strahl. „Ja, piss du kleine Sau“, sagte Helga die wieder den Summ betätigte. Klaus drückte meinen Schwanz nun in Richtung meines Oberkörpers. Ich drehte meinen Kopf zur Seite, weil der Strahl bis hoch zu meinem Kopf reichte. In dem Moment sagte Helga: „Dreh dein Kopf wieder rum und mach dein Mund auf“. Ich schaute Helga seitlich an. „Komm du kleine Sau, du brauchst das doch“, fuhr Helga mit ihren Worten fort. „Los mach“. Langsam drehte ich meinen Kopf gerade. Der Strahl traf auf mein Gesicht. Klaus drückte meinen Schwanz so, dass der Strahl genau auf meinen Mund traf. Ich öffnete langsam mein Mund und die erste Ladung traf voll rein. Ich spuckte die Pisse gleich aus. „Du sollst schlucken du Sau“, sagte Helga erneut. Ich sah Helga etwas böse an. Macht schließlich meinen Mund erneut ein Stück auf. Wieder drückte Klaus meinen Schwanz so, dass der Strahl in meinen Mund landete. Als einiges in meiner Mundhöhle war, schloss ich meinen Mund und schluckte die Pisse runter. „Ich wusste es doch“, sagte Helga. „Du bist eine richtig versaute geile Sau. Schon als ich dich nackt sah, du kein Hehl daraus gemacht hast, die nackt zu zeigen“. Der Strahl wurde langsam kleiner, bis nur noch ein paar Tropfen aus meiner Pissröhre kamen.Klaus schüttelte meinen Schwanz noch ein paar Mal und lies ihn schließlich los. Nun saß ich nackt und breitbeinig auf dem Sessel, voll mit Sperma und Pisse. Ich glaube nun kann nichts schlimmeres mehr kommen. Klaus nahm ein paar Blätter von der Küchenrolle und wischte meinen nassen Oberkörper etwas trocken. „Ich hoffe ich kann nachher noch duschen gehen, bevor ich nach Hause fahre?“ „Aber selbstverständlich“, sagte Klaus und verließ den Raum mit den feuchten Küchentüchern und der fast leeren Schüssel mit dem gelben Wasser. „Du bist echt eine kleine Sensation“, sagte Helga. Ich hab ja schon vieles in Videos, im Internet gesehen, aber so live noch nie.Klaus kam mit einer etwas größeren Schüssel mit grünem Wasser zurück. „Das ist aber jetzt mehr, als wie bei den ersten beiden Male?“, stellte ich verwundert fest. „Ja“, sagte Klaus. „Nun möchte ich dich auch bitten, die Füllung so lange wie möglich in deinem Darm zu behalten. Ich würde dich aber auch gerne zu stöpseln“. „Was meinst du mit zu stöpseln?“ Klaus holte einen mittelgroßen Plug aus seiner Hosentasche. Der Plug war ca. 12 cm lang und 5 cm dick. War vorne offen und hinten hatte ein Stück Schlauch raus geguckt. Als ich das Teil sah, rief ich: „Was ist das denn?“ „Das ich ein Befüllplug. Den würde ich dir gerne in deine geile Arschfotze schieben. Der Plug verhindert, dass die Füllung in deinem Darm gleich aus dich raus schießt, wenn du etwas voller bist als sonst. Durch den Schlauch hier“, Klaus drehte den Plug etwas rum und zeigte mir die Rückseite. „Kann ich die Flüssigkeit in deinen Darm befördern“. Ich starte auf das dicke große Ding.Als ich mich angepisst hatte, dachte ich noch, es kann ja nicht schlimmer werden, kann es wohl doch, viel mir nun auf. „Wie viel willst du denn in meinen Darm rein pressen, dass du so ein Plug benötigst?“ „Na ja, die grüne Flüssigkeit ist ca. 2 1/2 Liter. Die möchte ich gerne komplett in dich rein bekommen“. Ich runzelte wieder die Stirn. Dachte mir, na ja 2 1/2 Liter müssten ja zu verkraften sein. Ich holte tief Luft und sagte schließlich: „Okay, du kannst den Plug nehmen“. „Super“ sagte Klaus und griff gleich zu der Dose mit dem Gleitmittel. Nahm etwas davon und rieb damit den Plug ein. „Ich werde mal nicht zu viel nehmen, nicht das der Plug dann leicht raus flutschen kann“. Nahm den Plug in seine Hand, führte in in Richtung meiner Rosette. Schon stupste der Plug an mein leicht geöffnetes Loch, da ich meine Schließmuskeln schon ganz locker gelassen hatte. Mit einem kräftigen Druck, presste Klaus mir das dicke Teil in meine Arschfotze. Ich stöhnte laut, als das dickste Teil von dem Plug meine Arschfotze passierte. Dann flutschte der Rest rein. Klaus drückte noch mal ein wenig nach. „Super“, sagte Klaus. „Der passt ja wie angegossen“. Ich hatte ein geiles Völlegefühl von dem Plug bekommen. Ich muss ja zu geben, ich hab gerne was in meinem Hintertürchen.Ich nahm mein Glaswein von der Sessellehne und trank es aus. „Möchtest du noch ein Glas Wein?“ fragte Klaus. „Klar, warum nicht. Nun ist doch eh alles egal. Kann ich mir auch einen kleinen antrinken“. Klaus schmunzelte mich an und füllte mein Glas. Helga reichte ihm auch ihr Glas, welche Klaus auch füllte, den letzten Rest, schüttete er sich selbst ins Glas, stellte die leere Falsche auf den Boden. „Na dann prost“, sagte Helga und wir prosteten uns zu. Jeder nahm ein großen Schluck.Klaus stellte sein Glas zurück auf den Boden, nahm die Glasspritze und füllte sie mit dem grünen Wasser. Klaus stöpselte den Einfüllstutzen an den Schlauch, hielt den Schlauch und den Einfüllstutzen mit der einen Hand fest und drückte mit der anderen Hand den Kolben der Glasspritze in den Spritzenkörper. Schon spürte ich die Flüssigkeit in meinen Darm eindringen. Es folgten mehrere Füllungen. Die Schüssel wurde langsam leerer und mein Darm immer voller.Als über die Hälfte von der grünen Flüssigkeit in meinem Darm war, fragte Klaus mich erneut: „Was ist nun mit der intensiven Druckbefüllung? Können wir das bei dir nun machen?“ Ich schaute wieder zu Helga und Klaus.“Machst du nicht schon so was, oder denkst du ich merke das nicht?“ Klaus schmunzelte mich an. „Mist, hast mich erwischt. Ja, so ähnlich. Ich wollte dir mal einen kleinen Eindruck geben und zeigen, dass das alles gar nicht so wild ist“. „Na ja“, sagte ich. „Du willst mir aber schließlich bis zu 5 Liter in mein Darm pressen und zuvor die ganze Dehnung mit den vielen Einläufen, der Luft und den langen Dildos“. „Daran wirst du dich schon gewöhnen. Du bekommst du gerne Einläufe in deinen geilen Arsch, oder irre ich mich da?“ „Nein, da hast du schon recht. Mich macht das schon geil, mit den Einläufen und so“. „Na siehst du“. „Aber so viele“. „Wir fangen ganz langsam an und steigern dann allmählich. Du wirst dann schon sehen, nach eins, zwei Wochen ist dein Darm schon aufnahmefähiger“. „Na ja, mag vielleicht sein und das mit der Luft?“ „Das mit der Luft würde ich zur Unterstützung nehmen, damit wir vielleicht schneller an unser Ziel kommen. Das funktioniert ähnlich wie mit diesem Plug“. Klause stupste den Plug in meinem Arsch an. „Nur das der andere Plug ein Art Ventil hat, wo ich die Luft entweichen lassen kann, ohne die Verbindung zwischen Kompressor und Plug zu lösen“. „Die Sache mit dem Kompressor gefällt mir nicht so richtig“. Da brauchst du keine Angst zu haben. Das ist nur ein kleiner Kompressor, der für Bastelzwecke dient, zum besprühen von Modellen mit einer Airprech Pistole. Der hat nicht viel Bar als Ausgang“. Klaus befüllte unterdessen mein Darm immer weiter. „Ja, aber der lange Dildo. Wenn ich schon an 60 cm nur denke, wird mir Angst und Bange“. „Den kommst du doch auch nicht auf einmal, mit der gesamten Länge, in dein Darm. Immer schön Stück für Stück und du wirst sehen, du findest das richtig geil, wenn du immer mehr in dich hinein bekommst“. „Ich weiß nicht. Bei 60 cm hört die Geilheit glaube ich auf“. Ich nippte wieder an mein Glaswein. Plötzlich sagte Klaus: „Schau, nun kommt schon die letzte Füllung von der grünen Flüssigkeit in dein Darm“. Ich schaute in die leere Schüssel. Tatsache, Klaus hatte bei unserem Gespräch mir die ganzen 2 1/2 Liter in mein Darm gepresst. Klaus legte die leere Glasspritze in die leere Schüssel. Faste mit einer Hand auf meinen, nun etwas sichtbare, dicken Bauch und streichelte ihn. „Das sieht doch schon ganz gut aus“. „Ja“, sagte Helga. „Richtig geil anzusehen so ein kleines rundes Bäuchlein“. Ich schaute auch auf mein Bäuchlein. „Ich weiß ja nicht. Ich finde mich geiler mit dünnen Bauch“. „Der bleibt ja nicht so“, grinste Klaus. „Du kannst ja nachher die Füllung wieder rauslassen, ohne Stundenlang auf einem Laufband stehen zu müssen, um den dicken Bauch abtrainieren zu müssen“. „Stimmt“, sagte ich. „Was meinst du eigentlich mit nachher?“ „Ich dachte mir , du behältst die Füllung mal ein Weilchen in deinem Darm“. „Du Schlitzohr“, sagte ich grinsend zu Klaus. „Du willst mir die Druckbefüllung schmackhaft machen“. „Wieder erwischt“, sagte Klaus und griff zu seinem Glas Wein.Ich streichelte wieder die Innenseiten meiner gespreizten Oberschenkel, langsam hoch und runter. Berühre kurz den eingeführten Plug, bis ich schließlich meine Hoden und Schwanz bearbeitete. Klaus streichelte weiter mein kleines dickes Bäuchlein. „Wie fühlst du dich?“, fragte Klaus. „Och, ganz gut“, sagte ich und wichste leicht meinen Schwanz. „Siehst du, dein Darm hat sich schon an eine Befüllung gewöhnt und das nur in einer kurzen Zeit“. „Ja vielleicht, aber ich hab doch nur 2 1/2 Liter im Darm und keine 5 Liter“. „Wenn wir fleißig üben, wirst du auch die 5 Liter schaffen“. Ich verzog wieder meinen Mund. „Aber warum muss ich mich vor deiner Wohnungstür nackt ausziehen?“ „Das soll als zusätzlicher Kik für dich werden“. „Für mich?“ „Ja, du zeigst dich doch gerne nackt, oder in geiler Reizwäsche canlı bahis siteleri wie in halterlosen Strümpfe und Stiefel“. „Ja schon, aber eher in Pornokinos oder nachts auf der Straße, wenn alle schlafen“. „Na, na, nicht Lügen“, sagte Klaus. „Du gehst auch nackt oder in halterlosen Strümpfe und Stiefel zum Müllschlucker in deinem Haus“. „Okay, nun hast du mich erwischt“.