Tatouage Ch. 06

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Traduction d’un texte de Evals22.

Ce récit est une fiction qui mélange de la soumission et dégradation féminine. Si vous pensez que cela puisse vous choquer, ne continuez pas à lire.

*******

Lori se sentit vraiment mal après leur départ. Elle était en colère contre elle-même de ne pouvoir refuser les souhaits de Josh. Elle était épuisée émotionnellement et physiquement, marchant de façon automatique pendant qu’elle nettoyait les preuves de sa débauche.

Elle prit une longue douche, essayant de laver les souvenirs de son humiliation. Mais ça ne fonctionna pas. Alors que l’eau coulait sur son corps, elle décida de demander à David de faire partir Josh. Si elle ne le faisait pas, l’histoire ferait boule de neige et causerait encore plus de problèmes. Lori se détesta, car pendant toutes ces pensées sensées, son esprit continuait à voir la bite de Josh et se demandait quand elle la sentirait en elle enfin.

Elle s’habilla avec l’une des robes préférées de David, une robe sexy qui lui arrive à mi-cuisses avec des imprimés fleuris. Même si Josh lui a dit qu’il ne repasserait pas, elle mit les talons aiguilles encore légèrement humides.

Elle fit une salade à partager à deux avec du thon et elle ouvrit une bouteille de Riesling. Quand David arriva, il fut surpris de trouver Lori bien habillée. Il tiqua sur les talons hauts, sachant qu’elle aimait se promener pieds nus. Puis il pensa que c’était ce que voulait Josh.

Ils parlèrent des enfants, de leur journée, les deux ne mentionnant pas Josh. Puis finalement David parla de son voyage.

– Lori, la mère d’Hélène est très malade. Les médecins disent qu’elle ne va pas passer la semaine. John et sa famille sont partis pour la rejoindre. Alors je dois le remplacer et aller au Japon pour finaliser un gros contrat.

L’esprit de Lori fonctionna à tout vitesse. Elle savait qu’il ne fallait pas qu’elle reste seule avec le jeune garçon.

– Emmène-moi David. Tu sais à quel point j’aimerai faire du shopping là-bas. Çà sera amusant, nous pourrons fêter notre 25ème anniversaire de mariage plus tôt.

– J’aimerai bien Lori, mais je serai souvent en réunion et tu connais les japonais. Les épouses ne sont pas autorisées aux dîners. Tu t’ennuierais. Tu ne peux pas faire du shopping pendant deux semaines d’affilée. Et puis rappelle-toi que Sam revient le prochain week-end.

Elle avait oublié. Leur fils Sam rentrait à la maison pour quelques jours avant de repartir pour une randonnée dans le Grand Canyon. L’un des deux devait être à la maison pour le recevoir. Josh. Que se passerait-il avec Josh?

– David, s’il te plaît, je m’ennuie à la maison. Alors laisse-moi m’ennuyer au Japon. Sam nous verra bien une autre fois. Elle essaya de ne pas paraître désespérée.

La culpabilité commença à faire son chemin dans l’esprit de David, jusqu’à ce qu’il se rappelle le ventre de lori, enceinte de Sam, couverte du sperme d’un autre homme avec les mots « Vide-Couilles » écrits dessus. Elle ne mérite pas de pardon. Surtout si elle ne peut pas dire « non » à un garçon qui a l’âge de son fils.

– Je suis désolé. Tout est déjà préparé. J’ai eu Sam au téléphone aujourd’hui et je lui ai dit que tu serais à la maison. Je lui ai expliqué que Josh restait un peu chez nous. Je lui ai demandé de lui faire visiter la région. Et Josh pourra le rejoindre dans sa randonnée, comme ça nous serons seuls pour notre anniversaire.

David décida de la tester :

– Y’a-t-il quelque chose qui te dérange? Si la présence de Josh ici est un problème, dis-le.

Lori resta silencieuse quelques secondes. C’est ce qu’elle voulait, la chance de se débarrasser de la tentation. Mais elle pensa qu’elle ne s’était jamais sentie aussi vivante aujourd’hui depuis la mort de Franck. Et elle se dit qu’elle devait être à la maison pour son fils. Elle leva les yeux et vit David qui attendait une réponse :

– Non, c’est comme un de nos enfants. Je me rends à peine compte qu’il est là.

*****

Le lendemain David rencontra brièvement Josh au café. Il lui donna sa lettre de recommandation et il lui dit que son fils viendrait quelques jours à la maison.

– Si… Même si tu as du succès avec Lori, je veux que tu la laisses tranquille quand Sam sera là. Il découvrira tout, il faut qu’il connaisse mieux sa mère, mais je veux qu’il l’entende de ma part. Ok?

– Bien sûr, pas de problème.

Josh commençait à être irrité par l’attitude condescendante de David.

– Écoute, je suis sérieux Josh. Je peux ruiner ta vie si tu ne m’obéis pas. Crois-moi, je le peux.

– Je suis désolé M. F. Je comprends tout à fait, de plus je ne suis pas sûre de pouvoir aller plus loin avec elle. Mentit-il.

« Ruine-moi connard, peut-être que je laisserai voir à ton fils quel type de femme tu as » Pensa Josh. Il se dit aussi qu’il pourrait placer des caméras sans fil autour de la terrasse pour avoir une petite assurance contre d’hypothétique représailles. David pouvait très bien ne pas se préoccuper de ce qui arrivait à sa femme Mais Josh était certain qu’il se préoccuperait Escort Bahçeşehir de son fils. Il fallait qu’il passe au magasin pour acheter tout ce dont il avait besoin pour faire de son ordinateur portable un centre de surveillance.

*****

Josh passa le reste du jeudi à faire du shopping et brancher son équipement pendant que, Lori était partie à la gym. Le soir, Lori et David allèrent dîner à l’extérieur. Il se parlèrent comme s’ils n’avaient aucun secret à cacher. Quand ils revinrent à la maison, David dit qu’il était fatigué et il partit se coucher. Plus tard quand sa femme le rejoignit dans le lit, il fit semblant de dormir. Elle se blottit contre son dos.

Ils restèrent allongés dans le lit, partageant la chaleur de leur corps et le confort de cette habitude prise après des années de sommeil ensemble. En pensant à l’avenir, ils s’assoupirent tous les deux.

Le taxi pour emmener David à l’aéroport arriva tôt le lendemain matin. L’étreinte et le baiser que donna Lori à David sembla durer plus longtemps que nécessaire. Et elle sentit très bien la froideur du sourire et de l’adieu de son mari.

Elle retourna dans la maison vide et se sentit seule. Elle savait que son avenir était endormi dans le cabanon de la piscine. Son corps frémit comme quand elle savait que Franck allait apparaître. C’était comme si toutes ses cellules s’électrifiaient et se mettaient en mode hyperactif.

Elle aimait David. Pour elle, Franck et Josh n’étaient que les outils pour nourrir une faim qu’elle ne pouvait contrôler. Peut-être que si elle satisfaisait ses besoins avec Josh, elle pourrait le renvoyer et sa vie pourrait continuer comme tout au long de ses années de mariage. Lori essaya de bloquer le sentiment de malaise qui montait. Josh était différent de Franck. Il était plus dangereux et elle ne put nier l’humidité de sa chatte en y pensant.

La sonnerie de son téléphone la ramena à la réalité. Elle sut immédiatement qui c’était. Elle n’essaya pas de lutter contre l’envie de répondre.

– Bonjour.

– Bonjour salope.

Elle grimaça sous l’insulte tout en sachant que ça l’excitait.

– Bonjour Josh.

– Je suis assis dans mon lit avec une érection d’enfer. Alors j’ai pensé à appeler la salope d’à côté.

Essayant de paraître sexy dans sa voix, Lori répondit :

– Veux-tu que je vienne et que je prenne soin de ton problème?

Josh n’avait aucun doute qu’il pouvait baiser cette femme. Pour lui, le nouveau défi était de voir dans quelle mesure elle s’humilierait pour être baisée.

– Eh bien salope, mon problème est que j’ai envie de pisser mais que j’ai trop la flemme de me lever. Alors je veux que tu m’amènes un bol dans tes chaussures de pute et un string. Et il faut un grand bol. Tu as trois minutes.

Il coupa la communication et s’assura que les caméras enregistrent tout sur son ordinateur.

Lori regarda sa montre et courut à l’étage. Elle enleva rapidement sa robe et son soutien-gorge. Puis elle changea sa culotte par un string. Elle avait les talons depuis son réveil.

En allant dans le patio, elle se souvint du bol. Elle revint dans la cuisine et elle attrapa un grand verre à bière. Sa montre lui dit qu’il lui restait moins d’une minute.

Josh put entendre claque ses talons sur la terrasse et il se demanda si les caméras l’enregistraient en train de courir.

Elle entra dans le cabanon et remarqua à quel point c’était sale, une pièce de garçon avec des canettes de bière et des vêtements sales partout. La porte où était la chambre était ouverte alors elle entra.

Josh mit ses jambes sur le côté du lit pour s’asseoir au bord.

– Pour la semaine à venir, nous allons mettre en place un programme de récompenses. Ton travail salope, consiste à faire ce que je veux.

Il rigola, un rire sinistre.

– Pour gagner ceci. Ajouta-t-il en secouant sa grosse queue de haut en bas.

Puis il se pencha et claqua le cul de Lori.

– Si tu refuses quoi que ce soit, il y aura une punition. Tu comprends?

Lori se demandait pourquoi elle s’était mise dans une telle situation. Mais son corps répondit à sa place. Elle ne put nier son excitation à ce défi.

– Oui Josh.

– Tu n’es pas une femme pour moi, ni une mère ou une petite amie. Tu n’es qu’une salope que je peux utiliser quand je veux. Si tu veux partir maintenant, je m’en fous. Tu as vu Kelly, elle est beaucoup plus jolie et sexy que toi. Maintenant, est-ce que tu comprends vraiment?

– Oui Josh, je suis ta salope. Je ne sais pas pourquoi mais pour une raison quelconque, j’ai besoin de toi et je ferai ce que tu veux. Tout ce que je demande c’est que ma famille soit laissée en dehors de tout ça.

– Je ne me soucie pas de ta famille. Mentit-il en pensant à David et à son attitude pompeuse.

Il voulait punir cet homme. Il eut soudain une idée pour l’humilier encore plus. S’il pouvait se retenir de pisser encore quelques minutes.

– Davis m’a parlé de Sam. C’est ton plus vieil enfant n’est-ce pas? Parle-moi d’eux et de ta fille.

Lori n’aima pas mêler Bahçeşehir Escort Bayan ces enfants à ses histoires, mais elle ne voulut pas contrarier Josh :

– Sam aura 24 ans et il termine son master. Suzi a 19 ans et est en deuxième année à l’université. Elle est en Grèce pour l’été.

« Dieu merci » pensa-t-elle. Josh regarda sa montre et dit :

– Je te laisse 8 minutes. Je veux que tu amènes ici les deux photos que j’ai vu sur le piano prises lors de leurs diplômes. Je veux aussi que tu mettes un soutien-gorge et une culotte de Suzi que tu trouveras sûrement dans un de ses tiroirs.

Lori n’en crut pas ses oreilles. Il avait vu les affaires de Suzi. Elle savait qu’il avait accès à la maison, mais elle n’aurait pas pensé qu’il la fouillerait.

– Josh, Suzi est beaucoup plus petite que moi. Ses vêtements seront trop petits. S’il, te plaît, ne te mets pas en colère, mais je ne veux pas qu’on même mes enfants à nos affaires.