„Das du dann später im Mantel kommen sollst und darunter nackt mit halterlosen Strümpfe und Stiefel bist, ist ja nun auch keine Sache“. „Nee, aber ich soll ja dann auch noch Metallfesseln tragen“. „Na und“. „Na wie ich dich nun langsam kenne, werde ich wohl den Mantel auch irgendwann vor deiner Wohnungstür ausziehen müssen“. „Falsch“ sagte Klaus und schmunzelte dabei. „Den Mantel wirst du nämlich unten im Treppenhaus ausziehen und auf dem Treppengeländer ablegen“. Ich schaute nun Klaus mit großen Augen an. „Wie ich soll den Mantel ausziehen und auf das Treppengeländer legen? Was ist wenn der dann weg ist? Soll ich dann etwa nackt in halterlosen Strümpfen und Stiefel nach Hause gehen?“ „Das wird schon nicht passieren“. „Und wenn doch?“ Dann bekommst du von mir etwas zum anziehen für den Heimweg“. Ich holte wieder tief Luft und nippte an meinem Weinglas. Langsam machte sich nun doch die Füllung in meinem Darm bemerkbar.„Klaus“, fragte ich nun. „Ich glaube die Füllung will aus meinen Arsch. Wie willst du das jetzt machen?“ „Ganz einfach“, sagte Klaus. „Ich werde den Plug aus dein geiles Loch ziehen und du lässt die Füllung raus“. „Die Theorie hört sich einfach an, aber mein bedenken wäre, wenn du den Plug über die dicke Stelle aus meiner Arschfotze hast, wird der Rest praktisch raus schießen und die ganze Brühe auch, da ich die Füllung nun schon ein Weilchen in mir haben, hat sich bestimmt ein größerer Druck aufgebaut, als zu vor“. „Lassen wir uns einfach überraschen“, sagte Klaus und fummelte an den eingeführten Plug. Und es kam genau so wie ich es ahnte. Klaus hatte das dicke Teil vom Plug aus meiner Arschfotze gezogen und plötzlich schoss die ganze grüne Brühe, samt dem Plug, aus meinem großem, offenem Loch. Helga betätigte wieder den Summer. „Teddy hat ja nun ein geiles großes, offenes Loch. Das sieht ja geil aus“, sagte Helga. Klaus guckte nun auch etwas genau zu meinem Arsch. Schon steckte er drei Finger in mein Loch und bohrte sie bis zum Anschlag hinein. Ich stöhnte sofort ganz laut dabei.Klaus bearbeitete mein nasses geiles Loch nun mit seinen Fingern. Oh Gott, ich wurde schon wieder geil. Klaus stopfte mir seine drei Finger immer wieder bis zum Anschlag rein, bis er schließlich noch einen vierten Finger dazu nahm. Unter stöhnen fragte ich Klaus: „Ich denke du willst meinen Darm dehnen und nicht meine Arschfotze?“ Klaus bearbeitete meine Arschfotze immer weiter und kräftiger. Es gefiel Klaus wohl, dass ich dabei wieder total geil wurde. „Du willigst ja nicht ein, dass wir eine intensive Druckbefüllung bei dir machen dürfen, da muss ich mir wohl deine geile Arschfotze vor nehmen“. „Na bevor ich so eine intensive Druckbefüllung bekomme, müsstest du doch erst meinen Darm dehnen“. „Das will ich ja auch gerne machen“, sagte Klaus und massierte nun mit der anderen Hand meinen steifen Schwanz. Ich krallte mich an den Sessellehnen mit beiden Händen fest, regelte meinen nackten Körper und presste meinen Schwanz in Klaus seine Hand und den Arsch bewegte ich im Takt seiner Fickbewegungen mit. Klaus lies nicht locker. „Komm Teddy du geiles Stück, willige ein und sag ja“. In meinem Weinrausch und erneuter totalen Geilheit sagte ich plötzlich: „ Ja, ja ,ja“. Klaus wichste meinen Schwanz noch etwas kräftiger und mein Sperma schoss ein drittes mal aus meiner Pissröhre, auf meinen nackten Körper. „Soll das beuten du willigst ein, dass ich deinen Darm dehnen darf, bis hin zur intensiven Druckbefüllung?“Ich schaute Klaus etwas erschöpft an, von der geilen Bearbeitung. Holte schließlich tief Luft und sagte: „Ja, du lässt ja eh keine Ruhe, aber bitte langsam“. Klaus streichelte meine Innenseite meines Oberschenkels auf seiner Seite. „Klasse, ich freue mich“, sagte Klaus. Auch Helga lächelte und sagte: „Ich werde einige mal dabei sein und alles auf Video fest halten, um deine Fortschritte gut zu dokumentieren“. Ich schaute Helga etwas fragend an. „Wieso dokumentieren?“ „Na, wir sind eine Gruppe im Internet, die ihre Erfahrungen gegenseitig austauschen“. „Was soll das heißen? Willst du Filme von mir ins Netz stellen?“ „Nicht direkt, mehr von deinem Körper und deinem Bauch“. Klaus viel Helga ins Wort. „Teddy stellt doch selbst Videos und Bilder ins Netz, er soll mal jetzt nicht so tun“. Ich schaute Klaus etwas böse an, weil er mich vor Helga gleich bloß stellte, doch dann viel mir ein, Helga wird doch bestimmt auch meine Seite bei xHamster kennen.Klaus streichelte erneut die Innenseite meines gespreiztem Oberschenkels. „Ich glaube das ist jetzt ein Gläschen Sekt wehrt“, sagte Klaus. „Ja“, sagte Helga „Lass uns anstoßen mit Sekt, auf geile Stunden mit Teddy und auf einen aufnahmefähigen Darm“. Klaus stand vom Hocker auf. Streichelte meinen Bauch und schmierte das darauf befindenden Sperma wieder breit. Ich verzog etwas meinen Mund und schaute Klaus hinterher, wie er den Raum verließ und die leere Schüssel mitnahm.Kurz darauf kam Klaus zurück, mit wieder einer anderen Schüssel, mit rotem Wasser, die mir noch ein weniger größer erschien. „Ist das etwa noch mehr Wasser, als beim letzten mal?“ Klaus stellte die Schüssel ab, grinste und verließ wieder den Raum. Dann kam Klaus zurück mit drei Gläser Sekt in der Hand. Ich fragte mich, wo er so schnell den kalten Sekt her hatte, als er mir das Glas reichte und ob das nicht alles schon so geplant war. Klaus sagte schließlich: „Dann würde ich sagen, mal prost und gute Erfolge bei Teddy Darmdehnung“. Die Gläser trafen sich zwischen meinen gespreizten Beinen und klirrten, als sie zusammen stießen. Wir tranken alle einen kleinen Schluck Sekt.„Du hast noch nicht meine Frage beantwortet Klaus“. „Welche Frage?“ „Ob das nun noch mehr Wasser ist, als beim letzten mal?“ Klaus schmunzelte. „Mach dir mal keine Gedanken, du musste nicht alles in deinem Darm aufnehmen, es wäre nur Klasse, wenn du es trotzdem schaffen würdest. „Wie viel“, fragte ich erneut, aber etwas energischer. Klaus streichelte wieder die Innenseite meines gespreizten Oberschenkel. „Das wären 3 Liter“. Ich schaute Klaus mit großen Augen an. Trank ein Schluck Sekt. „Und wie sollen die rein? Wieder mit dem Füllplug? „Nein, ich würde da mal etwas ausprobieren wollen“. „Ausprobieren, wie jetzt ausprobieren“. Klaus stand auf und verließ den Raum. Kam aber sofort wieder zurück, als ob das Zeug, welches er in seiner Hand hielt, vor der Tür, im Flur lag.Klaus hatte einen Stück Gartenschlauch in der Hand, wo an dem einen Ende ein Trichter befestigt war und in der anderen Hand hielt Klaus einen kleinen Messbecher. Ich starte auf den Schlauch. „Was hast du denn damit vor?“ „Ich möchte dir das Ende“, Klaus zeigte mir das eine Ende ohne Trichter, „in deine Arschfotze schieben und dann mit dem Messbecher die Flüssigkeit in den Trichter schütten“. Klaus zeigte mir den Trichter. Der Schlauch war ca. 60 cm lang und ca. 2 cm dick. „Du willst mir aber den Schlauch nicht ganz rein schieben, oder?“ Klaus schmunzelte. „Nein, nur so tief wie du es schaffst. Ich möchte dir aber einen kleinen Tipp geben“. „Welchen?“, fragte ich etwas trotzig. „Um so tiefer ich dir den Schlauch schieben kann, um so leichter wird es dir fallen, die Flüssigkeit in deinem Darm aufzunehmen“.Ich holte tief Luft. „Also hast du doch vor, die ganze Flüssigkeit in meinen Darm zu bekommen?“ „Wir werden sehen. Lass es uns einfach probieren“. „Soll das heißen, du hast so was noch nicht gemacht?“ „Nein, das wäre auch für mich eine Premiere“. Ich verzog wieder meinen Mund und nippte am Sektglas. Klaus griff wieder zur Dose mit dem Gleitmittel. Machte etwas Gleitmittel auf einen Finger und schmierte dies auf den Schlauch. Klaus schmierte so ca. 30 cm von dem Schlauch ein, als er noch ein weiteres Teil von dem Schlauch mit dem Gleitmittel bestrich, fragte ich: „Wie viel willst du noch einschmieren?“ fragte ich etwas ängstlich. Klaus schaute mich wieder grinsend an. „Lass mich mal machen“. Als Klaus ca. 40 cm mit dem Gleitmittel beschmiert hatte, sagt ich dann erneut: „Wie tief willst du denn mit dem Schlauch in mich rein?“ „Ich habe dir doch gesagt, um so tiefer, um so besser für dich“. „Ich weiß ja nicht, um so besser für mich“. Klaus machte schließlich einen weiteren großen Schwung des Gleitmittels auf zwei Finger. Stellte die Dose auf den Boden und schob mir die Finger in meine Arschfotze. Klaus schob ein paar mal seine Finger rein und raus. Was mich natürlich wieder geil werden lies. Leise stöhnte ich dabei.„Teddy ist wirklich unersättlich“ ,sagte Helga. Klaus zog seine Finger aus meine Arschfotze und schob sofort ein Stück von dem Schlauch in mein flutschiges Loch. Schnell waren die ersten 20 cm in mir drin. Klaus schob den Schlauch langsam immer tiefer. Bei ca. 30 cm hatte ich ein blödes Gefühl im Darm und zuckte leicht zusammen und griff zu dem Schlauch, um Klaus daran zu hindern, diesen noch tiefer in mich rein zu schieben. Klaus schob erst meine Hand kurz weg um schnell noch weitere 5 cm in mich rein zu bekommen, doch dann griff ich erneut nach den Schlauch und zuckte etwas stärker. „Ich glaube das reicht Klaus“. Klaus hörte auf den Schlauch tiefer in meinen Darm zu schieben. „Okay“ sagte Klaus, „vielleicht kann ich dir nachher noch ein Stück rein schieben“. Klaus hielt nun mit einer Hand den Trichter und mit der anderen Hand nahm er den Messbecher und füllt diesen mit dem roten Wasser. Klaus hielt den Trichter nun gerade hoch und füllte das Wasser hinein. Sofort lief die Füllung in meinem Darm, es hörte sich an, wie ein Strudel in einem alten Waschbecken. Helge musste dabei schmunzeln als sie dies hörte. „Das hört sich ja an, als ob Teddy ein altes Waschbecken wäre, welches total leer ist“. Ich fand das Geräusch auch irgendwie lustig und schmunzelte auch. „Ich bin doch kein altes Waschbecken“. Nippte wieder an meinem Sektglas. Schon kam die nächste Füllung mit dem Messbecher hinein.Nach drei, vier solcher Füllungen, schob Klaus den Schlauch wieder ein kleines Stück tiefer in mich rein. Ich zuckte erneut etwas zusammen und griff zu seiner Hand. Klaus schüttete weitere zwei, drei Messbecherladungen in den Trichter. Dann schob er erneut wieder ein Stück von dem Schlauch in meinen Darm. Doch irgendwie muss er wohl über einen Punkt hinweg gekommen sein, denn es macht mir nicht viel aus. Klaus merkte dies und schob den Schlauch gleich ein weiteres Stück in meinen Darm. Ich biss mir auf die Unterlippe, als ich sah, dass der Schlauch nur noch ca. 20 cm aus meinen Arsch guckte.Helga sagte leise: „Es wäre total geil Teddy, wenn du deinen geilen Schwanz wieder wichsen könntest, etwas steif ist er ja schon geworden. Ist doch ein Zeichen, dass es dich doch etwas geil macht, was Klaus da mit dem Schlauch macht“.Ich schaute Helga an, schmunzelte und griff zu meinen leicht steifen Schwanz. Klaus legte den Messbecher in die Schüssel, in die rote Flüssigkeit. Griff zu der Dose mit dem Gleitmittel und schmierte den restlichen Schlauch, bis zum Trichter, ein. Ich sah das zwar, verlor aber kein Wort.Klaus schob erneut den Schlauch ein weiteres Stück in mich rein. Ich wichste meinen Schwanz etwas schneller. Anschließen griff Klaus wieder zu dem Messbecher und befüllte meinen Darm weiter. Das hole Geräusch kam bei jeder Füllung zum Vorschein. Jedes mal mussten wir schmunzeln. Klaus schüttete und schüttete. Schob den Schlauch erneut ein weiteres Stück in meinen Darm. Ich erschrak plötzlich, als ich sah, dass nur noch der Trichter aus meiner Arschfotze schaute. „Na siehst du“, sagte Klaus. „Mit etwas Geduld und Willen klappt alles. Dann kann ich ja den Trichter auch noch rein schieben“. Mir stockte der Atem. Ich holte anschließen wieder tief Luft. „Glaube auf die 10 cm kommt es nun auch nicht mehr an“. Kaum hatte ich dies ausgesprochen, war der Trichter schon bis zum Anschlag in meiner Arschfotze. „Wow“ ,sagte Helga. „Das hätte ich jetzt nicht gedacht, dass du den ganzen langen Schlauch in Teddys Darm bekommst“. Ich war ebenso erstaunt.Klaus schüttete weitere Füllungen in den Trichter. Ohne darauf zu achten, wie viel nun eigentlich schon in meinem Darm war, wichste ich meinen steifen Schwanz weiter. Plötzlich sah ich im Augenwinkel, wie Klaus die Schüssel griff, den Messbecher auf das Tischchen stellte und die Restliche Flüssigkeit in den Messbecher schüttete. Ich schaute erneut mit großen Augen und sagte: „Nee wa, du hast wirklich die ganzen Schüssel Wasser in meinem Darm bekommen? Ich fasse es nicht“. Klaus schmunzelte. „Ich hab doch gesagt, um so tiefer der Schlauch in deinem Darm ist, um so leichter für dich“. Ich grinste Klaus an, als er den letzten Rest in den Trichter schüttete. Mein Bauch war nun sichtbar dicker geworden. Klaus zog den Trichter und den Schlauch ganz langsam und vorsichtig aus meinen Darm. Nach kurzer Zeit war alles draußen, nur die Füllung nicht. Klaus massierte mein dickes Bäuchlein. „Na, das sieht doch wieder geil aus“. Ich war da anderer Meinung und wichsten meinen Schwanz leicht weiter. Klaus strich einige Zeit über mein Bäuchlein. Langsam machte sich jedoch die große Füllung in meinem Darm bemerkbar.„Ich glaube“, wollte ich gerade sagen. Da schoss schon die ganze rote Brühe in den Plastikbehälter, der auch immer voller wurde, aber mit buntem Wasser. „Ohhh man, sieht das klasse aus, sagte Helga. Diesmal kamen noch einige Schwalle hinter her. Die Flüssigkeit war ja auch ziemlich tief in mir drin. Als ich endlich ganz leer war, sagte ich: „Aber für heute ist nun gut“. Trank das Glas Sekt aus und wollt gerade meine Beine zusammen machen, als Klaus mir zwischen meine gespritzten Schenkel, am meine Arschfotze griff. „Teddy, das war einfach total spitze mit dir. Ich möchte mich recht herzlich für den total geilen Abend bedanken“. Schob mir erneute einen Finger in meine Arschfotze. Helga meldete sich auch zu Wort. „Ja, Teddy, da möchte ich mich anschließen. So was geiles wie dich hab ich noch nie gesehen. Ich werde aus dem ganzen Videomaterial ein tolles Filmchen machen“. „Danke“, sagte ich zu Helga und Klaus. „Mir hat es ja auch irgendwie Spaß gemacht, obwohl ich erst sehr skeptisch war und nicht gedacht hätte, was alles so möglich ist bei mir. Ich würde aber jetzt trotzdem gerne duschen gehen“. „Okay“, sagte Klaus. „Geh du duschen, wir räumen hier auf. Das Bad ist hinten links, Handtücher liegen auf der Waschmaschine. Wenn du Lust hast, können wir uns ja noch in die Stube setzten und ein Gläschen Wein trinken“. „Ja, warum nicht“, sagte ich und stand vom Sessel auf. „Es wäre super, wenn du nackt bleiben würdest, sagte Helga als ich den Raum verließ und zum Bad ging.Nach dem duschen kam ich nackt aus dem Bad, sah gegenüber im Flur eine Tür offen stehen, wo ein dämmriges Licht heraus kam und leise Musik. Ich ging durch die Tür, da saß Klaus auf einer Couch und Helge gegenüber auf einen Sessel.„Komm her zu mir“, sagte Klaus. Ich setzte mich nackt zu Klaus auf die Couch. Wir unterhielten und noch eine ganze Weile, hauptsächliche über die bevorstehende Darmdehnung bei mir.Irgendwann weit nach Mitternacht rief Klaus mir ein Taxi und ich fuhr nach Haus.=== ENDE Episode II ===Was nun aus der Darmdehnung wurde und ob alles so ablief, wie es Klaus ausgedacht hatte, ist eine andere Geschichte, oder ihr malt es auch selbst aus.Vorschau:Episode III – Bernd und die DildosEpisode IV – Harald´s Fickmaschine oder die Kamera im Arsch und Schwanz

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Der Strand

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Der StrandAls der Wagen nach endlos erscheinenden Kilometern auf der heißen Landstraße in den kleinen Feldweg einbog, der sich ein Stück weit Richtung Küstenlinie hinschlängelte, hatte sich Claudia wieder beruhigt. Sie wusste nicht, was sie vorhin geritten hatte. Beim letzten Halt, als sie sich schon fast ins Höschen gepinkelt hätte, hatte sie sich durch die blöden Bemerkungen ihres Mannes Paul und ihres Sohnes hinreißen lassen, offen vor den beiden zu pinkeln. Und nicht nur das, sie hatte sich vollständig mit nacktem Unterkörper offen präsentiert – vor ihrem Sohn! Und als ob das nicht schon genug wäre, hatte sie – angestachelt von den kindischen Weitpinkel-Bemerkungen ihrer Männer – auch noch ihre Möse weit gespreizt und in Richtung der im Auto sitzenden, gaffenden Jungs gepinkelt, den nur so kann man als Frau überhaupt schön weit und vor allem gezielt pinkeln!Als sie fertig war, wurde ihr erst vollständig bewusst, dass sie sich ihrem eigenen Sohn! komplett offen und sehr unmütterlich präsentiert hatte und das nur, weil sie über die kindischen Bemerkungen der Zwei verärgert war. Als sie dann in Daniels Gesicht sah, glaubte sie neben seinem offensichtlichen Erstaunen auch blanke Lust zu sehen – oder war das nur ihr Wunschdenken? Denn im Unterbewusstsein machte sie die Situation unglaublich heiß.Um dem ganzen die Krone auf zu setzten, schickte Paul, ihr Mann, doch tatsächlich Daniel zu ihr, um ihr Taschentücher zum Abwischen zu bringen und ab da übernahm wohl das Teufelchen auf ihrer Schulter die Regie, den Sie ließ sich absichtlich von ihm ihr Heiligstes trocken wischen. Sie fuhr ihn sogar noch frech an, als er das erst schüchtern, eindeutig überrumpelt und sehr vorsichtig machte.Damit hatte sie ihn wohl in seiner Ehre gepackt – oder seiner Geilheit, da war sie sich nicht mehr sicher, denn plötzlich, wie verwandelt, sah er ihr tief in die Augen und wischte langsam über ihre nackte Möse, ihre Rosette und drückte sogar gegen ihren Kitzler. Es fuhr ihr wie ein Blitz in den Unterleib und sie wurde schlagartig feucht. Und ausgerechnet jetzt kam doch wieder die Mutter durch.„Mein Gott, was mache ich hier eigentlich“ schoss es ihr durch den Kopf „das ist mein SOHN!, und mein Mann schaut auch noch dabei zu!“Sie wäre jetzt am liebsten sofort aufgesprungen und hätte sich bedeckt, aber durch ihre Position – kauernd und nach hinten gelehnt – kam sie ohne Hilfe tatsächlich nicht so ohne weiteres hoch.Sie musste sich von Daniel hoch helfen lassen, der Gott sei Dank „fertig“ war.Sie streckte ihm die Hand entgegen und ließ sich nach oben helfen, schnappte sich schnell das am Boden liegende Höschen und ging Richtung Auto – mit hochrotem Kopf.Das Auto stoppte und riss sie aus ihren Gedanken. Vor ihnen lag eine winzig kleine Bucht, umrandet von niedrigen Felsgruppen und einem kleinen Stückchen Sandstrand. Rings herum stiegen die Felsen an und wurden oben von Sträuchern und Akazien gesäumt. Sie stiegen aus und streckten ihre Glieder.„Ist das schööön hier“ stöhnte Paul als er die Arme hoch streckte und sein Kreuz durchbog „und tatsächlich total einsam!“Sie sahen sich um – und wirklich, es war niemand zu sehen, die Bucht war menschenleer.„Von da oben hat man bestimmt eine klasse Aussicht.“ Paul nahm seinen Fotorucksack und stiefelte los „ bis später ihr Zwei.