Josh regarda sa montre :

– Sept Minutes!

Lori resta figée. Elle savait ce qui allait se passer si elle refusait. Ce garçon allait trop loin. Elle lui avait dit qu’il pouvait abuser d’elle comme il voulait. Alors pourquoi compliquer les choses?

– 6 minutes. Dois-je commencer à faire ma valise?

Lori posa le verre de bière, se retourna et courut. Elle avait l’impression que ses pieds glissaient sur le carrelage de la terrasse. Rapidement elle traversa le patio et monta les escaliers jusqu’à la chambre de sa fille.

Elle ouvrit son tiroir à sous-vêtements et attrapa la première chose qu’elle vit. Elle savait que Suzi ne portait pas de choses sexy, ou du moins pas à la maison. Sa fille portait une taille 34 et Lori faisait bien 2 tailles de plus. Elle avait une grosse poitrine alors que sa fille était presque plate.

La culotte de coton avec des petites fleurs fut étirée au maximum de la limite normale par Lori qui se débattait pour l’enfiler. Quand elle mit le soutien-gorge, elle ne put le fermer. Elle commença à trembler en sachant que le temps était compté. Elle retourna dans le tiroir et trouva un soutien-gorge de sport blanc. Elle l’enfila par-dessus sa tête. Le vêtement élastique pressait fermement ses seins.

Lori évita de se regarder dans le miroir en courant dans le salon pour prendre les photos. Elle arriva avec quelques secondes d’avance et essaya de retrouver une respiration normale, le haut serré limitant son effort.

Josh faisait les cents pas dans le cabanon. Lori comprit qu’il marchait car il avait besoin de soulager sa vessie. Sa bite semi-dure se balançait d’avant en arrière alors qu’il bougeait.

– Tu es mignonne Lori, je me demande si ta mouille sortira de ta culotte.

Josh s’assit sur un tabouret. Il se glissa au bord afin que sa queue soit suspendue entre ses cuisses écartées.

En silence, Lori, une photo dans chaque main, haussa les épaules en se demandant ce qui allait suivre.

– Mets une photo de chaque côté de moi. Je veux que, quand tu me regardes, tes enfants regardent leur douce mère.

Les larmes commencèrent à se former dans les yeux de Lori quand ces mots pénétrèrent son âme. Elle s’avança et plaça Sam à droite et Suzi à gauche. Elle se souvint quand elle avait encadré ses photos avec fierté quand ils avaient eu leurs diplômes de fin d’études secondaires. Elle recula et vit le sourire diabolique de Josh.

– Dépêche-toi, va chercher le verre.

– Les pas de Lori résonnèrent sur le sol alors qu’elle allait chercher le verre où elle l’avait laissé.

– A genoux.

Ce fut les seuls mots que Josh prononça en montrant le sol devant le tabouret. Lori obéit et s’agenouilla sur le sol dur et froid. Elle posa ses hanches sur ses pieds et leva les yeux vers Josh. Elle pouvait sentir le regard de ses enfants sur elle alors qu’elle attendait sa prochaine humiliation. Des larmes coulaient sur ses joues et tombaient sur sa poitrine. Certaines frappaient sa peau, d’autres le soutien-gorge de sa fille.

Dans un moment de douceur inhabituelle, Josh attrapa une serviette et essuya les larmes de ses yeux.

– Ne pleure pas Lori. Nous savons tous les deux que tu as besoin de ça.

Elle hocha la tête et renifla pour arrêter la morve qui coulait de son nez. La serviette essuya ses narines une dernière fois.

Josh glissa encore plus au bord du tabouret, pris sa queue maintenant bien raide dans sa main et poussa son gland vers le bas. Il dit en riant :

– Les hommes ratent toujours leur cible. Tiens le verre avec les deux mains salope et lève le bien.

Lori mit le verre au bord de la bite. Ses bras, pliés au coude, tremblèrent légèrement en attendant. Elle vite le jeune garçon se concentrer. Il avait du mal à se soulager après s’être retenu. Les secondes semblèrent des heures pour Lori, quand elle vite enfin la petite fente au bout de sa queue s’ouvrir comme pour parler.

Une goutte jaune sortit puis une autre et enfin un flux régulier commença à couler dans le verre.

Le filet devint un flot. Lori fut émerveillée par la chaleur du verre. Les bulles Bahçeşehir Escort et la couleur ambrée lui rappelèrent de la bière pression. Plus il pissait, plus sa bite devenait molle. Bientôt son gland pendit librement dans le verre.

Lori regarda avec une sorte de fascination perverse jusqu’à ce qu’elle voie le niveau commencer à couvrir le gland. Si Josh n’arrêtait pas rapidement, le verre déborderait. Lori comprit que ce ne serait pas le cas quand il parla :

– Tu aurais dû apporter un plus grand verre. Tiens bon! Gloussa-t-il.

Bientôt le liquide jaune atteignit le bord du verre et commença à déborder. Lori ne bougea pas, sentant le liquide chaud commencer à couvrir ses mains. Il suivit plusieurs itinéraires. Il coula le long de ses bras jusqu’aux coudes puis il tomba sur le sol. Sinon il tomba directement sur le sol et se faufila sous elle. Ses genoux sentirent la flaque qui s’étendit sous sa peau.

Finalement il arrêta, son gland toujours immergé.

– Pose le verre salope! Commanda-t-il.

Tandis qu’elle retirait le verre, le niveau descendit un peu quand la queue ne fut plus dedans. Elle posa le verre au milieu de la flaque d’eau et leva les yeux.

– Nettoie ma bite. Mais n’essaie pas de la toucher avec tes mains sales.

Lori se redressa en gardant ses mains sur le côté. Le cabanon puait l’urine. La pisse du matin était toujours plus acide. Son visage n’était plus qu’à quelques centimètres du gland qui brillait de son humidité. Elle sortit sa langue et toucha la tête de la bite. Le goût était acide et salé. Sa langue commença à tourner autour du gland. La bite commençait à enfler. Lori avait attendu si longtemps cette chance et elle le voulait, même si le goût était horrible.

Ne s’occupant plus du liquide qui refroidissait sous ses genoux, elle aspira avidement la virilité dans sa bouche. Elle aima la sensation du membre qui continuait à grandir dans sa bouche. Elle sentit une main se poser sur l’arrière de sa tête et attraper une poignée de cheveux. En la guidant Josh se mit à baiser sa bouche et sa gorge avec son érection. Lori laissa sa nuque s’affaisser et ne fit rien pour résister à la queue qui envahissait sa gorge. Il y a des années, elle avait appris la gorge profonde et Franck avait souvent baisé son visage.

La salive coulait au coin de sa bouche et tombait au sol. Elle savait que Josh ne durerait pas longtemps et elle faisait de son mieux pour passer sa langue sur la chair de la bite quand elle entrait et sortait de sa bouche.

Soudain les grognements du garçon s’amplifièrent et elle sentit le premier jet frapper sa gorge. Avant de gicler de nouveau, Josh sortit. Il lui bascula la tête en arrière et éjacula de nouveau, regardant son foutre atterrir sur ses yeux et son front. Il gicla encore sur son visage, puis sur le soutien-gorge de sa fille. Enfin ses deux derniers jets furent déposés sur sa figure.

Poussant sa tête vers le sol, Josh essuya sa bite avec ses cheveux. Il relâcha sa prise et fit tourner le tabouret d’un quart de tour pour en descendre. Il enjamba le sol mouillé.

– Ne bouge pas!

Il partit dans la chambre. Lori, toujours agenouillée, le regarda s’éloigner et était tellement excitée qu’elle aurait aimé que Josh lui permette de jouir.

Le garçon revint quelques minutes plus tard et lui dit de se lever. Ses genoux lui faisaient mal et la pisse froide coula de ses genoux à ses pieds. Le sperme sur son visage était en train de refroidir. Il suintait de son œil, droit et de ses lèvres. Avec son œil gauche, elle vit que Josh avait pris un short et un tee-shirt. Il était pieds nus. Cela lui sembla amusant.

– Je vais me faire un petit-déjeuner à côté. Nettoie ce bordel. Mais pas toi bien sûr. Je veux que tu sentes la pisse et le sperme pendant que tu arranges le cabanon. Tu as trente minutes pour nettoyer le sol, mettre les serviettes sales et mes vêtements sales à la machine. Tu lances la machine et tu viens me voir. Tu as intérêt que ce soit vraiment propre ou je te fais nettoyer tout le sol avec ta langue.

Il se tourna pour partir, et se baissa pour ramasser un de ses caleçons sales. Le jetant à ses pieds, il ajouta :

– Tu peux l’utiliser pour enlever le sperme de tes yeux.

Trente minutes plus tard, alors qu’il était assis à la table de la cuisine et qu’il finissait son café, Josh vit Lori s’approcher. Elle avait vraiment l’air idiote dans cette culotte de coton trop serré pour elle et le soutien-gorge distendu. Quand elle se rapprocha, il vit les traces blanchâtres de son sperme, sur son visage, ses cheveux et son soutien-gorge. Elle tenait les deux photos en utilisant une serviette pour que ses doigts recouverts de pisse ne salissent pas les cadres ni le verre.

Josh sourit quand elle entra dans la cuisine.

– Va remettre les photos à leur place.

Lori revint quelques secondes plus tard et s’immobilisa près de la table.

– Tu pues. Je vais te pardonner ta petite réticence pour les enfants. Tu verras Lori, tu trouveras que je suis un garçon compatissant.

Son sourire et sa voix condescendante l’humiliaient encore plus que le sperme et l’urine séchant son corps.

– Je suis sûr que comme tu es une vraie salope, tu veux jouir. Si tu continues à suivre mes ordres ça arrivera peut-être aujourd’hui. Peut-être même plus d’une fois.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Payer le loyer Ch. 06

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Traduction d’un récit de Craig88.

Ceci est une FICTION avec chantage, humiliations et contrainte d’une jeune femme. Certains passages étant très « crades », ils peuvent choquer. Si vous n’aimez pas ce genre, arrêtez de lire.

**************

Nous sommes jeudi. Mon viol par Marcus s’est passé le mardi. D’ailleurs je suis retournée le voir. Nous avons passé plusieurs heures à baiser sans arrêt. Ma chatte était douloureuse le lendemain mais ça ne m’a pas empêchée de passer toute la journée empalée sur cette monstrueuse queue.

Hier, M. ALLEN était venu mais rien de spécial ne s’est passé. Il m’a juste sodomisée et giflée. Je fus un peu déçu. Après son départ je suis descendue à l’appartement de Marcus et je l’ai laissé jouer avec moi.

Il est 10h30. Je rentre chez moi et je m’assois sur le canapé. Je reviens de chez Marcus. Dès que mon mari était parti au travail, j’avais rejoint mon voisin pour lui sucer la queue et lui lécher le cul comme il me l’avait ordonné. J’avais un drôle de goût dans la bouche, mais je m’en foutais.

J’ai encore du mal à croire comment j’ai été transformée en pute. Mon cerveau a complètement été dominé par ma chatte, mon sexe qui avait été si longtemps négligé par mon mari. Je suis une femme de 34 ans et je suis mariée à Steve depuis 2 ans. Notre vie sexuelle est insignifiante. J’ai eu mon premier orgasme dans les mains d’un clochard et je ne peux plus apprécier des rapports sexuels avec Steve. Je veux être traitée comme une salope, je veux être baisée par tous mes trous. Je veux que les hommes me traitent comme un objet de plaisir et une vide-couille. Je veux des hommes sales et puants, des hommes laids qui sont incapables d’avoir une femme aussi chaude que moi. C’est ce que je veux.