“Daniel kletterte aus dem Wagen und stackste die paar Meter zum Strand hinunter. Er vermied direkten Blickkontakt mit seiner Mutter – er wusste einfach nicht, wie er mit der Situation von vorhin umgehen sollte. Auch seine Reaktion war ihm im Nachhinein absolut unverständlich. Sie war seine Mutter!Er hatte seiner Mutter zwischen die Beine gefasst! Oh Mann. Sie hatte ihn aber auch dazu herausgefordert, und das machte es noch verwirrender. Er fand seine Mutter schon seit einiger Zeit scharf. Sie war keine Modell-Schönheit, aber hatte eine super Figur – überall etwas mehr dran, aber eben nicht ZU viel. Sie hatte schöne Brüste. Er hatte keine Ahnung von Körbchengrößen, aber wie sein Vater immer im Spaß sagte „eine Hand voll reicht“. Er hatte große Hände. Für ihn war sie einfach eine begehrenswerte Frau. Das lag sicher auch daran, dass er sie einfach andauernd sah, auch in Unterwäsche und auch ohne – es ging in ihrem Haus nicht sonderlich verklemmt zu. Zumindest von Seiten seiner Eltern aus. Er war ständig ihren Reizen ausgesetzt und das in einem Alter, wo man für diese Art Reize sehr empfänglich ist.Er stand auf dem kleinen Sandstrand und sah aufs Meer. Auf Baden hatte er trotz der Hitze keine rechte Lust. Sein Schwanz war illegal bahis im Moment nicht zu kontrollieren. Das ständige Auf und Ab seines Kleinen, sobald er wieder an seine Mutter dachte, das Bild ihrer gespreizten Pussy … wie sollte man sich da in Badehose präsentieren. Das konnte man in Shorts schon nicht richtig verbergen.Er breitete sein Handtuch aus, setzte sich darauf und blickte Richtung Meer.Claudia sah ihren Sohn weg stapfen. Was er wohl nun von ihr dachte? Wie sollte sie sich jetzt ihm gegenüber verhalten? Einfach überspielen, als ob nichts gewesen wäre? Sie sah, wie er sich hinsetzte und keine Anstalten machte, ins Wasser zu gehen. Ihr selbst war ziemlich warm, aber sie wollte lieber auch nicht ins Wasser – sie müsste ihrem Sohn wieder mehr von ihrem Körper zeigen, als ihr momentan lieb war. Sie ging ebenfalls runter zum Strand, setzte sich aber nicht neben Daniel sondern hinter ihn auf einen kleinen Felsen, um ihm etwas Ruhe zu lassen.Gedankenverloren sah sie hinaus aufs Meer. Die schwache Brandung rollte gleichmäßig auf den Strand und brachte etwas Wind mit sich, der ihre Haut kühlte und unter ihr Badekleid strich. Das war sehr angenehm. Sie öffnete ihre Beine etwas, damit der Wind auch ihre Schenkel erreichen konnte. Am Horizont zog ein Kreuzfahrtschiff vorbei. „Ein paar tausend Menschen auf kleinstem Raum“, dachte sie, „seltsam, was manche unter Urlaub verstehen“. Etwas näher an der Küste tuckerte ein Fischerboot vorbei. Claudia stellte es sich romantisch vor auf so einem kleinen Boot. Vielleicht nur zu Zweit und wenn man eine kleine Bucht wie diese hier sah, einfach vor Anker gehen, ins Wasser springen und an den Strand schwimmen. Das hatte bestimmt nichts mit der Realität auf so einem Boot zu tun, aber die Vorstellung gefiel ihr. Nackt auf dem Boot, zum Strand schwimmen und auf den heißen Sand legen. Ja, so sollte schon eher ein Urlaub auf dem Boot sein. Eine Brise wehte heran und Claudia öffnete ihre Beine etwas weiter. Der Wind umspielte ihre Oberschenkel und sie bekam eine Gänsehaut. Ihr Blick wanderte vom Meer hinauf zu den Umliegenden Hügeln. Vielleicht konnte Sie Paul irgendwo entdecken, aber er war nicht zu sehen. Ihr Blick wanderte weiter auf den Strand und blieb auf Daniel liegen. Er hatte sich auf den Bauch gelegt und sah in ihre Richtung. Da sie gegen die Sonne sah, konnte sie nicht erkennen, ob er seine Augen geöffnet hatte oder schlief. Er war groß geworden in den letzten Jahren. Sein Vater war ebenfalls ein stattlicher Mann, das hatte er also wohl von ihm. Als er auf dem Parkplatz ausgestiegen war um ihr das Taschentuch zu bringen, konnte sie kurz seine Erektion sehen und erahnen, was sich unter den Shorts verbarg. Auch da war er mindestens so groß wie sein Vater, ging es ihr durch den Kopf. Ihr wurde schlagartig noch wärmer, als es ihr ohnehin schon war. Sie merkte ein kribbeln in ihrem Schoß und wie ihre Möse wieder feucht wurde. Mein Gott, was war nur auf einmal mit ihr los, dass ihr solche Gedanken an ihren Sohn durch den Kopf gingen. Automatisch öffnete sie ihre Beine etwas weiter, in der Hoffnung, der Wind würde ihr Abkühlung bringen. Sie verdrängte das Bild von Daniels Schwanz aus ihrem Kopf und sah zu ihm.Er lag immer noch ruhig da mit dem Kopf zu ihr, nur glaubte sie jetzt zu sehen, das seine Augen offen waren. Ihr fiel ein Stein vom Herzen, das er sich doch noch traute, sie anzusehen. Sie konnte nicht einschätzen, ob er von ihr schockiert war oder nicht, aber er ging ihr zum Glück nicht aus dem Weg.Sie überlegte, ob sie vielleicht doch noch baden gehen konnte, ohne das er ihr das Oben-Ohne-Baden übel nahm. Ein Oberteil hatte sie nämlich nicht mit eingepackt, nur das Bikinihöschen hier. Sie betrachtete das weiße Höschen in ihrer Hand. Das Höschen, das sie seit dem letzten Stop zusammengeknüllt in der Hand hielt. Sie hatte es gar nicht mehr angezogen, nur schnell aufgehoben.Sie hatte unter ihrem Kleid also gerade gar nichts mehr an und saß mit geöffneten Beinen vor ihrem Sohn – schon wieder. Schamesröte stieg ihr ins Gesicht und das Kribbeln in ihrem Schoß, das sie erfolgreich unterdrückt hatte, setzte sofort wieder ein. Jetzt war ihr auch klar, wo Daniel hinsah. Sie spürte seinen Blick förmlich auf ihrem Schoß. Sie sollte ihre Beine schließen, sofort. Aber sie tat es nicht. Sie hatte sich schließlich nicht absichtlich so hingesetzt, das war Zufall. Vielleicht sah er es auch garnicht? Allerdings merkte sie, wenn das Kleid flatterte, das immer wieder sie Sonne auf ihre Möse schien. Ihr Schoß musste also illegal bahis siteleri sehr gut sichtbar sein. Claudia merkte, dass sie wieder feucht wurde und wie die Säfte in ihr zusammenliefen. Sie versuchte in Daniels Gesicht zu erkennen, wo genau er hin sah.Das konnte ihm eigentlich nicht entgehen, oder?Sie öffnete ihre Schenkel etwas weiter, griff zum Saum ihres Kleides, wedelte sich Luft an die Beine und schob es dabei „unabsichtlich“ etwas höher. Jetzt MUSSTE er etwas sehen. Sie wurde unglaublich scharf und gleichzeitig schämte sie sich – eine seltsame Mischung. Aber solange sie sich sagen konnte, das es keine Absicht sondern nur Zufall war, das ihr Sohn ihr zwischen die Schenkel schauen konnte, war ja eigentlich ER der schlimme Finger. Sie ließ ihren Blick wieder über den Horizont schweifen und vermied es, Daniel anzuschauen. Sie spürte, wie ihr der Saft aus der Möse floss und über ihre Rosette zwischen ihre Pobacken lief. Sie würde bestimmt einen nassen Fleck auf ihrem Kleid hinterlassen .Daniel lag mittlerweile auf dem Rücken auf seinen Ellbogen gestützt auf seinem Handtuch und versuchte den Kopf soweit frei zu bekommen, das er seine Lendengegend wieder in den Griff bekam. Das war gar nicht so einfach. Er dachte ans Schnorcheln, an das Buch, das er weiterlesen wollte, sogar an die Schule. Das half. Aber immer wieder blitzten die Bilder von Mamas weit gespreizter, pinkelnder Pussy auf und sofort hatte er wieder eine Erektion. Er drehte sich genervt auf den Bauch – und erschrak. Seine Mutter saß genau vor ihm auf einem niedrigen Stein und hatte die Beine leicht geöffnet. Er konnte tatsächlich wieder ihre Pussy sehen. Sogar sehr gut, denn auch die Sonne fand immer wieder den Weg zwischen ihre Beine. Ihre großen inneren Schamlippen lugten hervor und er glaubte einen Schimmer zwischen ihnen zu erkennen. Er merkte, wie sein Schwanz sich zu seiner vollen Größe aufrichten wollte, es aber in den Shorts schmerzhaft nicht schaffte.Innerlich stöhnend fragte er sich, ob seine Ma das absichtlich machte, und wenn ja, warum?Oder merkte sie es garnicht? Er entdeckte ihr Bikinihöschen in ihrer Hand. Sie musste es für ihn wieder ausgezogen haben! Hatte Sie es überhaupt wieder angezogen vorhin? Er hatte am Schluss nicht mehr viel mitbekommen, als er zum Auto stürmte, in der Hoffnung, nicht gleich in seiner Hose abzuspritzen. Da er sich nicht vorstellen konnte, das man vergisst, sein Höschen anzuziehen, glaubte er, sie habe es extra für ihn ausgezogen. Für wen denn sonst? Sein Vater war ja nicht da.Was wollte sie jetzt, das er tat? Er stierte weiter auf Mamas Schoß und merkte schmerzhaft, das sich sein Schwanz nach China durchbohren wollte. Plötzlich ging eine Unruhe durch Mamas Körper. Sie drückte das Höschen in ihrer Hand und ihre Beine schienen zu zittern. Ihr Po rutschte fast unmerklich auf dem Felsen herum. Dann kehrte wieder ruhe ein. Plötzlich griff sie an ihr Kleid, wedelte damit auf und ab und zeigte ihm damit kurz immer mehr von ihrem Schoß um letztendlich mit noch breiteren Beinen wieder ruhig da zu sitzen.Sie hatte ihre Beine jetzt so weit geöffnet, das sich ihre Schamlippen von alleine etwas öffneten. Daniel glaubte ein Rinnsal zwischen ihnen zu erkennen. „pinkelt sie schon wieder?“ schoß es ihm durch den Kopf. Aber dafür war es zu wenig. Sie war nur unglaublich feucht. Wegen ihm? Er hätte sich gerne berührt, oder besser noch seine Ma. Seine Gedanke spielten verrückt. Was wollte sie denn, das er tat? Sollte er sich ihr auch zeigen? Er brauchte eine Abkühlung, musste ins Wasser. Seine Erektion würde sonst nie wieder verschwinden. Er konnte sich ja nicht einfach einen runterholen vor seiner Ma. Mist, ihm fiel ein, das seine Badehose im Auto im Kofferraum des Vans lag. Wenn er aufstand würde seine Mutter hundertprozentig seine Latte sehen. Vielleicht war das ja die Möglichkeit, seiner Mutter zu zeigen, was sie mit ihm machte. Er nahm all seinen Mut zusammen und stand auf. Seine Shorts bildeten ein großes Zelt, soweit der Stoff das zuließ.„Ich, .. ich geh baden. Ich brauche nur noch meine Badehose … aus dem Auto“ stotterte er.Die Augen seiner Mutter blieben erwartungsgemäß an seiner Körpermitte hängen. Einige Sekunden blieb die Welt für beide stehen. Seine Mutter fing sich als erste wieder.„Warte, ich komm mit und suche sie dir raus“ antwortete sie mit rotem Kopf.Das war nicht der Plan. Mit Entsetzen merkte Daniel, das er sich seiner Mutter so nur länger zeigen musste. „Ich finde die schon…“ meinte er noch, aber seine Mutter lief – Gott sei canlı bahis siteleri dank- schon voraus zum Auto. So konnte er hinter ihr gehen und war nicht ihren Blicken ausgeliefert. Als er so hinter ihr her lief, entdeckte er den Fleck hinten am Kleid seiner Mutter und stöhnte innerlich. Das ließ sein hartes Problem nicht kleiner werden. Claudia öffnete die Heckklappe des Vans, bückte sich und kroch mit einem Knie aufgestützt in den Kofferraum zur Badetasche. Ihr war bewusst, was das für Daniel bedeutete. Bei ihr waren einige Schranken gefallen und sie testete aus, was geschehen könnte, das Teufelchen hatte das Sagen. Daniel beobachtete seine Mutter, die für ihn in das Auto kroch und wie in Zeitlupe rutschte ihr Kleid nach oben und gab den Blick frei auf ihren runden Popo. Je weiter sie sich in das Auto bückte, um so mehr öffneten sich ihre Pobacken und gaben den Blick auf ihr runzliges Poloch und ihre klatschnassen Schamlippen frei. Daniel erstarrte. Ganz im Gegensatz zu seiner Mutter. Die wackelte beim Kramen und Wühlen fröhlich mit dem Hintern, streckte plötzlich ihr rechtes Bein nach hinten und seitlich aus, um das Gleichgewicht nicht zu verlieren, und berührte dabei „unabsichtlich“ Daniels Erektion.Daniel zuckte zusammen und ein hörbares Stöhnen entkam ihm. Claudia zog ihr Bein wieder ein und verharrte regungslos. Plötzlich streckte sie Daniel seine Badehose nach hinten entgegen und drehte den Kopf zu ihm um. Ihr Blick blieb kurz an seiner Erektion hängen, dann sah sie ihm in die Augen. Aus seinem knallroten Kopf sahen sie ihr groß und hilflos entgegen.Etwas verlegen drehte sie sich wieder zur Tasche um und nestelte weiter darin herum. Sie hätte nicht sagen können, was sie da noch sucht, aber sie wollte Daniel nicht weit ihren Blicken aussetzen.Daniel hielt seine Badehose in der Hand und starrte weiterhin auf den nackten Arsch seiner Mutter. Er konnte tatsächlich erkennen, wie ein Tropfen zwischen ihren Schamlippen langsam nach unten lief. Am liebsten hätte er jetzt seinen Schwanz herausgeholt und ihn seiner Mutter direkt in die klatschnasse Pussy gerammt, bis er in sie spritzte. Er musste wirklich dringend ins Wasser, sehr dringend. Ohne seinen Blick vom Arsch seiner Mutter zu nehmen, zog er sein Smartphone aus der Tasche, legte es in den Kofferraum, zog seine Shorts mitsamt seiner Unterhose herunter und strampelte sie von seinen Beinen. Sein harter Schwanz schnellte empor. Mit offenem Mund schaute er jetzt auf die sich ihm bietende Szene. Seine Mutter kniete mit nacktem Arsch und nasser Pussy vor ihm und wackelte mit dem Hintern. Ihre Schamlippen waren keine 20 cm von seiner Eichel entfernt, auf der gerade ein Lusttropfen erschien. Er sah auf sein Smartphone. Schnell nahm er es hoch, ging in den Fotomodus, erfasste die Szene – Mamas Arsch und Pussy und seinen fast seine Mutter berührenden steifen Schwanz – und drückte auf den Auslöser.Ein lautes Auslösegeräusch ertönte. Daniel blieb wie angewurzelt stehen. Seine Mutter hörte auf, mit dem Hintern zu wedeln. Erschrocken wartete Daniel, was passiert. Claudia rutschte auf einmal nach hinten aus dem Kofferraum, beziehungsweise, das hatte sie vor. Allerdings ahnte sie nicht, was sich hinter ihr befand und das Daniel im Moment nackt war und rutschte mit ihrem Hintern genau auf Daniels Schwanz. Sie stoppte sofort, als sie etwas an ihrer Möse spürte und schrie spitz auf. Daniels Eichel war genau in ihren Lustkanal gerutscht, so das sie ganz in seiner Mutter steckte. Beide rührten sich nicht mehr. In Claudias Kopf drehte es sich. Sie spürte, wie der Schwanz ihres Sohnes ihren Möseneingang dehnte. So weit sollte das alles nicht gehen, das war viel zu viel. Und soo schön. Wieder erschrak sie über sich selbst und wollte das schnell beenden, wollte schnell aus dieser Situation und aus dem Kofferraum … und schnellte reflexartig nach hinten aus dem Auto. Und schob sich ganz auf Daniels Schwanz. „Aaaahhh … „ entfuhr es ihr langgezogen „Oh Gott!“. Schnell rutschte sie wieder nach vorne, entzog sich ihrem Sohn, huschte an ihm vorbei aus dem Auto und rannte Richtung Meer.Daniel blieb mit weit aufgerissenem Mund zurück, im Taumel aller möglichen Gefühle. Er sah auf seinen vom Mösensaft nass glänzenden Schwanz, der eben noch in seiner Mutter steckte und versuchte das Gefühl zu behalten, das er eben erspüren durfte. Er griff nach seinem Schwanz und brauchte nur ein, zwei Bewegungen über seinen Schaft um im hohen Bogen vor den Wagen zu spritzen. Sein Oberkörper krümmte sich und Schub um Schub entleerte er sich, um erschöpft in den Kofferraum zu sinken. Verwirrt, glücklich, geil und bestürzt saß er da, als er plötzlich seinen Vater rufen hörte.„Hallooo da unten“ winkte er vom Felsen aus. Daniel zog sich schnell die Badehose an und rannte seiner Mutter hinterher.

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Hausarbeit mal andersEs ist Samstag und es liegt jede Menge zu erledigen an, was die stressige Woche liegen geblieben ist. Aber ich habe ja einen ganz tollen Partner, der mich dabei unterstützt und mir jede Menge Arbeit abnimmt. Draussen sind wieder 30 Grad und herrlichster Sonnenschein, also mache ich meine Hausarbeit in sexy Wäsche. Eigentlich kann man es nicht Wäsche nennen, es ist ein Haus von nichts, bestehend nur aus Stoff, der nicht breiter ist als Schnürsenkel. Sie gehen mir über den Po, dann laufen sie vorn zusammen und gehen oben über meinen Venushügel. Meine Brüste sind auch nur davon umrahmt, zwischen den Brüsten ist eine winzig kleine Schleife. Ein herrliches Gefühl schon heute morgen im Bett, bei dem Gedanken, so durch das Haus zu laufen, die Blicke von meinem Liebsten dabei immer auf meinen Po, meine Brüste und, wenn ich mich bücke, auf meine Möse, die ich mir ganz glatt rasiert habe.Als ich so aus dem Bad komme und vor meinen Schatz trete, erstart er kurz, betrachtet mich aus allen Richtungen und und kann sich ein “geil” nicht verkneifen.”So mein liebster, damit ich auch was zu gucken habe, habe ich für dich auch was ganz erotisches besorgt”Ich gebe ihm einen Gürtel aus dehnbaren Material, der vorn nur einen Ring hat, wo Mann sein bestes Stück mit den Hoden durchführen kann, so das alles schön zur Geltung kommt.Er streift sich das Teil über und sofort beginnt sein Schwanz sich zu versteifen. Er stellt sich vor den Spiegel und betrachtet sich, ich dahinter, fasse um ihn herum und streichle seinen steifen Schwanz. Er legt den Kopf zurück und geniesst sofort meine Berührungen und will mehr. Ich gehe nach vorn küsse seine pralle maltepe escort Eichel, gebe ihm einen klapps auf den Po, “nein mein lieber, erst die Arbeit, dann kannst du mich haben”Während wir die Wohnung putzen, können wir unsere Blicke nicht von uns lassen, versuchen sie aber zu verbergen. Einigemale sehe ich ihn wie er seinen Schwanz kurz streichelt, sich die Vorhaut hin und her schiebt und seinen harten Schwanz betrachtet. Das lässt mich natürlich auch nicht kalt, ohne sie anzufassen, merke ich das mein Fötzchen immer feuchter wird, beherrsche mich aber und fasse sie nicht an.Mein Schatz bekommt nun einen Anruf und setzt sich aufs Sofa. Das ist meine Chance ihn Wahnsinnig zu machen. Ich bücke mich vor ihm und versuche etwas vom Fussboden wegzuräumen. Meinen Po strecke ich ganz weit raus dabei, nun kann er meine nasse Möse bestens sehen. Ich lasse mir Zeit und geniesse einfach seine Blicke die ich regelrecht spüren kann..Er würgt nun seinen Gesprächspartner ab und gleich habe ich seine Hand an meinem Schlitz.”OMG bist du nass” stöhnt er nun hinter mir und sofort schiebt er mir 2 Finger bis zum Anschlag in mein schleimiges Loch.Er zieht sie wieder raus und zeigt mir meinen weissen Saft an seinen Fingern. Er nimmt genüsslich seine Finger in den Mund und leckt sie ab.”Hmmm, lecker dein geiler, warmer Saft. Ich zittere nun beim stehen und bettle ihn an, mich auch kosten zu lassen. Nun steckt er gleich 3 Finger in mich herein, bewegt sie hin und her und beobachtet mich wie ich vor Erregung anfange zu wimmern. “Was möchtest du?” fragt er mich. “Ich möchte auch kosten””Was möchtest du kosten, los sag es mir” kommt es nun fordernder. escort maltepe Ich kann kaum noch klar denken vor Geilheit und stöhne ihn an, “ich möchte von meinem Fotzensaft kosten, gib mir alles was an deinen Fingern ist” und schon habe ich seine Finger in meinem Mund, lecke gierig einen Finger nach dem anderen ab und bettle um mehr. Nun nimmt er mich an den Hüften und steckt seinen harten Schwanz in meine klatschnasse Möse, stößt ein paarmal hin und her, zieht in raus, dreht mich um und hält ihn vor meinen Mund. Ohne ihn in die Hand zu nehmen, beginne ich ihn zu blasen, lecke seinen Schaft und seine Eichel von oben bis unten ab, kann mich kaum noch beherrschen und wichse mir mein Fötzchen heftig dabei. Ich lutsche ihn mal sanft, mal heftig und immer tiefer rein in meine Kehle.Ich kann es nicht mehr aushalten, nehme ihn an die Hand und führe ihn zu unseren Barhockern in der Küche. Ich setze mich drauf,spreitze die Beine und beginne zu masturbieren. Ich halte meine nassen Schlitz weit auf, soll er sehen wie geil ich bin. Dabei läuft mir der Saft an meinen Hintereingang, wo