Je porte la robe en latex serrée que je portais lorsque je me suis faite violer par les clochards. Marcus voulait que je la prenne pour vraiment ressembler à une putain. Je me lève et j’entre dans la chambre pour me regarder dans le miroir. Mon mascara a coulé sur mon visage à cause de la gorge profonde que j’ai dû faire à mon voisin.

Je quitte la robe et j’examine les tâches distinctives de sperme dessus. La dernière fois qu’elle avait été recouverte de sperme, je l’avais nettoyée avec un chiffon humide. Mais là je le ferai plus tard.

Je soulève la robe jusqu’à mon visage, sous mon nez. Il y a toujours une forte odeur de foutre. Je sors ma langue et je la passe sur les tâches de sperme. Je m’arrête brièvement avant de recommencer à la lécher. Ce sperme a un goût délicieux pour une salope comme moi. Je lèche toutes les traces que je peux trouver sur la robe en latex. Je suis sûre que M. ALLEN aimerait voir ça. Pendant que je lèche, je glisse ma main entre mes cuisses et je pénètre ma chatte emplie de sperme avec mes doigts. Mon Dieu, Marcus est capable de jouir comme un cheval.

Je retire mes doigts de ma chatte et j’examine le liquide gluant qui se trouve dessus. Un par un je lèche mes doigts, les nettoyant du sperme. Je passe lentement d’un doigt à l’autre. Mais j’en veux plus.

De nouveau je vais fouiller ma chatte pour aller chercher le foutre de Marcus et je l’avale sans hésitation. Je laisse échapper un long soupir en appréciant le mélange de sperme salé avec le jus de ma chatte. Je récupère le plus de sperme possible et je finis par lécher mes doigts jusqu’à ce qu’ils soient propres.

M. ALLEN est très en retard aujourd’hui. Il n’arrive qu’à 15 heures. A ce moment-là ma chatte est bien trempée, je me suis masturbée 4 fois en attendant.

– Aujourd’hui, je crains de ne pas pouvoir rester longtemps Hélène car j’ai des choses à faire. Alors dis-moi quand Steve va être au travail ces prochains jours?

Pour la première fois depuis des mois, Steve va travailler la nuit. Je n’aime pas ça car je déteste être seule dans l’appartement toute la nuit. Je l’avais supplié de ne pas faire de nuit mais il m’a dit qu’il n’avait pas le choix.

– Demain soir, il travaille de nuit, de 20 heures à 6 heures du matin. Dis-je au propriétaire.

Ses yeux se sont éclairés.

– Il travaille de nuit!

Je ne sais pas s’il parle tout seul ou à moi alors je me contente de hocher la tête. Il sourit :

– C’est absolument génial. Oh Hélène, demain soir, je vais te sortir pour une nuit que tu n’oublieras jamais!

Que veut-il dire exactement? Mas ma chatte aime ses paroles car elle mouille de plus en plus. Je peux sentir mes sous-vêtements s’humidifier.

– Hélène, je serai là à 20 heures 30. Je m’attends à ce que tu sois habillée comme une pute : bas, mini-jupe, bottes.

Sur ces paroles, il sort de l’appartement avec le plus grand sourire sur son visage que je n’ai jamais vu? Que va-t-il me faire faire maintenant?

*******

J’embrasse Steve pour lui dire au revoir. En vérité, j’essaie de le faire partir au plus vite. Ma chatte frissonne d’anticipation. Dès qu’il est parti, je vais directement dans la chambre et j’étale sur le lit tous mes vêtements de pute. Un par un je les essaie devant le miroir pour trouver celui Escort Bahçeşehir qui fait le plus salope. Je ne veux pas de la robe en latex serré que j’ai déjà porté bien souvent.

Finalement je me décide quelques minutes avant l’arrivée de M. ALLEN. Je prends une mini-jupe à carreaux très courtes, un haut moulant, des bas et un porte jarretelle beige ainsi que des talons hauts. Mes seins sont si gros qu’ils tendent au maximum le tissu de mon haut. On peut voir mes mamelons à travers le tissu beige. Je ne mets ni soutien-gorge ni culotte. Je me maquille et je redresse mes cheveux blonds pour mieux ressembler à une prostituée.

Mon propriétaire arrive et aime ce qu’il voit. Il sourit et dit :

– Bien Hélène, tu es une bonne fille.

Il passe sa main potelée sur mes cuisses. Il me caresse doucement et continue jusqu’à ce qu’il atteigne ma chatte nue.

– Tu n’as pas de culotte, tu es si humide?

C’est vrai, je peux presque sentir mon jus couler sur mes jambes alors qu’il glisse ses doigts dans mon vagin. Ensuite il tripote ma poitrine et sors un de mes seins. Il commence à pincer mon téton. Puis il passe derrière moi et me penche sur le canapé. Je crois qu’il veut me baiser avant que l’on parte. Je le veux aussi. Mais je sais que sa queue est trop petite pour satisfaire ma chatte insatiable.

Tandis que je me penche sur le canapé, il remonte ma jupe et se baisse pour me lécher la chatte. Il enfonce sa langue dans mon trou humide. Ça me fait du bien. Ça fait bien longtemps que personne ne m’a mangé la chatte, j’avais oublié à quel point c’est bon. Je bouge mes hanches sur sa langue et bientôt il s’intéresse à mon trou du cul.

– Oh mon Dieu ohhhhhhh! soupiré-je.

Je me sens si bien avec sa langue dans mon cul. J’ai toujours voulu ça mais Steve a toujours refusé, il dit que c’est dégoûtant. Peut-être que la seule chose que je déteste chez Steve, c’est qu’il est toujours réticent à essayer des choses nouvelles. Étonnamment il est très strict et très pudique alors il désapprouve les tenues trop sexy et les comportements osés. Il est très prude.

Aujourd’hui je profite de mon premier anulingus. M. ALLEN a une petite bite, mais il est très habile avec sa langue.

– Oh M. ALLEN, allez-y, lécher mon trou du cul, c’est si bon. Ohhhhhh!

Je sais qu’il aime que je l’appelle M. ALLEN. Il enlève sa langue de mon cul puis il me sodomise violemment. Je gémis.

– Oh putain, c’est serré! Dit-il.

Il pose ses mains sur mes hanches et commence furieusement à m’enculer avec passion. Étonnamment je sens très bien sa bite et ça me fait jouir. Il gifle mes fesses et il me traite de sale pute tout en me labourant le cul.

Sans surprise, il ne peut tenir longtemps avant que je ne le sente se raidir et vider ses couilles dans mon trou du cul.

– OH OUI Hélène! Espèce de grosse salope!

Il retire sa queue et du sperme sort de mon cul.

– Bon Hélène, je veux que tu avales tout ce sperme. Ne gaspille pas une seule goutte.

Je lui obéis et je doigte mon cul pour récupérer autant de sperme que possible. Heureusement que je m’étais bien lavé auparavant. Son sperme est assez épicé. Quand il est satisfait de mon nettoyage, il me dit d’aller aux toilettes et de me laver. Comme il ne veut pas que je porte de culotte, il ne veut pas que je fuie sur les sièges de sa BMW.

Nous quittons l’immeuble et nous prenons une route différente de la dernière fois, celle où nous nous sommes rendus dans les vieux quartiers où j’ai été humiliée par des sans-abris. Je ne sais pas où mène la route sur laquelle conduit mon propriétaire.

Mais, après dix minutes de trajet, je me rends compte que nous sommes dans une zone un peu isolée. Je distingue juste les arbres de chaque côté de la route. Il fait sombre et les lieus sont calmes.

Un peu plus loin, nous tournons à gauche sur un petit parking. Il y a des arbres tout autour et un ou deux lampadaires. M. ALLEN se gare sur une place isolée. Un saule pleureur penche sur la voiture et la cache un peu. Je remarque qu’il y a deux autres voitures sur le parking. Elles ont l’air vides. Je regarde l’horloge sur le tableau de bord, il est 21 heures 40.

– Que faisons-nous ici?

Je ne reçois pas de réponse, juste un sourire aux dents jaunies. Nous attendons en silence pendant près de vingt minutes.

Vers 22 heures 15, j’avais déjà sucé la queue de M. ALLEN deux fois pour passer le temps. Alors que je le prends en bouche pour une troisième fois, il m’arrête et me dis qu’il est temps. Je lève les yeux et regarde le parking. Il y a plus de voitures. J’en compte six. Je distingue mal à l’intérieur des véhicules donc je ne peux savoir si elles sont occupées.

J’en vois juste une qui se balance d’avant en arrière. Je pense alors que le chauffeur ne doit pas être seul.

– Hélène, vois-tu le gros bâtiment au loin? Me demande mon propriétaire.

Je regarde et je scrute le lointain. Oui je vois le bâtiment. Je lui demande ce que c’est.

– C’est où tu vas aller Hélène!

Je le regarde. Bahçeşehir Escort Bayan J’ai un peu peur car il fait très noir dehors et je ne sais pas ce qui m’attend dans le bâtiment.

– Ne t’inquiète pas Hélène, je serai avec toi. Oh et tu devrais savoir que faire quand tu y seras.

Sur ces mots, il ouvre la boite à gants et sort un petit appareil photo numérique. Il me semble que c’est un de ceux qui ont un rabat sur le côté pour pouvoir enregistrer des vidéos. Je ne suis pas vraiment au courant des dernières avancées en matière de technologie vidéo et autres.

– Allez-vous me filmer?

– ça ne pose pas de problèmes Hélène. N’est-ce pas?

Le ton de sa voix me fait comprendre que je vais prendre une claque si je montre mon désaccord. Je décide alors de me taire. Il ouvre le rabat de l’appareil et appuie sur un bouton. Une petite lumière rouge s’allume. Il déplace la caméra de haut en bas pour me filmer complètement.

– Allez Hélène, souris! Tu as vraiment un beau corps.

Il dirige l’objectif sur mes seins. Je suis très mal à l’aise à l’idée d’être filmée. Mais en même temps ça m’excite.

– Maintenant Hélène, je veux que tu sortes de la voiture et que tu marches jusqu’au bâtiment. Je vais te suivre.

Avec appréhension je sors de la voiture. Il faut que je traverse complètement le parking pour rejoindre le bâtiment indiqué. Cela veut dire que tous les occupants des autres voitures vont me voir. Je commence à marcher et je sens des regards qui me scrutent à travers les pare-brises. Mes seins rebondissent et mon cul roule dans ma mini-jupe. Mes talons claquent sur le sol. Ma chatte s’humidifie à la pensée de tous ces yeux braqués sur moi. Finalement j’arrive à la fin du parking et j’avance dans l’allée menant à l’immeuble.

Je plisse les yeux pour mieux voir dans la pénombre du lieu. Et en entrant je réalise à quoi sert ce bâtiment. C’est des toilettes publiques.

Je me tourne vers M. ALLEN, qui, fidèle à sa parole, me suit la caméra à la main. Il me fait un signe pour me dire de pénétrer plus loin. Je regarde ces toilettes et je vois que la porte la plus proche de moi est pour les hommes. Je prends une grande inspiration et je me dirige vers cette porte.

Lorsque j’entre lentement, l’odeur d’urine est si forte que je suis presque renversée. Je ne sais pas pourquoi mais les toilettes des hommes puent toujours horriblement. Le sol est en marbre bleu.

Je me déplace sur la gauche pour éviter le mur en face de la porte qui permet, dans les toilettes publiques, de cacher le reste de la pièce aux passants extérieurs.

Je me rend compte que la pièce est vide. Sur le mur de droite il y a trois urinoirs, sur le mur de gauche deux lavabos et en face se trouvent quatre cabines. La lumière est faible mais je vois bien quand même. Les murs sont blancs et je peux entendre un goutte à goutte sortant d’un robinet cassé. L’endroit est plutôt délabré.

Des serviettes en papier sont parsemées sur le sol. Il y a aussi une flaque d’eau. Étonnamment le miroir est intact alors que les murs sont couverts de graffitis. Les cabines ont connu des jours meilleurs. Elles sont aussi couvertes de graffitis et certaines parois sont fendues.

Je me positionne au milieu de la pièce. Je frissonne. Il fait un peu froid et j’ai peur.

M. ALLEN entre derrière moi. C’est étrange, mais je me sens un peu plus en sécurité quand il est là.

– Viens avec moi Hélène!

Toujours armé de sa caméra, il me conduit vers les cabines. Il les examine toutes les quatre et finalement il décide que l’une du milieu fera l’affaire. Il me pousse à l’intérieur et me fait asseoir sur la cuvette. La cabine est assez grande pour que nous y entrions tous les deux. Il ferme la porte derrière nous et la verrouille. Et il continue de me filmer.

Je regarde à gauche et je vois un trou creusé dans la cloison. Je vois la même chose à ma droite. Pourquoi sont-ils là?

Mes pensées sont rapidement interrompues quand j’entends des pas dans les toilettes. Je retiens mon souffle. Les pas se rapprochent de plus en plus. J’entends une personne entrer dans la cabine à côté de la notre. La porte se ferme et je reconnais le bruit distinctif d’une braguette qui est ouverte.

Je regarde M. ALLEN qui me fait signe de mettre mon doigt dans le trou de la cloison entre notre cabine et celle où quelqu’un est entré. J’obéis et j’y passe mon majeur. Mon propriétaire me fait signe alors de retirer ma main. J’obéis encore.

Tout en retenant ma respiration, je me demande ce qui va se passer ensuite. Tout d’un coup, une bite est poussée à travers le trou. Je suis surprise par cette queue qui passe dans un trou de cloison, je n’ai jamais vu ça auparavant. Je me penche en avant et j’enroule ma main autour du membre. Il est chaud mais pas encore bien raide. Lentement je le caresse. Puis je me penche de plus en plus pour finalement prendre le gland dans ma bouche. Je le suce lentement tout en caressant la hampe. La bite grossit et s’allonge. Elle fait bien 15 centimètres de long Bahçeşehir Escort maintenant.

L’homme, de l’autre côté de la cloison gémit pendant que je suce sa queue à travers le trou. Je la prends complètement en bouche et je m’applique. Je deviens de plus en plus excitée. Mon Dieu, je suis en train de sucer la bite d’un étranger à travers un trou dans une cloison. J’ai totalement oublié que M. ALLEN est en train de me filmer. Je mouille et je peux sentir que la cuvette des toilettes où je suis assise devient glissant à cause du jus de ma chatte. Je ne peux m’empêcher de glisser ma main dans mon entrejambe et commencer à jouer avec mon clitoris pendant que je suce.

Je veux réagir alors je le fais :

– Oh oui, j’aime sucer ta bite chéri! Oh oui!

Je crois que de parler comme une pute excite beaucoup l’homme à côté. Il retire sa bite du trou. Je jette un coup d’œil et je le vois se masturber rapidement.

– Oh oui Chéri, viens dans ma bouche, oui!

Il remet sa queue dans le trou et j’ouvre la bouche pour recevoir sa décharge. Il gémit bruyamment tout en éjaculant dans ma gorge. J’avale tout. Après avoir fini, il retire sa queue du trou et il part. Je suis tellement excitée que ça me paraît incroyable.

Après que l’homme soit parti, les toilettes sont restées silencieuses pendant une minute ou deux. Je regarde M. ALLEN qui affiche un grand sourire sur son visage et une grosse bosse dans son pantalon tout en continuant de filmer.

Puis quelqu’un d’autre entre. Je l’entends marcher et baisser son pantalon.

– Y a-t-il quelqu’un d’autre qui a envie que je lui suce la queue?

Je suis une pute et une allumeuse, je ne peux plus me retenir.

L’homme pousse sa bite à travers le trou. Elle est belle et mesure au moins 18 centimètres. Je ne perds pas de temps pour la saisir.

– Oh oui, que ta queue est belle et grosse!

Je la saisis à la base et j’engouffre le membre dans ma bouche. Je le suce habilement et quand je sens qu’il va jouir, je le branle plus vite.

– Oh oui chéri, viens dans ma bouche, je veux goûter ta semence.

Alors qu’il décharge son sperme dans ma bouche, M. ALLEN se rapproche pour me filmer en gros plan. Je passe ma langue sur mes lèvres pour ne pas perdre une seule goutte du foutre de l’homme. Et je dis :

– C’est tellement bon.

Après que cet homme soit parti, un autre est arrivé. Je l’ai sucé lui aussi en lançant des regards cochons à la caméra et à mon propriétaire.

– Hmmmm, Est-ce que vous aimez me voir sucer des bites? Dis-je en souriant à la caméra.

M. ALLEN sourit. Je suis une vraie putain.

– Oh mon Dieu, j’aime sucer ta queue, ça me fait mouiller. S’il te plaît, jouis dans ma bouche chéri!

Après qu’il se soit déversé dans ma gorge, je décide que j’ai besoin d’une bite dans ma chatte. Je vais baiser la prochaine queue qui passera par ce trou.

Je n’attends pas longtemps. Un autre membre traverse la cloison et je ne peux croire ma chance. Il s’agit d’une bite noire mesurant bien plus de 20 centimètres. Je m’agenouille devant et j’ouvre ma bouche pour bien l’engouffrer jusqu’au fond de ma gorge. Je remonte ma jupe et je commence à doigter ma chatte déjà bien humide et excitée. Je m’applique à sucer cette grosse queue noire et son propriétaire apprécie. Puis je la sors de ma bouche et je lui dis que je veux qu’il baise ma chatte à travers le trou.

Je me retourne. Je me penche sur le siège des toilettes et je tends la main pour attraper la verge d’ébène. Je la tiens contre les lèvres de ma chatte et je recule dessus. Le sexe glisse lentement en moi. Je recule le plus loin possible jusqu’à ce que mon cul heurte la paroi. Et je baise ce membre lentement. L’homme reste sans bouger, me laissant faire tout le travail.

Cette grosse bite noire se sent bien dans ma chatte blanche rasée. M. ALLEN réussit à mettre la caméra entre mes jambes pour m’enregistrer en train de m’empaler sur une queue noire.

– Oh mon Dieu, oui, oui, j’aime ta queue chéri! Oh ouiiii je vais jouir, ouiiiiiiiiii, ahhhhhh, ahhhh!

Je jouis bruyamment et l’homme inonde mon ventre avec son foutre. Je me relève, me retourne et m’agenouille pour nettoyer sa bite avec ma langue. J’aime le goût du jus de ma chatte sur la bite d’un homme.

Puis tout à coup, cette queue noire commence à libérer un autre liquide, qui n’est pas blanc et épais. Son urine frappe l’intérieur de ma bouche. Elle a un goût acidulé.

– OH non…. Sale bâtard!

Sa pisse arrose mon visage et mes vêtements. M. ALLEN est en train de rire. Il me dit de tout boire ou j’aurais des ennuis.

– Mais c’est de l’urine?

– Et alors, tu as bien léché le trou du cul de clochard. Obéis et ferme ta gueule!

Je reste agenouillée pendant que le noir me pisse dessus. Une flaque d’urine commence à m’entourer. Et comme je suis une bonne pute obéissante, j’avale la bite et j’avale sa pisse jusqu’à ce qu’il finisse de se vider.

– Bien Hélène, mais ce n’est pas encore fini! Sourit M. ALLEN.

Il ouvre la porte et je vois quatre hommes, bites en mains, en train de se branler. Mon propriétaire m’attrape la main et me tire hors de la cabine. Je reste sans bouger, regardant ces bites, certaines grosses, d’autres petites, toutes différentes. Je sais qu’elles sont toutes pour moi.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Marie Bascule Dans La Perversité

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Marie avait cours à la fac de 10 à 12h ce mercredi matin. Il s’agissait en réalité d’une option qui ne l’enchantait guère, mais essentielle à son cursus. En se préparant, elle se dit qu’elle pourrait faire jalouser un peu Steve en s’habillant sexy. En effet, depuis la dernière fois, Marie adore embêter son copain sur ce domaine en ne l’autorisant à la toucher que dans de très rares cas. Elle s’amuse à lui dire que “l’on ne touche qu’avec les yeux…” faisant enrager Steve. Toutefois, il n’est pas le seul à voir sa libido grandir, car Marie n’a également pas de nouvelles d’Efia ni de Farida pour calmer sa petite chatte… car plus question que Steve la touche!

Ce matin, elle enfile alors ses bas noirs, un porte-jarretelle rouge écarlate, un string noir et un soutient gorge noir push up. Ce dernier lui fait gonfler sa poitrine, tellement que l’on pourrait penser qu’elle n’est pas naturelle. Un chemisier blanc et une jupe s’arrêtant juste en dessous de la lisière des jarretières complète le tableau. S’équipant de ses talons hauts, elle saute dans la voiture pour rejoindre la fac.

Comme à son habitude, elle se gare à sa place dans l’immense parking qui est toujours désert. Celui-ci est placé de tel manière à être à l’abri des regards, et bon nombre d’étudiantes se font sautées dans leurs voitures pendant les heures de pause. Elle descend, puis remonte sa jupe pour prendre une photo de ses bas et l’envoie à Steve pour l’agacer avant d’aller à son cours.

Steve est encore au lit quand il reçoit le SMS avec le cliché de sa copine. Ce dernier n’en croit pas ses yeux, et sa queue commence à gonfler immédiatement lorsqu’il s’aperçoit que Marie est à la fac dans cette tenue. Il se dit qu’elle va encore se faire avoinée son petit cul par les deux furies de l’autre fois. Ou bien se faire prendre par un autre mâle qui aurait vu ce qu’elle porte. Mais, le malheureux ne peut pas se faire plaisir car il a promis aux filles de ne pas se branler… Il part donc à la douche pour faire retomber sa petite chose.

Marie ressort à 12h05 de la fac et rejoint sa voiture. Elle pense voir Steve afin de lui faire profiter de sa tenue, le titiller un peu. Elle enclenche la marche arrière, et entend trop tard le coup de klaxonne! Paf! Sa voiture est emboutie par une autre qui venait d’arriver derrière! Elle sort pour voir les dégâts, ses talons claquent sur le béton froid, et s’aperçoit que dans la voiture il y a Efia et un black. Cette dernière sort:

-Oh mais c’est ma soumise! Regarde ce que t’a fait pétasse! Une voiture toute neuve!

En même temps l’homme sort également et ne comprend pas vraiment:

-Vous auriez pu faire attention tout de même…

-Ne t’inquiète pas mon choux, je la connais cette garce…elle va nous dédommager!

-Ah bon? Comment ça?

-Oh non pas vous… il faut faire un constat, j’en ai un, il n’y a pas de problème, dit Marie.

-Je me fous de ton constat ma belle, dit Efia, tu vas regretter de pas nous avoir vu!

-Mais qu’est ce qui se passe, pourquoi tu lui parle comme ça?