ich ihn langsam verreibe, leicht mit meinem Finger in meinen Po eindringe. Mein Liebster hat seinen Schwanz in der Hand und wichst ihn langsam bei meinem Spiel.Ich reibe meine Klit und führe immer wieder 2 Finger in meine Spalte, wichse nun heftiger und lass ihn dabei nicht aus den Augen. Auch seine Bewegungen werden nun schneller und er stöhnt immer lauter. “Gefällt dir meine nasse Fotze? Willst du deinen Schwanz reinstecken, mich ficken?””Jaaaaa” hechelt er nun. “Eine Bedingung habe ich allerdings” stoppe ich seine Gier, mich jetzt zu ficken.”Alles was maltepe escort bayan du willst, sag schnell, ich kann es bald nicht mehr aushalten””Ich möchte mit dir in einen privaten Swinger gehen, möchte mit anderen Frauen und Männern Sex haben, will dir aber auch zusehen wie du andere Frauen leckst und fickst”Er hält kurz inne und lächelt. “Nichts lieber als das, gern sogar, dir dabei zuzusehen wie dich andere Männer bumsen und anspritzen, sag wann können wir?””Fick mich jetzt und dann rufe ich meine Freundin an, von der habe ich das geile Angebot”Ich lege mich jetzt über den Barhocker und strecke ihm wieder meinen Po entgegen und sofort spüre ich seine harte Lanze in meiner triefenden Möse. Da ich so nicht komme, reibe ich mir dabei meinen Kitzler und es dauert nur ein paar Stöße und ich kann es nicht mehr halten. Meine Möse zuckt und zuckt, zieht sich zusammen, verkrampft und dieses enge Gefühl lässt ihn auch explodieren. Er stößt heftig weiter und stöhnt seine Lust heraus.Als er ihn raus zieht läuft sein Saft sofort heraus, aber ich lasse es nicht auf den Boden tropfen. Halte meine Hand unter mein Fötzchen und fange unseren warmen Saft auf. Meine Hand ist nun total nass und voller Sperma und ich lecke es langsam ab, will alles haben, seinen Orgasmus schmecken, dieses klebrige Zeug schlucken und geniessen.Als ich mich nun umdrehe und die letzten Tropfen von meinem Mundwinkel auf die Zunge schiebe, steht er mit dem Telefon vor mir, “komm ruf sie an, lass es uns machen. Ich möchte es so schnell wie möglich erleben.”Mache ich mein süßer sage ich keck und küsse ihn auf den Mund”Ein paar Minuten später…..”Hey Schatz, heute in einer Woche ist es soweit, wir sind herzlich willkommen in der Gruppe”Angemeldet für den nächsten Treff haben sich schon 14 Paare und vielleicht kommen ein paar mehr, wenn sie wissen, es kommt ein neues Sexbegeistertes, offenes Paar…..Fortsetzung folgt

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Die Doktorarbeit

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Cumshots

Die DoktorarbeitIch bin neulich umgezogen und während ersten Wochen in meiner neuen Heimat sind mir zwei junge Frauen aufgefallen, die sich bitchig kleideten und sich auch entsprechend verhielten. Auch wenn es blöd klingt, aber ich stehe auf solche Weiber und wollte sie daher unbedingt kennenlernen. Freitagabend nahm ich mir also vor, ihnen zu folgen und sollte sich eine gute Gelegenheit ergeben, sie auch anzusprechen. Am besagten Abend entdeckte ich sie am Anfang der Fußgängerzone und folgte ihnen zunächst im sicheren Abstand. Dauernd wurden sie von Passanten doof angemacht, doch störte es sie anscheinend nicht. Gerade junge Männer mit Migrationshintergrund baggerten sie öffentlich an oder beleidigten sie aufs Heftigste, aber die beiden waren sehr schlagfertig und gaben ihnen ordentlich kontra. Selber schuld, konnte man dazu nur sagen. Wer sich so anzieht und durch eine belebte Fußgängerzone läuft, braucht sich nicht zu wundern. Je länger ich sie jedoch beobachtete umso mehr wurde mir klar, dass sie ihren Spaß an der Sache hatten. So naiv wie sie taten, waren sie gar nicht. Das Ender der Fußgängerzone grenzte an einer kleinen Grünanlage mit Sitzgelegenheiten. Sie setzen sich auf eine Bank und beobachteten aufmerksam die Leute in der Fußgängerzone. Ich musste aufpassen, nicht gesehen zu werden. So bog ich in eine kleine Seitenstraße und lief einmal um den Block. Dort traf ich auf das andere Ende der Grünanlage und hatte die beiden nun von hinten im Blick. Sie waren immer noch allein und spielten mit ihren Handys. Beide waren wasserstoffblond und zu den bauchfreien T-Shirts trugen sie zerrissenen Jeans, die ihre Pobacken zur Hälfte freiließen. Man konnte nur spekulieren, ob sie einen winzigen String trugen oder nackt unter der Jeans waren. Die pinkfarbenen Heels passten farblich zu ihren auffällig geschminkten Lippen. Unterm Strich gesagt, erfüllten sie optisch sämtliche Klischees, die man mit einer typischen Bitch in Verbindung brachte. Fehlte nur noch, dass sie als Friseuse arbeiteten. Eine innere Stimme sagte mir, dass sie aber eher intelligent seien und absichtlich die Provokation suchten. Mit billigen Anmachersprüchen würde man bei ihnen nicht landen, wie ich ja live erlebt hatte. Ich musste mir also etwas Außergewöhnliches einfallen lassen. Dann kam mir eine Idee. Ich suchte zwischen den Bäumen nach einem Stück Holz, was ich mir als Attrappe in die Hose stecken wollte. Schnell fand ich ein geeignetes Stück und platzierte es so, als hätte ich einen Ständer. So präpariert ging ich zu der Bank. “Darf ich”, fragte ich und ohne ihre Antwort abzuwarten, setzte ich mich frech neben sie. Die beiden, die eben noch jeden Bagger-Versuch schlagfertig konterten, waren sprachlos. Besser noch, ihnen fiel die Kinnlade herunter. “Ist was”, fragte ich naiv. Beinahe synchron schüttelten sie schmunzelt den Kopf. “Ganz schön heiß hier”, versuchte ich ins Gespräch zu kommen. “Das sieht man Dir an”, sagte die Linke und stupste ihre Freundin mit dem Ellenbogen. “Ist das nicht wahnsinnig eng”, fragte die andere mit Blick auf meinem Schritt. “Geht so”, antwortete ich. “Ich bin daran gewöhnt”. “Läufst Du immer so rum?” “Was meinst Du”, stellte ich mich wieder dumm. “Na mit so einer Latte in der Hose”. “Ach das meinst Du. Das ist ganz normal. Du solltest mich mal sehen, wenn ich erregt bin”. Beide schauten sich entgeistert an. “Du verarscht uns doch?” maltepe escort “Ja”, lacht ich. “Genauso wir ihr die Idioten in der Fußgängerzone”. “Hast Du uns etwa nachgestellt?” “Kann man so nennen”, erwiderte ich. “Es hat mich einfach interessiert, warum ihr das macht”. “Was machen wir denn?” “Ganz doof bin ich nicht und ihr seid auch keine naiven Bitches, die ihr hier vorzutäuschen versucht”. Langsam wurde es unangenehm in meiner Hose, weshalb ich den harten Stock vor ihren Augen entfernte. “So ist’s besser”. “Schade”, raunten sie wieder fast simultan. Ich hatte mit meiner Masche zumindest schon mal ihr Interesse geweckt. “Ihr steht doch nicht wirklich auf solche Schwanz-Poser?” Sie mussten lachen, was ein gutes Zeichen war. “Ganz bestimmt nicht. Aber lustig war es schon”. “Und weh hat es getan”, ergänzte ich. Wieder mussten beide lachen. “Was macht ihr in Eurem normalen Leben?” “Ich bin übrigens Nadine”, begann die erste zu erzählen. “Wir studieren an der Uni X Psychologie und stehen kurz vor unserem Examen. Das ist alles nur Teil einer Reihe von Experimenten, die wir im Rahmen unsere Doktorarbeit durchführen”. “Und dafür habt ihr Euch extra die Haare gefärbt? Das nenne ich mal Identifikation mit der Aufgabe. Ich heiße übrigens Bob”. “Nicht nur das”, erwiderte Petra und stellte sich ebenfalls vor. “Wir haben uns sogar in einer WG einquartiert und leben mit zwei Frauen zusammen, die dem Klischee einer Bitch wirklich sehr nahekommen. Sind aber zwei ganz Liebe, von denen wir viel lernen können”. “Haben die Euch erklärt, wie man sich kleiden soll?” “Unter anderem. Sie helfen uns auch beim Schminken, für unseren Auftritten in der Fußgängerzone “. “Darf ich Teil Eures Experimentes werden?” “Wie meinst Du das?” “Ich kann Euch Hinweise aus erster Hand geben”. “Kennst Du solche Typen?” “Das brauche ich gar nicht. Ich bin doch selber ein Mann”. “Stehst Du etwa auf Bitches?” “Ich wage zu behaupten, dass Männer aus allen Gesellschaftsschichten und mit dem unterschiedlichsten Intellekt darauf stehen “. “Stimmt”, antworte Nadine. “Bisher haben wir uns nur auf die Männer konzentriert, denen man als erstes nachsagen würde, dass sie von solchen Frauen angezogen werden”. “Und genau dieser Typ Mann behandelt die Frauen am aller schlechtesten”. “Ist wieder richtig”, wundert sich auch Petra über meinen Sachverstand. “Hast Du Dich schon Mal mit dem Thema beschäftigt?” “Das brauche ich nicht, ich bin ein Mann”. “Lust auf ein Kaffee?” “Gerne”. Im ortsansässigen Starbucks setzten wir unsere Unterhaltung fort. “Dann erzähle uns doch mal, was Dich daran so anmacht”. “Wo soll man da anfangen”. “Jetzt fang bloß nicht an zu kneifen. Wir wollen es ganz genau wissen, schließlich handelt es sich hierbei um eine seriöse Studie”. Ein Lächeln konnte sie sich dabei nicht verkneifen. “Da wäre zum einen die wasserstoffblonden Haare. Warum auch immer, aber damit werden anscheinend die a****lischen Instinkte des Mannes angesprochen”. “Soll das heißen, wenn wir nicht blond wären, würdest Du uns ignorieren?” “Quatsch, aber es ist ein bedeutender Punkt. Wärst Du brünett und Nadine blond, würde Nadine mich auf den ersten Blick wahrscheinlich mehr ansprechen”. “Du suchst Dir Deine Freundin nach der Haarfarbe aus?”