-Avec mademoiselle on a eu une petite discussion dans les toilettes la semaine dernière, et elle s’est montrée très coopérative avec moi et Farida.

-En disant cela, le black comprit exactement vers quoi faisait référence Efia. D’un geste il se précipita vers Marie pour lui attraper les mains et les attacher derrière son dos Escort Esenyurt avec sa ceinture.

-Mais!!! Oh non ça va pas recommencer! Que faites-vous!!?

-Tu voulais me revoir, non? Et bien voilà, on va te donner une bonne leçon et tu vas pouvoir te faire une idée d’une vraie queue! dit Efia.

-Tient regarde ce que je fais de ton constat ma belle! Le black prend la feuille et la déchire.

Marie se débat de toute ses forces, mais rien n’y fait. Elle est trop faible. Toutefois, elle réussi à mettre un coup de talon dans le pied du black, ce qui pour réponse une bonne fessée. Efia, voyant ça, lui enleva sa jupe pour permettre à son copain de claquer un peu plus fort les petites fesses de Marie.

-Oh!! Non!! Mon petit cul est tout rouge!! Aiiieee! Mais ça va pas??

En répondant elle se prit deux gifles de la part d’Efia pour lui remettre les idées en place.

Efia et son copain s’amusent alors à lui claquer le cul, puis les choses sérieuses commencent. Elle voit la cravache de Marie qui est sur la banquette arrière, puis la prend avant d’asséner quelques coups sur le cul blanc de Marie. Efia, ne s’arrête pas là, prend du recul et vise la minette de Marie, ce qui a pour effet de la faire gueuler encore plus fort.

En voyant la bosse dans le pantalon de son chéri Efia, lui dit de sortir sa bite pendant qu’elle s’occupe de la petite chatte de Marie.

-Sort ton monstre mon choux et montre lui qui est le patron!

-Pas de problème! En la sortant, Marie s’aperçoit qu’il s’agit d’un véritable engin. 26 cm de chair noire bien dressée! En accompagnant le geste, il fit ouvrir la bouche à Marie pour se faire sucer.

-Oh mais je ne vais pas pouvoir tout prendre dans ma petite bouche!

-Mais si salope, ouvre bien grand! Répond le black en s’enfonçant.

-Mmmpfffff! Marie prend tout d’un coup, puis s’habitue et joue de sa langue le long de la hampe du gland.

Pendant ce temps-là, Efia retire le string de Marie et s’attarde à son petit minou. Celui-ci semble particulière excité par la situation. Marie coule littéralement au contraire de ses dires… Efia engage directement trois doigt dans ce vagin bien lubrifié.

Marie, campée sur ces talons haut, courbée vers l’avant pour sucer le black se fait doigter en même temps. Elle commence à gémir sous le traitement d’Efia, qui s’amuse à s’enfoncer de plus en plus loin. Elle glisse une main et n’arrête pas les vas et vient de sorte à faire hurler Marie. Elle n’oublie pas son petit clito qui émerge sous l’effet. Efia, le prend, le tourne, le pince, le fait rouler tel une petite bille. Elle récupère le constat qui était tombé, le met en boule et l’enfonce dans la chatte de Marie.

-Ahhhh!!!! Mais qu’est ce que c’est???

-C’est ton constat pétasse! Maintenant tu la dans la minette!

Le papier est méconnaissable, si bien que Efia le retire ou du moins ce qu’il en reste. Elle le remplace par la cravache et contraint Marie à le garder en elle. Puis Efia branle le minou au moyen de la poignée.

Marie n’en peut plus, elle veut qu’on la prenne sur le champ! Le black abandonne son poste, pousse Efia, plaque Marie le long de sa voiture et s’enfonce sans protection dans sa chatte. Les 26 cm ont bien du mal à passer. La queue du black s’avance dans ce minou étroit.

-Alors ma belle, dit Efia, on ressent ce que c’est qu’un vrai mâle?! Tu a l’air Esenyurt Escort Bayan d’aimer ça? Attend je te libère ça sera plus pratique.

Marie prend alors position en levrette sur l’aile avant gauche de sa voiture, sa jambe droite prenant appui sur celle-ci pour mieux ressentir les vas-et-viens du black. Efia, lui déboutonne son chemisier, et lui sort ses gros seins. Ces tétons sont tout tendus. Ils sont si long et tout rouge de cette excitation. Faut dire, que c’est la deuxième queue qu’elle voit! Efia joue alors avec ces bouts et arrive à glisser une main sur son clito.

-Ohh oui! Vas-y prend moi salaud de black! Que c’est bon de se faire fourrer comme ça!

-T’aime ça ma grande? Regarde t’est habillée comme une pute, normal que je te défouraille comme telle! Et regarde tes nichons, ils dansent bien sous mes coups de rein! En disant ça, le black lui assène quelques gifles piles sur les tétons.

-Ohh mais met la moi plus profond! J’ai envie d’être une salope à black! Je me suis faite avoinée comme une garce par deux salopes étrangères et là je me fait démonter par une énorme queue!

-Et en plus tu es une petite raciste? Tient prend ça! Le black lui claque le cul en même temps qu’il la besogne. La cyprine coule à flot, si bien qu’elle retombe sur le haut des bas de Marie.

Efia, de son coté, s’est placée sur le capot de telle manière à se faire manger son minou noir par Marie.

-Tient la garce, tu a du travail pour ta bouche de gueuleuse! Lèche bien toute ma mouille et fait moi jouir, j’en ai bien besoin avec tout ça!

-Oui maitresse!

Sous les coups du black, les talons de Marie claquent sur le sol, sa chatte englobe tous les 26 cm de chair! Le copain d’Efia en a marre de la position, se retire et met Marie en missionnaire sur le capot, les jambes sur ses épaules. Efia de son coté s’assoit directement sur la bouche de Marie. Celle-ci n’arrête pas de jouir sous les assaut de cette queue vigoureuse. Efia, joui a son tour, manquant d’asphyxier Marie par sa cyprine. Elle se tourne et joue avec les gros seins de Marie. Elle lui pince les tétons, lui mordille, ce qui a pour effet de la faire jouir de plus belle!

Toutefois, dans cette position, Marie vient de s’apercevoir que le black n’a pas mis de protection!

-Ohhh non! T’a pas mis de capote??!! Je ne prend pas la pilule! Ne fais pas en moi je t’en supplie!!!

-Chuttt ne t’en fais pas ma belle, cela fait partie du jeu! Mon copain adore engrosser des salopes blanches comme toi! Imagine toi avec des seins énormes, ça sera merveilleux! Rigole Efia devant l’inquiétude de Marie.

-Oh s’il vous plait! Implore Marie.

En disant ça, le black est encore plus excité que jamais! Il laboure Marie, qui malgré cette nouvelle joui! Son clito est sorti et est devenu tout rouge. De la mouille coule sur l’aile et le capot!

-RAHHHHH!!! S’exclame le black en jouissant une quantité gigantesque de foutre dans la petite chatte de Marie.

-Ohh ouiii!!! Se prend à dire Marie. Que c’est bon ce sperme chaud! Mais mais, il y en a combien???!!! Ça ne s’arrête pas????!

-Oh beaucoup ma belle, tu n’est pas habituée à ça, pas vrai?

-Oui, ça coule de ma minette, j’en ai plein les bas…

Efia et le black se remettent un peu et laisse Marie reprendre ses esprits.

Celle-ci reboutonne son chemisier; remet son string et sa jupe. Le couple Esenyurt Escort lui dit:

– Vivement la prochaine fois que l’on se croise ma belle, et il faudrait que ton copain soit là pour rencontrer le mien!

-Oui maitresse, fait Marie.

Marie voit le couple partir, et regarde l’heure: 14h et 5 SMS de Steve. Elle se met au volant et part chez lui. Durant le trajet, son minou n’arrête pas de refouler la quantité de foutre, en badigeonnant les bas et traversant son string en dentelle. Elle arrive enfin chez Steve qui l’accueille.

-Mais qu’est-ce qui se passe?

-Ah ton avis mon chat? J’ai revu Efia et son charmant copain, qui est aussi noir qu’elle.

-Ils t’ont fait quelque chose?? Demande inquiet Steve.

-Que du bien! Ils ont corrigé ma vilaine petite chatte et il lui a fait le plein, tu veux voir? Marie enlève son haut et sa jupe.

-Mais c’est quoi ça? C’est tout gluant??

-Ça s’appelle du sperme mon grand, et oui il y a beaucoup…

-Il aurait pu mettre une capote, et tu ne prend pas la pilule en plus…

-Oh oui, mais c’est meilleur sans ce bout de plastique. Et j’adore sentir couler ce liquide chaud entre mes cuisses… Oh mais tu es tout dur je vois!! Viens on va s’amuser un peu.

Ni tenant plus Steve suit Marie jusqu’à la chambre. Elle exagère sa démarche, en ondulant du bassin, si bien que des gouttes tombent pas terre…

-Oh, mon chéri, il faut nettoyer ça…

-Tu ne pense pas à que je puisse…

-Si, avec la langue..

Steve s’exécute, et lèche.

-Tu aimes ça?

-C’est salé…

-Aller vient et déshabille toi!

Nu, Steve bande à mort. Il n’a jamais vu sa queue comme ça.

-Ouuuh et bien mon chat, me faire sauter par une grosse bite de noir te fait de l’effet! Surtout qu’elle m’a bien remplie… En disant ça, Marie porte les restes de jus à sa bouche.

-Oh oui, j’ai envie de toi!

-D’accord, mais avant lèche moi!

-Oh non, y en partout…

-Dépêche toi, car je risque de tomber enceinte…

Devant ce risque Steve s’exécute, lèche bien tout et excite le clito endolori pour le plaisir de Marie.

-Vas-y mon grand prend moi! En disant cela, Marie pense bien qu’elle ne va rien sentir après le passage du black…

Steve présente son sexe devant l’entrée encore suintant de sperme. Il prend Marie en levrette, fait quelques vas et viens, puis lui fait remarquer:

-C’est bizarre je ne te sens pas comme avant ma chérie…

-Oui, c’est vrai mon chat… Peut être parce que je me suis fait mettre par une chose de 26 cm de long?

-Quoi? 26? Mais la mienne ne fait que..

-Que 14 mon grand, je sais bien… Alors termine vite ton petit besoin, car je commence à m’ennuyer dans cette position.

Steve s’évertue à prendre Marie, mais rien ni fait, il nage complétement dans son vagin distendu et ne fait refouler le sperme du black vers le fond…

-Aller retire toi mon chéri, je vais te finir, c’est pas grave…

-Mais…tente de répliquer Steve.

-Mais quoi? tu ne veux pas que je te vide?

-Si si!!

-Alors laisse moi faire.. Ça te dirait de savoir comment l’autre me la mise profond et comment Efia à fait de moi sa chienne?

-Oh oui!!

En à peine deux minutes, Marie fait jouir Steve.

-Oh c’est tout mon chat? Que trois gouttes? Je penserai qu’il y en aurait plus dans tes petites couilles?

-Ben c’est normal là non?

-Oui oui, pour la taille c’est normal…

Pendant ce temps, Efia raconte comme Marie s’est fait mettre par son copain à Farida. Ces deux garces ont quelques idées derrière la tête pour le couple.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 11

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Chapitre 11 – Baby come back!

Acte 1 – Exposition à domicile.