. “Unfug, ich rede von dem oberflächlichen Kennenlernen”. “Da habe ich ja nochmal Glück gehabt”, schmunzelte sie. “Wieso, bis Du von Natur aus brünett?” escort maltepe Sie antwortete nicht und grinste nur. “Weiter, was noch?” Bevor ich weitererzählen konnte, brachte Nadine sich auch noch ein. “Erzähle uns aber nur, was DU empfindest und verallgemeinere bitte nicht”. “Dann gehe ich weiter von oben nach unten vor. Eure auffällig geschminkten Lippen suggerieren mir, Eure Bereitschaft zur Paarung”. Beide mussten wieder grinsen. “Kannst Du bitte aufhören, so wissenschaftlich zu reden”. Ihnen ist anscheinend entgangen, dass ich nicht mehr allgemein vom Frauentyp einer Bitch sprach, sondern mich auf sie bezog. “Mit den engen T-Shirts zeigt Ihr, was ihr zu bieten habt und signalisiert, dass ihr meine Nachkommen ernähren könntet”. Wieder das Gekicher. “Entschuldigung, ich sollte mich ja nicht so geschwollen ausdrücken. Der Anblick Eurer so präsentierten Oberweite sorgt für viel Unruhe in meinem Hosenstall”. “Na das nenne ich doch mal eine ehrliche Aussage. Weiter”. “Ich kürze jetzt einfach mal ab. Ihr macht mich derart an, dass ich Euch am liebsten gleich hier im Lokal vögeln würde”. “Nicht so schnell”, warf Nadine ein. “Ist es unser Äußeres?” “Euer bitchiges Äußeres, gepaart mit Eurer Intelligenz ist der Gipfel meiner Träume”. “Worauf warten wir dann noch”, fragte Petra und winkte den Kellner heran. Ich bezahlte und wir machten uns sofort auf den Weg in meine Wohnung. Dort brachten wir uns bei einem Glas Wein weiter in Stimmung, wenn das überhaupt noch möglich war.Als Nadine aus dem Bad zurückkam, war der Zeitpunkt gekommen, zum schönsten Teil des Abends überzugehen. Sie hatte sich, bis auf einen winzigen String, entkleidet und schmiegte sich eng an mich. Im selben Moment verließ Petra den Raum und Nadine und ich fingen an uns leidenschaftlich zu küssen. Sie hatte herrlich weiche Lippen und schmeckte so gut. In meiner Hose war es bereits sehr eng, weshalb ich sie öffnete und bis an die Kniee herunterzog. “Unser Experiment ist noch nicht zu Ende”, hauchte sie mir ins Ohr. “Wir sind immer noch die naiven Bitches, von denen Du so gerne träumst”. Nichts lieber als das, dachte ich und dreht mich auf sie. Ich war gerade in sie eingedrungen, da kam Petra aus dem Bad zurück und stellte sich neben uns. “Fick die geile Bitch richtig durch”. Was geht denn hier ab, wundert ich mich über ihre Ausdrucksweise. Wollten sie es tatsächlich realistisch durchziehen? Mir sollte es recht sein. Nadine keuchte und stöhnte unter mir und hatte schnell ihren ersten Orgasmus. Ich hatte im Vorfeld eine Viagra Pille genommen, weshalb ich trotz der geilen Situation gut durchhielt. Kaum hatte ich mich von Nadine heruntergedreht, setze Petra sich auf meinen Speer und ritt mich. Auch sie brauchte nicht lange, bis sie ihren ersten Orgasmus bekam. Die beiden waren fantastische Liebhaberinnen und ich fühlte mich pudelwohl als Hahn im Korb. Ich hatte gar nicht mitbekommen, dass Nadine das Zimmer verlassen hatte und als sie wieder reinkam, erschrak ich. Sie hatte sich einen Dildo umgeschnallt. Petra kletterte sofort von mir runter und ging auf sie zu. Ich konnte es kaum glauben, aber die beiden boten mir eine geile Lesbo-Show. Nachdem sie sich eine ganze Weile im Stehen leibkosten, landeten sie schließlich neben mir auf dem Sofa. So etwas kannte ich bis dahin nur aus dem Internet und war absolut fasziniert. Während Nadine Petra mit dem Dildo bis maltepe escort bayan zu ihrem zweiten Orgasmus vögelte, küsste ich Petra und streichelte ihren Busen. “Jetzt bist Du an der Reihe”, sagte Petra schwer atmend und richtete sich auf. “Leck ihn sauber”, wies sie mich an und zog Nadine am Dildo in meine Richtung. Ich war immer noch so geflashed von der mir gebotenen Show, dass ich keine Hemmungen hatte, den Dido von ihren Mösensaft zu befreien. “So ist brav, Du geiler Schwanzlutscher”. Ihre obszöne Ausdrucksweise verstärkten meine Lust und ich lutschte mit echter Hingabe an dem Dildo. “Hast Du schon mal einen echten Schwanz gelutscht?” Ich blieb die Antwort schuldig und widmete mich weiter dem Dildo. “Soll ich Dich in den Arsch ficken”. Anstatt zu antworten, nahm ich den Dildo aus dem Mund und positionierte mich bäuchlings vor dem Sofa. “Fick die geile Arschfotze”, feuerte Petra ihre Freundin an. Nadine kniete sich sofort zwischen meine Beine und drückte den Dildo gegen meine Rosette. “Warte”, sagte ich. “So geht es nicht. Du musst ihn vorher einschmieren”. Anders als ihre Mösen, wird ein Arschloch nicht feucht. Petra stand auf und lief ins Badezimmer. “In der obersten Schublade”, rief ich ihr nach. Ich hatte immer eine Tube Gleitmittel da, weil ich mich hin und wieder selbst mit einem Prostata-Dildo befriedige. Petra rieb den Dildo und meine Rosette ordentlich ein und kletterte anschließend auf die Sofalehne, sodass ich ihre Möse lecken konnte. Es schmeckte himmlisch und machte mich wieder richtig scharf. Durch das ganze Prozedere hatte meine Erregung nämlich kurzzeitig stark nachgelassen. Anfangs etwas vorsichtig, drückte mir Nadine den Dildo mit zwei drei kurzen Stößen bis zum Anschlag in den Anus. Ich musste leicht aufschreien, weil es im ersten Moment ordentlich schmerzte. Nadine verweilte einige Sekunden und gab mir so die Gelegenheit, mich an das Gefühl zu gewöhnen. “Geht’s Du Hurenbock”, fragte sie und legte langsam los. “Ja, keuchte ich und fing tatsächlich an, das Gefühl zu genießen. Schnell hatte sie einen guten Rhythmus gefunden und fickte mich ordentlich durch. Gleichzeitig leckte ich Petras Kitzler und verschaffte ihr den dritten Orgasmus des Abends. Nachdem wir uns voneinander gelöst hatten, verschwand Nadine erneut im Bad und ich schmuste derweil mit Petra herum. “Du hast mich so herrlich geleckt”, flüsterte sie mir ins Ohr. “Wie kann ich mich bei Dir revanchieren?” Ich deutete ihr an, mir einen zu blasen, was sie auch ohne Widerspruch tat. Mittendrin, ich hatte die Augen geschlossen und genoss ihre Zungenfertigkeit, kam Nadine zurück und beschwerte sich. “Jetzt bin ich wieder dran”, sagte sie und zog ihre Freundin von mir weg. “Warum lässt Du sie nicht weitermachen und setzt Dich wie Petra zuvor auf die Lehne. Dann kann ich Dich mit der Zunge verwöhnen. Das lies sie sich nicht zweimal sagen und kletterte über mich. Petra machte da weiter, wo sie unsanft von Nadine unterbrochen wurde und ich leckte Nadines Kitzler. Schnell fing sie an zu wimmern und kam ebenfalls zum Orgasmus. Durch das Viagra viel es mir schwer, abzuspritzen. So sehr sich Petra auch bemühte, ich schaffte es nicht. Als sie es dann zu zweit versuchten, bin ich endlich gekommen. Mit einem lauten Schrei spritzte ich ab und beide versuchten so viel wie möglich von meinem Erguss abzubekommen. Was für ein Glücksfall die beiden doch waren. Nachdem sie noch gemeinsam geduscht und sich wieder angezogen hatten, verabschiedeten sie sich von mir. Wir tauschten unsere Telefonnummern aus und sie versprachen sich bei Gelegenheit wieder zu melden. Leider habe ich nie wieder etwas von ihnen gehört…

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Wellnesshotel Frauenwohl (Teil 4)

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Wellnesshotel Frauenwohl (Teil 4)Der Fauxpas mit dem Laufzettel ließ mir keine Ruhe. Und Frau Dr. Müller hatte Recht. Ich war ein Trottel. Wie konnte ich das nur vergessen? Bestimmt machte mir dafür die Chefin irgendwann auch noch mal die Hölle heiß. Aber andererseits dachte ich mir, ich bekomm ja kein Gehalt. Was soll’s also?Der Einsatz bei Frau Dr. Müller hatte mich hungrig gemacht, zumal ich ja kein Mittag hatte. Also ging ich in die Kantine für Mitarbeiter, die im Keller untergebracht war. Man hatte dort täglich ein Frühstück und ein Tellergericht frei oder konnte sich Stullen mit Wurst oder Käse machen. Getränke wurden zum Selbstkostenpreis abgegeben. Die Mitarbeiter-Kantine war klein aber sauber. Hinter dem Tresen wartete eine wirklich goldige Person: Klein und rund, fröhlich, lebhaft und lebendig. Sozusagen der Gegenentwurf zu Frau Dr. Müller. Und mit Doppel-D ausgestattet wie ich feststellen konnte, als ich auf ihren voluminösen Busen schaute, weil ich nach ihrem Namenssc***d suchte. Sie trug aber keins, merkte aber natürlich, dass ich ganz offenbar von ihrer üppigsten Oberweite fasziniert war. “Das zum Naschen befindet sich VOR mir”, sagte sie. Und mir war nicht klar, ob sie nicht doch ihre Megatitten damit meinte. “Du bist der Neue, nicht wahr?”