J’ai passé la majorité de mes vacances avec mes amies. Même si nous nous croisons dans la semaine et que les textos vont bon train, les samedis en leur compagnie m’avaient terriblement manqué. Aujourd’hui c’est la reprise des hostilités, une nouvelle journée chez mon amant maudit à l’horizon, ça fait série z dit comme ça, un vrai titre d’un film d’horreur à petit budget. Ça fait une dizaine de jours que je n’ai pas eu de ses nouvelles et je m’en porte plutôt bien!

Seul son petit texto au 1er de l’an, que j’ai d’ailleurs vite zappé, me l’a rappelé à mon bon souvenir. Minuit venait tout juste de sonner et Lydia venait de sortir pour fêter ça deux bouteilles de whisky, un petit Glendronach de 15 ans d’âge qui se laissait boire tout seul et qui vous fait monter en température en un rien de temps! Ce n’est pas trop mon truc les alcools fort en général, mais celui-là nous a accompagné pratiquement jusqu’aux aurores! Certaines de mes amies ont repris leurs investigations et ont tenté de profiter de mes faiblesses de fin de fiesta pour découvrir mon amoureux du samedi, mais j’ai tenu bon et n’ai laissé filtrer aucun indice … enfin, j’espère. Peu importe, elles étaient déjà bien parties dans la soirée et ne s’en seraient pas souvenues le lendemain!

Je traînasse, pas envie d’y aller, pas motivée pour le retrouver, je me mets à imaginer les dix excuses les plus improbables pour ne pas m’y rendre. Un tremblement de terre local, ma voiture incendiée dans une nuit de la Saint-Sylvestre mouvementée, une gastro tardive, une grand-tante arrivée à l’improviste, le chat de la voisine à garder … Mes élucubrations vont me mettre en retard!

—–

14h02, ça va j’ai réussi à limiter la casse, il est d’humeur maussade, semble-t-il, je trouve que l’accueil est plutôt glacial.

– Alors qu’elles sont tes résolutions pour cette nouvelle année?

– Je n’ai rien prévu encore de spécial, et vous un petit régime? le taquiné-je sur son très léger début d’embonpoint en finissant de me déshabiller.

– Tu as oublié d’amener ton carnet de notes, je n’ai pas pu voir les commentaires laissés par le vendeur, tu as oublié de répondre à mes vœux, tu es arrivé en retard sans véritable excuse et tu n’avais pas l’air réjoui de me revoir. Cela fait beaucoup de petits détails, de petites incartades, il y a du laisser-aller en ce début d’année, tu ne trouves pas? Il est nécessaire, je pense, de te redonner un peu le goût de l’effort.

C’est la douche froide en arrivant, moi qui étais resté sur l’ambiance du shopping, il a l’art de vous remettre dans le bain en un rien de temps ce goujat. Je ne trouve pas grand-chose à redire, dans le désordre je m’excuse, le remercie, bafouille les commentaires et m’excuse à nouveau. Bon ça part mal ces retrouvailles, j’espérai un sourire à mon attitude brouillonne et empruntée, mais il me laisse simplement quelques instants mijoter sur mes inquiétudes.

Au lieu de la badine supposée, c’est un rhizome de gingembre qu’il ramène avec un couteau de cuisine. Il en taille un morceau aussi gros que son pouce et après l’avoir épluché entreprend de le tailler. Quelques coupes bien placées suffisent, le morceau prend forme pour ressembler grossièrement, au final, à un petit plug.

– Tu mets tes mains sur les seins, tu écartes les jambes et tu ne bouges plus, m’ordonne-t-il, puis il m’introduit sans ménagement le gingembre dans les fesses.

—–

Paul s’en veut un peu, ses excuses pour la punir sont vraiment capillotractées, il ne s’attache pas en général à ce genre de détail, ce n’est pas là-dessus qu’il veut baser leur relation. Il avait même dû faire des efforts pour afficher une mine renfrognée en l’accueillant alors qu’elle avait mis une des tenues achetées lors de leur shopping qui la rendait resplendissante.

Mais depuis qu’il a évoqué de douces punitions avec Mike pendant les fêtes, Lucie n’était d’ailleurs même pas l’objet de leur conversation, et que le gingembre avait retenu son attention, il n’avait pas trouvé d’autre moyen pour l’y faire goûter!

—–

Passé la surprise de l’intrusion, une petite fraîcheur parcourt ma rondelle, elle laisse très rapidement place à une douce chaleur qui m’envahit le postérieur. La sensation est originale et assez agréable, mais après quelques minutes de bien-être anal elle se transforme progressivement en douleur. La brûlure s’amplifie sans faille jusqu’à atteindre un point difficilement supportable. Je trépigne depuis un moment, la respiration haletante, suant à grosses gouttes, couinant désespérément. Mes mains ont du mal à tenir en place, elles se baladent à plusieurs reprises pour attraper les globes de mon arrière-train et tenter de limiter le supplice. Le regard de Paul ne m’incite pas à enlever cet intrus qui me ravage l’entrée des intestins. Mais putain ce que j’en ai envie, il est la, à deux doigts, je l’effleure presque parfois lors de mes escapades Escort Esenyurt manuelles. « Il suffirait de presque rien … que je te prenne par la main, pour t’emmener … » voir ailleurs si j’y suis, oui ce n’est pas la suite chantée par Réggiani, mais ça reflète mieux ma pensée actuelle!

—–

Elle a failli craquer une bonne dizaine de fois, mais il n’arrive toujours pas à déterminer ce qui la motive le plus à résister, une punition plus cuisante? Sa fierté? Le défi de ne pas s’avouer vaincue ou les débuts d’une obéissance inconsciente?

Mike avait proposé de l’attacher lors de leurs échanges mais il se tient à ses principes, il la veut libre de tout mouvement. Ce n’est pas son truc cette forme de contrainte, trop facile, le jeu perd de l’intérêt quand la partenaire est forcée d’obéir. Alors que juste avec la parole et des consignes c’est elle qui doit lutter avec ses choix, avec ses conflits et ses contradictions. Cette torture cérébrale est un spectacle bien plus excitant.

—–

Après une dizaine de minutes à me tortiller dans tous les sens, l’effet s’estompe enfin et mes fesses retrouvent la chaleur du début de mon histoire d’amour avec ce morceau de gingembre. Moi qui en utilise souvent dans mes préparations, je ne pensai pas qu’un jour il me mettrait le feu aux fesses! Pendant mes déboires anaux, Paul en a concassé un autre morceau pour en extraire un peu le jus.

– Alors, aurais-tu quelque chose à me dire?

– Que voulez-vous que je rajoute, je me suis déjà excusée, lui répondis-je sèchement, encore toute retournée par mon popotin enflammé.

– Et bien si tu le prends comme ça, nous allons voir maintenant si les effets du gingembre sur un clito sont un aide-mémoire efficace pour jeune fille négligente.

Il vient me retirer mon plug végétal puis se colle à mon dos et me prend la taille de sa main gauche. Sa droite vient délicatement décalotter mon clito. C’est qu’il va le faire en plus ce con!

– Que voulez-vous que je vous chante? trépigné-je en m’évertuant sans relâche de me soustraire à son emprise.

Mais je ne suis pas de taille à lutter et malgré mes tentatives acharnées, sa main continue à jouer avec mon bouton à plaisir. Lorsqu’il le sent tout gonflé, prêt à accueillir le fruit de sa préparation, il trempe ses doigts dans le jus et reprend ses douces caresses. Il y revient plusieurs fois pour le gorger du précieux liquide.

—–

Certes le jeu est vicieux, il n’attend pas de réponse particulière à sa question, elle s’est d’ailleurs déjà correctement excusée à ses futiles reproches. Mais il lui faut justifier la suite de la séance et pour cela laisser planer le doute sur un éventuel oubli de sa part. Il l’a laissé réfléchir un moment, cherchant désespérément une solution, en tripotant son clito avant de passer à l’action. Il espère que l’effet aphrodisiaque du gingembre absorber de cette façon soit puisement décuplé.

—–

Je lui ai fait pleinement profiter de mes désagréments et couine de plus belle lorsque le cycle infernal redémarre. Je reprends ma danse endiablée, mes mains s’agitent dans tous les sens à l’apogée de la douleur cherchant en vain un moyen de l’arrêter. Mais j’ai beau frotter mon sexe dans tous les sens rien n’y fait, je réclame un bain de siège, un bac de glaçons, une intervention salvatrice, un appel d’urgence au 18 … et finis à genou en serrant les cuisses comme une damnée.

Après cette suée, alors que la phase de la douce chaleur s’éternise, une surprenante sensation est en train de faire son apparition. Mon clito, toujours gonflé, est parcouru par un sourd et intense bouillonnement qui se propage dans tout mon sexe. Cet embrasement inattendu le met dans tous ses états et mon clito réclame son dû. Il revendique son droit à l’expression et aux plaisirs après avoir supporté l’agression du rhizome, et s’engage même à en écrire une charte.

J’ai beaucoup de mal à résister à cette envie incontrôlée et incompréhensible. Je finis, presque malgré moi, par souscrire à ses protestations syndicales et entreprends de le satisfaire pour éviter la manif. Mais devant mon attitude, Paul ne l’entend ainsi, il va chercher une serviette de bain, en recouvre l’accoudoir de l’un des fauteuils de son canapé et me propose d’utiliser ce petit coin douillet pour me finir.

Je l’insulte en enjambant l’accoudoir et maudis son inventivité perverse pour me mettre à chaque fois dans des situations humiliantes. À petits coups de bassin pour me frotter sur la serviette la jouissance est longue à venir et j’ai une envie folle d’y mettre les mains. Mais il reste implacable à mes nombreuses requêtes et ne me l’autorise pas. Mon excitation ne faiblit pas et mon bas ventre reste entièrement submergé par cette intense chaleur. J’atteins enfin mon orgasme la vulve honteusement écrasée contre la serviette après une interminable chevauchée. Maintenant que je maîtrise la position, je reste encore dessus quelques minutes à récupérer de cette heure de sensations fortes.

Esenyurt Escort Bayan Je ne te connaissais pas cet amour inconditionnel pour le cuir, se moque-t-il, félicitation pour ta tenue aujourd’hui, elle était parfaite!

Le compliment est un peu tardif je trouve, surtout qu’il tombe à l’improviste! À peine ai-je repris pied qu’il m’y fixe une barre d’écartement d’un petit mètre. Comment ça il veut m’attacher, il vient tout juste de dire qu’il n’aime pas ça et il fait tout le contraire. Oui je suis curieuse, je viens pour une fois de lire sa réflexion! La balle bâillon vient retrouver ma bouche pour couper court à mes contestations. Il me fixe deux autres sangles à mes poignets, me mets à 4 pattes, relis mes poignets à la barre et glisse un petit coussin sous ma tête. Il pense à mon confort alors que la position elle ne l’est pas!

Il me met ensuite un bandeau sur les yeux et me laisse à mon désappointement! Je me complais à me dire que je joue les œuvres d’art dans son salon pour faire passer la pilule! Si ma posture n’était pas aussi désagréable, j’en aurais presque pu en profiter pour faire une petite sieste pour récupérer de ce début d’après-midi chargé!

—–

Pour cette seconde partie, un petit équipement est nécessaire. Il a vraiment pris le temps de bien lui expliquer la démarche et de la rassurer. Elle ne sera qu’exposée, pas utilisée. Être ainsi attachée les yeux bandés n’a rien d’anodin et il faut avoir une totale confiance en son partenaire pour se laisser aller et « profiter » de la position en toute détente. Il la veut tourmentée par l’exhibition sans être angoissée.