. Ich nickte und stellte mich vor. “Hungrig?” Und wie, antwortete ich. “Tja, manche Sachen können für Männer echt anstrengend sein”, lachte sie und schaufelte meinen Teller mit überbackener Lasagne voll. Ich setzte mich an einen freien Tisch. Gegenüber hatten es sich einige Frauen bequem gemacht. An ihrer Kleidung konnte man gut erkennen, dass es sich um Zimmermädchen handelten, die wahrscheinlich längst Feierabend hatten. Sie lachten und gickelten und schauten immer wieder zu mir rüber. Ich lächelte freundlich zurück. Und ja, sagte ich zu mir selbst, ich bin der Neue.Nachdem ich meine Lasagne verputzt hatte, brachte ich den leeren Teller zurück und klemmte mir noch drei Flaschen Wasser unter den Arm. Die Goldmaus hinter dem Tresen winkte mich heran: “Du kannst direkt von hier durch die Tiefgarage in den Keller des Personalhauses gehen. Das ist eine Abkürzung.” “Oh, Danke für den Tipp”, machte ich einen gespielten Diener, woraufhin sie ihre Schürze links und rechts vom Körper zog und einen kleinen Knicks machte. “Tschüss”, sagten wir gleichzeitig und mussten lachen.Richtung Tiefgarage hatte sie gesagt. Die hatte ich noch gar nicht gesehen und folgte der Aussc***derung. Links ging ein Gang ab, der den Hinweis “Wäschekammer” trug. Merkwürdigerweise war es dort relativ hell. Ob da jemand vergessen hatte das Licht auszumachen? Ich kam an einen Raum, der voller Berge aus dreckiger Wäsche war. Auf zahlreichen Tischen war fein säuberlich saubere Wäsche gestapelt. Ich wollte gerade nach einem Lichtschalter suchen, da glaubte ich Stimmen zu hören und Geräusche. Ich lauschte. Tatsächlich. Da wurde gekeucht, gestöhnt und gehechelt. Na, wenn es da mal nicht zwei munter miteinander trieben. Ich sah aber maltepe escort nichts. Zu gern hätte ich geschaut, wer denn dort zugange war. Aber in dem Riesendurcheinander war nichts zu sehen. Dafür aber mehr zu hören. “Ja, fester, stoß zu. Ramm mir Deinen Pimmel in die Fotze. Ich finde es geil von hinten gefickt zu werden. Mehr. Tiefer. Härter.”Ui. Hier ließ sich offenkundig eine Liebhaberin von Dirty Talk bespringen. Dazu gesellte sich eines meiner Lieblingsgeräusche. Wenn zwei nackte Körper beim Sex aufeinanderklatschen. Klatsch. Klatsch, Klatsch, Klapp, Klapp, Klapp ging es. Immer wenn man den Eindruck hatte, das rhythmische Stoßen wurde etwas langsamer, feuerte die Frau ihren Stecher intensiver an: “Nicht nachlassen. Zieh durch. Fick mich. Fick mich fester. Ich brauchs. Bin untervögelt. Bock mich auf. Bums mich durch. Nicht aufhören. Dazwischen hörte man immer wieder mal den Mann schnaufen, stöhnen und “Ja, ja, ja” rufen.”Stop”, sagte auf einmal die Frau, “ich will mich umdrehen.” Und dann: “Jetzt fick weiter. Rammel mir Deinen Riemen ins Loch. Ja, lass Deine Eier an meine Fotze klatschen. Ich bin schon glitschnass, Du geiler Ficker. Na los. Fick Fick Fick. Ooooooh, hör nicht auf, mir kommts gleich. Ich liebe Schwänze. Ich brauche Schwänze. Nagele mich weiter. Fick mich richtig hart ab. Ich mach meine Beine auch ganz breit für Dich. Hör nicht auf mich zu bürsten. Stopf mir das Loch mit Deinem Rohr. Komm schon, komm schon. Fick. Fick mich richtig durch. Bitte, bitte nicht aufhören, mir kommts…” Und dann war nur noch ein lautes Stöhnen und Schreien von der Frau zu hören, der es ganz offenbar mächtig kam.Für einen Moment klatschten keine Körper mehr aneinander bis die Frau schnurrte: “Und nun will ich Deinen Saft, ich will Deine Spermasahne. Los. Spritz mich voll.” Daraufhin ging es wieder munter weiter: Klapp Klapp Klapp. Klatsch Klatsch Klatsch. Mann hörte den Mann stöhnen und schnaufen und die Frau feuerte ihn an: “Ja, Du geile Sau. Gut machst Du das. Du Hengst. Besorgs mir. Komm. Ich will Dich. Ich will Dein Sperma. Spritz ab. Her mit Deinem Saft.” Und dann stöhnte der Mann wie ein brünftiger Hirsch während die Frau weiter sprach: “Ja. Alles muss raus. Komm. Spritz mich richtig voll. Ich liebe Sperma in mir, auf mir, an mir. Ooooooh jaaaaah, ist das viel, Du geiler Bock, das hört ja gar nicht mehr auf. Wie geiiiiiil.”Dann hörte man ein Poltern. Ich vermutete, dass die Frau auf einem Tisch gebürstet wurde und nun runter rutschte, um den Kerl den Riemen sauber zu polieren. Tatsächlich sagte sie: “Lass mich Deinen Schwanz schön sauber lutschen. Ich will jeden Tropfen Deines Saftes.” Und dann hörte ich es nur noch Schmatzen, während der Mann stöhnte: “Also was bist Du doch für eine geile Schlampe. Hast mich völlig leer gesaugt. Mir tun die Eier weh.”Puh! Da muss es ja ordentlich zur Sache gegangen sein. Mein Rohr spannte beinahe schon schmerzhaft in der Hose. Denn das Hörspiel hatte mich natürlich total scharf und geil gemacht. Ich escort maltepe sah zu, dass ich auf mein Zimmer kam. Dort wurde ich aber sehr schnell wieder auf den Boden der Realität zurück geholt als ich auf dem kleinen Schreibtisch den Laufzettel sah, den ich bei Frau Dr. Müller vergessen hatte.Missmutig zog ich mich aus und ließ mir in der Dusche heißes Wasser über den Köprer laufen bis ich Sorge hatte Schwimmhäute zu kriegen. Ich tocknete mich ab und legte mich aufs Bett. Das Essen und nun die heiße Dusche und das Abfallen der Anspannung von der Arbeit nach meinen ersten Urlaubstagen hatten mich total müde gemacht.Offfenbar war ich bald eingedusselt, denn ich träumte, dass ich frisch geduscht im Bett lag und aufwachte, weil etwas an meine Tür klopfte. Das Klopfen hörte nicht auf, sondern ich meinte, es sei auch noch lauter geworden. Ich versuchte es mal mit dem Öffnen der Augen und in dem Moment als ich sie einen Spalt aufbekam, öffnete sich meine Zimmertür einen Spalt und ich sah einen verwuschelten Frauenkopf wie bei jemanden, der geduscht und sich die Haare nicht richtig getrocknet hatte. Das Wesen sprach mit mir, ich verstand aber noch nix, weil ich noch gar nicht richtig wach war. “Häh” entgegnete ich doof. Das weibliche Gesicht wiederholte sich, nun noch einmal lauter: “Helfe. Swetlana braucht Helfe. Schnell.”Wer war jetzt schon wieder Swetlana? Und wer war die Frau an meiner Tür? Ich verstand nur Bahnhof und murmelte: “Ich komme.” Ich suchte nach meinen Hotelschlappen und warf mir den Bademantel über, den ich im Zimmerschrank gefunden hatte. Ich taumelte aus dem Zimmer und suchte nach der Frau, die doch hoffentlich kein Geist war. Am Ende des Ganges sah ich sie vor einer Zimmertür, aus der Licht fiel, winken. “Ja, ja. Ich komme.” Hoffentlich musste ich keine erste Hilfe leisten. Davon hatte ich ja gar keine Ahnung.Im Zimmer fragte ich dann: “Wo ist denn Swetlana?” und der weibliche Wuschelkopf antwortete: “Ich Swetlana!” und zeigte auf sich. Ach so. Es war gar kein Notfall? Wahrscheinlich war mein Einsatz als Bildaufhänger oder Schrankverschieber gefragt. “Wobei soll ich denn helfen”, fragte ich, nachdem ich mich suchend im Zimmer umgeschaut hatte und langsam klarer im Kopf wurde. “Hier. Swetlana”, zeigte sie auf ihren Unterleib und erst jetzt sah ich, dass sie ebenfalls einen Bademantel trug, der aber nicht geschlossen war. Ich sah ihr verblüfft ins Gesicht und erkannte sie als eines der Zimmermädchen aus der Kantine von vorhin wieder. “Sitzen”, sagte sie mit einem breiten Grinsen und schubste mich in Richtung Bett. Ich rutschte aber mit den Hotellatschen weg und plumpste so rücklings in ganzer Körperlänge auf das Bett. Noch ehe ich mich aufrichten konnte war Swetlana über mir und kommentierte ihre Attacke mit einem rollenden “So noch besserrrr”.Sie legte sich in 69er-Position auf mich, machte die Beine breit und schob mir ihr Geschlecht über das Gesicht. Teilrasierte Möse, stellte ich fest und ich tastete mich mit Lippen maltepe escort bayan und Zunge vor. Ihre Muschi war noch verschlossen wie eine Auster und ich musste mit beiden Fingern die zierlich-kleinen Schamlippen auseinander ziehen, um sie mit meiner Zunge besser lecken zu können.An meinem Freund ging die Attacke nicht spurlos vorüber. Die 69er-Stellung gehörte zu meinen Lieblingspositionen beim Sex und schlagartig hatte ich auch wieder die Fick-Geräusche aus der Wäschekammer im Ohr. Kurzum, gäbe es eine Rimola, also eine Riesenmorgenlatte, am Abend, dann hätte ich die jetzt. Swetlana merkte das natürlich, schlug meinen Bademantel zurück und… Haps, hatte sie sich umstandslos meinen Kolben zwischen die Lippen geschoben und begann etwas hektisch meinen harten Schwanz zu blasen. Uff. Damit hatte ich nicht gerechnet. Ich spürte, wie meine Geilheit wuchs und ich packte Swetlana an den Hüften und zog sie noch fester runter an mein Gesicht und ließ meine Zunge nun über ihr Loch wirbeln, leckte abwechselnd ihren Kitzler um dann wieder zu versuchen mit der Zunge in ihr Loch zu bohren.Sie hatte mittlerweile mit der rechten Hand meine Eier fest im Griff, während sie mit der linken meinen Prügel am Schaft hielt und sich jetzt langsamer immer wieder meine Schwanzspitze zwischen die Lippen schob. Mein Druck erhöhte sich und ich packte sie noch einmal fester, hatte sie unentrinnbar umklammert und belegte ihren Kitzler nun mit einem wahren Trommelfeuer aus Zungenschlägen. Diese Behandlung ihrer feuchten Grotte blieb nicht ohne Wirkung. Sie hielt auf einmal mit dem Blasen inne, jammerte und wimmerte etwas in ihrer slawischen Heimatsprache, was ich natürlich nicht verstehen konnte – und ließ dann mit ruckartigen Zuckungen ihren Orgasmus zu. Dann fing sie an meinen Schaft zu wichsen und hatte damit nicht viel Arbeit. Soviel hatte sich bei mir die Tage über angestaut, dass ich schnell spürte, wir mir der Saft die Lenden hochstieg. Für sie überraschend schoss plötzlich ein erster Strahl Sperma aus meiner Schwanzspitze direkt über ihr Gesicht bis in die Haare. Mein eisenharter Prügel pumpte kräftig weiter und Swetlana versuchte, nachdem ihr ein “Oh!” entfahren war, mit Fingern, Lippen und Zunge der Spermaflut Herr zu werden. Uff, tat das gut. Sie stand auf und wischte sich mit einigen Papiertaschentüchern das Sperma aus dem Gesicht und so gut es ging von den Brüsten. “Menge für Swetlana”, gluckste sie und gab sich eneut keine Mühe, ihren Bademantel zuzumachen. Ich schaffte es nun endlich mich aufzusetzen und sah mit Verwunderung, wie Swetlana glucksend in ihr Handy tippte. “Gewettert” mit ganz vielen R sprach sie zu mir und ich verstand nicht, was sie meinte. Nach einigem hin und her kamen wir darauf, dass sie mit den anderen Zimmermädchen in der Kantine gewettet hatte, wer es als Erste schafft, meine Zunge in ihrer Lustzone spüren zu lassen. Sie hatte gewonnen. “100 Eurrrrrro”, strahlte sie und reckte den Daumen stolz nach oben. “Helfe Swetlana, Danke”, nahm ihre Zufriedenheit keine Ende. Nun. Ich wollte mich auch nicht beklagen und versuchte noch ihr irgendwie begreiflich zu machen, dass sie ordentlich Sperma im Haar hatte, bevor ich in mein Zimmer zurück kehrte.(Folgt Wellnesshotel Frauenwohl Teil 5)

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