—–

Une dizaine de minutes plus tard un coup de sonnette me fait sursauter, il n’a quand même pas osé inviter des gens chez lui alors que je suis affichée en grand, le sexe offert aux regards lubriques! Leurs papotages se rapprochent, j’espérais Mike, mais ne reconnais pas sa voix. Mon palpitant s’emballe un peu, intimidée, j’enrage aussi d’être exposée ainsi à un inconnu. Une main vient de prendre contact avec mon postérieur. J’essaye bêtement de fermer les cuisses, tortille des fesses afin de me soustraire comme je peux à son exploration. Pas touche à l’objet de vos convoitises!

Je reconnais la rugosité des doigts de Paul, ça me rassure, il écarte mes globes pour dévoiler la rosette à son visiteur, caresse mon sexe comme s’il voulait y découvrir une trace d’excitation, commente mes charmes. J’ai l’impression d’assister à une foire aux bestiaux, sauf que là c’est moi qui suis dans le box d’exposition et joue le rôle de la vache que l’on détaille pour la vendre! Je grogne, râle, couine par fesses interposées en les agitant dans les limites de la liberté offerte par la barre qui m’écarte les chevilles. Je fulmine, ce salaud est en train de me donner en spectacle!

Le visiteur ne reste pas plus de dix minutes, enfin à ce que suppose, il m’est difficile d’évaluer correctement avec le bandeau. Le temps d’apprécier la qualité de la marchandise, me dise-je. Il ne faut que quelques minutes pour qu’un nouveau coup de sonnette retentisse, nouveau bruit de porte, nouvelle voix … il va finir par se transformer en hall de gare ce salon à force d’autant de passage!

Après environ deux heures et 7 ou 8 visiteurs, je ne sais plus trop, j’ai perdu le fil à un moment donné, le ton enjoué de Mike retentit dans tout le salon. À son habitude, il part dans une tirade sans fin sur les merveilles proposées par mon corps. Il ôte mon bandeau et mon bâillon, hésite un court instant à le remettre en entendant la teneur de mes propos à l’égard de Paul, me souhaite une bonne année en me dorlotant le sexe d’une main pressée de le retrouver après une si longue absence, se reproche d’avoir oublié la phase de décompression et provoquer mon retour direct à la lumière qui ne semble pas trop me réussir et laisse son ami se dépatouiller avec ma véhémence.

– Peut-être que lorsque tu iras faire des courses dans le village qu’un regard plus insistant que les autres te révélera l’un de tes voyeurs! clôt-il mes reproches avant de me détacher!

Deux pipes et un léger repas plus tard, pris pour une fois aux horaires d’une maison de retraite, Paul m’interpelle alors que je prends mon thé en regardant l’herbe pousser.

– Tu m’as bien dit que tu avais été serveuse lors de ta confession sur chaussure de notre première rencontre?

Pourquoi cette question rhétorique alors qu’il a une bonne mémoire?

– Oui j’ai eu une petite expérience pendant un mois d’été. Mes parents ont voulu que je me frotte aux joies du monde du travail à 19 ans et ils se sont arrangés pour me faire embaucher dans un bar sur la côte tenu par des amis. Deux de mes copines avaient réussi à trouver un job dans la même ville, alors ce mois de juillet a, somme toute, été très sympa. Mais pourquoi?

– On est samedi soir et Antoine, le patron d’un des bars du village … que tu connais déjà … a souvent besoin d’un coup de main, il fait salle comble. Il ne sera Esenyurt Escort pas contre une experte à ses côtés pour satisfaire tous ses clients.

– Experte est sans doute un bien grand mot. Je n’aurai vraiment qu’à servir?

– Oui, sauf si tu te fais draguer ou si tu veux faire de petits extras. Ils seront ravis d’avoir une jeune fille sexy à leur service pour une fois!

Ça, ce n’est pas la meilleure nouvelle de la journée, ça sent le traquenard à plein nez son plan bar. Surtout avec son excuse bidon, je vois mal cet infâme boui-boui déborder d’aficionados même en plein week-end. Ah, et en plus de ça on va sortir. Je me fends de la question embarrassante, lavement or not lavement?

Paul élude mon interrogation et me propose pour toute réponse un petit objet en aluminium, d’une forme un peu particulière, similaire à celle d’un plug avec une base ronde d’un rouge vif comme une pastille de???

– C’est un rosebud, sais-tu à quoi cela sert et où cela s’installe?

Je ne connaissais pas l’objet, mais j’ai bien une vague idée en le voyant! Le seul rosebud qui me vient à l’esprit avait un rôle dans Citizen Kane et servait plus à poser son derrière que de suppositoire.

– Vu sa taille, je suppose qu’il est plus adapté au postérieur en manque d’amitié.

– Belle déduction, en effet, il va t’accompagner ce soir.

– Et je devrais porter ce … ce machin dans le … toute la soirée?

– Oui si tu en as envie bien entendu. Devant la voie obstruée par ce rempart aucune queue ne risque de venir visiter le lieu, elles feront demi-tour sans aucun doute pour aller contenter ta chatte.

Une pourrait peut-être passer … quoi que, j’en frissonne d’y penser (!) … mais je n’ai pas envie que mes fesses servent une nouvelle fois de chambre d’hôte toute la soirée à une bande de dégénérés du braquemart. Comme je n’ai aucune confiance dans l’affirmation de Paul sur mon unique rôle de serveuse, je vais opter par défaut, et dépit, pour cette solution. Le contact froid du métal contre ma rondelle me fait serrer les fesses et ne facilite pas son introduction, je dois faire appel à une noisette de lubrifiant pour y arriver.

Acte 2 – Les débuts d’une saga?

« I will be back », je n’ai pas souvenir de l’avoir sortie celle-là lorsque je suis parti de ce bistrot la dernière fois, elle ne devait pas être de circonstance, sauf peut-être pour envisager un massacre futur! Trois mois après ma première prise de contact avec les autochtones de son village et mon expérience sulfureuse dans ce rade de campagne où j’ai définitivement affirmé mon aversion pour le foutre, il n’a pas changé! Toujours ce look triste, désuet, avec son ensemble de mobilier en formica des années 50, son carrelage beige chiné qu’agrémentent des carrés marron foncé et sa décoration inspirée par la revue du Chasseur français. Ah si une nouvelle carte postale sur le mur, un bonjour de la Baule, je suis médisante!

Nous arrivons par l’entrée des artistes, l’arrière-cour est un foutoir indescriptible où s’entassent suffisamment de bibelots, meubles et électroménagers en tout genre pour ouvrir un vide-grenier digne du nom. Nous retrouvons le patron dans sa cuisine, attenante à la salle du bar. Paul lui montre le tablier de soubrette, acheté lors de nos courses de Noël, qu’il veut me voir porter lors de mon service. Il est sympa, au style rétro, entièrement rouge avec une seconde épaisseur rouge à pois blancs pour la partie basse. Comme je m’apprête à le mettre par-dessus ma robe, il intervient.

– Imagine-toi en été, habillée un peu sexy pour servir une bande de touristes qui suivront plus tes charmes que les prix de la carte! La robe serait de trop, non?

Je l’enlève en ronchonnant et me pare du tablier. J’exécute les deux ou trois tours demandés sur moi-même pour leur permettre d’admirer son effet. Il me va parfaitement, mais il reste a priori quelque chose qui cloche.

– Vraiment disgracieux les bretelles de ce soutif sur ce dos nu, remarque Antoine.

– En effet, c’est du plus mauvais goût, enlève-moi ça.

Je vais finir à poil dessous s’ils continuent leur petit jeu à la con. En renouant le large lacet du plastron à l’arrière de mon cou, je me dis qu’il va falloir que je reste attentive aux mains baladeuses, un simple geste et je me retrouve avec les nibards à l’air! Ils y sont d’ailleurs déjà un peu, ils tendent exagérément le plastron qui ne les couvre pas sur les côtés. De profil on les distingue sans problème et ils affichent fièrement leurs courbes aux yeux des voyeurs. Je me sens de suite beaucoup moins à l’aise. Je vais avoir l’air d’une cruche à porter mon plateau assez haut pour que mes bras limitent leur exhibition.

Le tablier m’arrive au genou, une ceinture rouge à pois blancs le maintient autour de ma taille. L’arrière cependant couvre tout juste mes fesses, je suis certaine qu’en marchant les deux pans s’écarteront légèrement et laisseront deviner mon shorty blanc en dentelle, mon porte-jarretelles et le haut de mes bas.

– C’est très sympa d’ta part de v’nir filer un coup pogne au bistrot, me remarque le patron admiratif de ma tenue. Je crois qu’il serait déjà en train de me sauter dessus si le brouhaha incessant de la salle ne le réclamait pas.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Le Voisin 04

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ass

Trois jours plus tard, le voisin me téléphona. Il me dit qu’il préparait une autre séance pour ma femme et qu’il voulait la faire coïncider avec un de mes déplacements professionnels. Comme il sentit que j’étais plutôt réticent à être absent, il me dit :

– Ne t’inquiètes pas, même à distance je te garantie que tu ne manqueras rien de ce qui se passera.

– Dans ce cas là d’accord, mais comment comptez vous faire?

– Tu verras en temps voulu! Quand es-tu en déplacement la prochaine fois?

– La semaine prochaine, 3 jours.

– Parfait!

Quand la semaine prochaine je parti, j’avais tout de même un peu d’appréhension. Je venais juste d’arriver à mon hôtel, vers 19h, quand je reçu un appel sur mon téléphone portable. C’était le voisin :

– tu as accès à Internet?

– Oui, bien sur

– Alors connectes toi sur le site suivant

Il me dicta une adresse sur laquelle je me connectais. Tout de suite une fenêtre s’ouvrit et plusieurs plans de ce que je reconnaissais comme le salon de notre voisin.

– tu vois j’ai mis des caméra partout, l’image est bonne?

– Oui parfaite

– Tu lanceras le son, tu devrais tout entendre, rendez vous à 20h!

Je dois avouer que j’attendais l’heure fatidique avec impatience et excitation!

J’étais connecté vingt minutes avant 8 heures et je regardais le salon du voisin. Il était assit dans un fauteuil, en train de regarder un film porno sur sa télé. Il masturbait lentement son gros sexe, apparemment en prenant garde de ne pas jouir. A 8 heure moins 2, j’entendis un coup de sonnette. Le voisin remonta son survêtement, éteignit la télévision et se dirigea vers la porte. Il l’ouvrit et je pu découvrir mon épouse, portant un tailleur très chic, jupe droite légèrement fendu sur la cuisse et de hauts escarpins. La veste du tailleur était fermée, mais elle ne semblait pas porter de chemisier dessous. Le voisin la fit rentrer.

– Je vois petite pute que tu as respecté mes consignes pour t’habiller

– Je ne vous permets pas de me traiter de pute

– Je te traite comme je veux, espèce de salope. Si tu veux récupérer les photos, tu vas faire tout ce que je dis, sinon tu sais ce qui t’attend.

– …

– Répond! Tu sais ce qui t’attend?

– Oui

– Alors?

– Oui je ferais tout ce que vous voulez

– Oui qui?

– Oui monsieur!

– Bon tu vas commencer par aller t’asseoir sur ce fauteuil

Il lui désigna un fauteuil juste en face de l’axe de la camera que je scrutais, mon sexe déjà à la main.

– Met une jambe sur un des accoudoirs et branle toi!

Alors mon épouse obtempère, relève sa jambe gauche et la passe sur l’accoudoir du fauteuil, ce qui a Escort Esenyurt pour effet de remonter complètement sa jupe et de découvrir ses bas auto fixant et son sexe dépourvu de sous vêtements.

– Bien je vois que, conformément à mes instructions tu n’as pas mis de culotte. Je suis sur que cela t’excite hein salope?

– Pas du tout!

– Mauvaise réponse! Tu vas dire que cela t’excite parce que tu es une grosse pute!

– Je ne peux pas dire ça!

– Encore une fois mauvaise réponse! A la troisième, tu rentres chez toi et tu subis les conséquences. Alors?

– Je…Ça m’excite de ne pas porter de sous vêtements.

– Pourquoi?

– Parce que je suis une grosse pute.

– Et bien voila! C’est pas si difficile de dire la vérité! Maintenant branle toi devant moi et fait ça bien, je veux te voir mouiller!

La main tremblante, ma femme descend vers son sexe, et commence à caresser ses lèvres intimes, devant cet homme hideux qu’elle méprise. Ses mouvements sont lents. Elle s’attarde un peu sur le clitoris et s’insère parfois le majeur dans le vagin. Le voisin a sorti de nouveau son sexe et se masturbe aussi. Au bout de quelques minutes, les deux doigts qu’elle s’enfonce maintenant ressortent de plus en plus luisant et mon épouse, la tête rejetée en arrière, semble ressentir les prémices du plaisir. Le voisin s’approche alors et en se mettant à genou devant elle se met à lui lécher le sexe avidement, tout en remplaçant les doigts de mon épouse par les siens. Surprise, ma femme pousse un petit cri, et puis un râle roque annonciateur d’une jouissance intense. Tout son corps se crispe et elle se laisse aller à crier de toutes ses forces.

– Très bien salope, tu vois que tu aimes ça. Maintenant lèche tes doigts

Ma femme se met alors à nettoyer ses doigts souillés de ses sécrétions intimes avec sa langue.

– Est-ce que tu as envie que je te baise petite pute?

– …

– Je n’ai rien entendu!

– Oui…

– Oui qui?

– Oui monsieur

– Alors ouvre ta veste de tailleur et mets toi à 4 pattes

Ma femme défit alors les deux boutons qui fermaient son tailleur et ses deux gros seins apparurent, nus sous la veste. Elle se mit alors à quatre pattes, la tête tournée en direction de la caméra invisible. Le voisin se dirigea vers la porte d’entrée située dans son dos, l’entrouvrit légèrement et revint se positionner derrière ma femme. Il présenta son gros gland près des lèvres intimes et d’un seul coup s’enfonça au plus profond de son intimité. Sous le coup de butoir, je pus voir mon épouse ouvrir grand la bouche et l’entendit pousser un cri sourd. Le spectacle était incroyable, ma douce épouse à quatre pattes, les Esenyurt Escort Bayan seins ballants s’agitant dans tous les sens, dans ses habits les plus classes, pénétrée en force par un homme repoussant. Et en plus son visage laissait paraître des signes révélateurs de plaisir!

En fond d’image, je vis une ombre se dessiner dans la porte qui s’entrebâillait et qui s’avança vers le couple. Je reconnu Roger, le cantonnier, qui avait déjà abusé de ma femme dans la cabane de chasseurs, mais à son insu alors qu’elle était droguée. Toute aux coups de butoirs qu’elle recevait, tournant le dos à la porte, elle ne le vit pas rentrer. Il avait déjà sortit son membre disproportionné qui justifiait bien son surnom d’Anaconda, et il faisait coulisser ses deux mains dessus. Ma femme poussait de petits cris de jouissance à chaque fois que la verge du voisin la pénétrait, un peu plus profond à chaque fois. Le voisin se retira alors d’un coup.

– Reste à quatre pattes et mets ta tête par terre. J’en ai pas fini avec toi. A moins que tu ne veuilles que j’arrête?

– …

– J’ai rien entendu, tu veux que j’arrête ou que je continue

– Continuez monsieur

– Pourquoi?

– Parce que j’aime ça et que je suis une petite pute

– Voila très bien, maintenant tu as compris.

Tout en parlant, il laissa sa place au cantonnier qui se positionna derrière mon épouse. Même si le voisin avait un très gros gland, le sexe du cantonnier était nettement plus gros. Quand il s’enfonça en elle d’un coup puissant, ma femme poussa un cri et retourna sa tête, pour découvrir que c’était un autre homme qui la pénétrait.

– Nooooon!

– Comme tu as été bien obéissante, j’ai décidé de t’offrir la plus belle bite de la région. Quand Roger t’aura ramoné bien profond tu pourras plus t’en passer

– Mais vous aviez promis

– J’avais promis que tu aurais les photos en sortant d’ici, ce sera le cas. En attendant, suce moi, je commence à débander!

Il présenta son sexe souillé des sécrétion de ma femme à ses lèvres, lui saisi la nuque et commença des va et vient jusqu’au fond de sa gorge. Pendant ce temps là, le cantonnier s’activait, essayant de rentrer un peu plus de son sexe à chaque coup de rein.

Quelques minutes après, le voisin avait retrouvé toute sa vigueur. Il se retira de la bouche accueillante. Il fit positionner le cantonnier sur le dos, son sexe se dressant telle une tour. Il ordonna à ma femme de s’empaler dessus. Les jambes repliées, portant toujours ses escarpins, elle présenta le gland à l’entrée de son sexe et descendit doucement. Elle s’arrêta à environ 2/3 du monstre de chair, arrivant certainement au fond de sa matrice. Elle commença Esenyurt Escort alors à s’élever et à redescendre par petit à coups, chacun lui arrachant un petit cri de plus en plus fort. Le cantonnier lui attrapa les seins de ses mains calleuses et les pétrit sans ménagement aucun, laissant des traces blanches avec ses doigts. Le voisin se positionna alors derrière elle, présenta son gros gland prêt de l’œillet et sans prévenir ni préparer, fit rentrer la moitié de son sexe dans le fondement de ma femme d’un seul coup. Elle poussa un cri de douleur et de surprise par cette double pénétration. Elle criait toujours quand il commença à la pilonner de manière violente en rythme avec les coups de rein du cantonnier.

– Voilà salope tu as ce que tu mérites, deux grosses bites qui te remplissent à fond. Elle est bonne hein Roger, cela te change des vaches!

– Oh oui elle est bonne la madame

– C’est pas une madame, c’est une salope!

Ma femme avait fini de crier de douleur et recommençait à haleter de manière de plus en plus bruyante. Puis ses halètements se firent cri et d’un coup une jouissance extraordinaire la submergea, pendant plusieurs minutes, la faisant crier sans discontinuer. Comme la dernière fois dans la cabane des chasseurs, un flot de liquide s’échappa de son vagin, inondant le ventre du cantonnier.

– Regarde comme elle jouit cette pute fontaine, elle t’en a mit partout!

– Oui, c’est une pute

– Vient on va l’arroser nous aussi

Ils positionnèrent alors mon épouse à genou, et chacun d’un côté se masturbèrent au dessus de sa tête. Ma femme, encore groggy par la jouissance qui l’avait terrassé, regardait d’un air hébété ces deux énormes sexes. Le cantonnier fut le premier à jouir, arrosant son joli visage d’une crème épaisse et abondante, et s’essuyant ensuite sur son front. Le voisin lui saisit alors les cheveux par derrière, l’obligeant à ouvrir la bouche et déversa son foutre au fond de la gorge de ma femme. Je la vis déglutir à 4 ou 5 reprises pour pouvoir avaler la semence odorante et pourtant de gros filets dégoulinèrent sur son menton. Il lui fit nettoyer les deux sexes longuement avant de la laisser s’affaler par terre. Je finissais pour ma part de jouir pour la quatrième fois!

Le voisin alla chercher des bières et en offrit au cantonnier. Ils forcèrent ma femme à boire du whisky pur, deux verres d’affilés, et elle se laissa faire. Puis ils lui demandèrent de les sucer à nouveau et la défoncèrent par tous les trous une bonne heure de plus. Elle jouit encore 3 fois. Ils lui firent boire encore deux verres et lui demandèrent de remettre sa veste, mais pas sa jupe. La veste trop courte s’arrêtait juste au dessous des fesses, dévoilant ses bas auto fixant et la chair des cuisses au dessus, ainsi que son sexe à chaque mouvement.

Le voisin fixa la camera, leva le pouce vers le haut et me fit un clin d’œil avant de sortir en compagnie de mon épouse et du cantonnier.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Le Club – Partie 26

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Kiss

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d’elles Escort Avcılar à chaque fois qu’il le désire.

Gwendoline Blouse, 18 ans, sans profession, et Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, deux jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Une sonnerie alerta le docteur Savannah Elliott qui se rua en direction de la chambre 27 pour répondre à cet appel qui indiquait qu’un de ses patients faisait un accident cardio-vasculaire. Elle arriva quelques secondes après deux infirmières qui s’activaient déjà sur la personne de plus de 80 ans qui occupait cette chambre depuis déjà plusieurs mois. Elle bondit dans la mêlée et donna ses consignes. Les infirmières, toutes les deux chevronnées, devançaient souvent ses ordres rendant son travail plus performant. Il fallait dire que dans ces moments d’intense stress, Savannah se montrait toujours d’une efficacité bluffant même pour ses collègues les plus aguerris.

Elle sortit de la chambre après que le cœur de son patient soit reparti mais elle ne se faisait pas d’illusions : elle n’avait fait que reculer l’inéluctable de quelques jours. Cependant, elle voulait profiter de cette petite victoire.

Elle rejoignit la salle de repos, histoire de faire redescendre un peu la pression avant de retourner dans l’arène et notamment s’occuper des jeunes internes dont elle était responsable.

La salle était vide, elle s’approcha de la machine café et tira une capuccino avant de s’assoir à une table. Elle dégustait le liquide chaud et finalement pas si désagréable compte tenu de son prix quand elle surprit une conversation.

– Tu es au courant de la dernière? fit une voix féminine qu’elle ne reconnut pas.

– Non, laquelle?

– L’hôpital aurait été racheté par un consortium.

Totalement terrassée par cette conversation, Savannah se retourna et vit les deux infirmières qui venaient d’entrer dans la salle de repos. Les deux femmes furent surprises par sa réaction.

– Qu’avez-vous dit? questionna-t-elle sans se soucier de leur réaction.

– Mon mari est un de nos conseillers juridique, expliqua l’une des infirmières. Il m’a affirmé que le directeur de l’hôpital allait annoncer notre rachat cet après-midi.

– Mon Dieu, s’affola l’autre infirmière. Cela veut dire que le nouveau propriétaire risque de réclamer des économies pour rentrer rapidement dans ses fonds et il qu’il va y avoir des charrettes. Tu sais qui est le nouveau propriétaire?

– D’après mon mari c’est un novice dans le domaine de la santé, un type qui jusqu’à présent travaillait surtout dans le domaine de l’hôtellerie, un certain Guillaume Uron.

CHAPITRE 2

Emily et Thomas remontaient les rues étroites de Fortlud jusqu’à arriver à cet endroit que les locaux appelaient la forteresse. Emily sentait parfaitement la tension qui s’était emparé de son compagnon à l’approche des épaisses murailles de ce lieu chargé d’histoire et qui officiellement servait de musée. Ils passèrent sous une grande arche et la policière vit les deux immenses portes de métal qui se trouvaient de chaque côté. Elle réalisa qu’il suffisait de les refermer pour bloquer l’accès de la forteresse par le chemin qu’ils venaient d’emprunter. Elle se demanda alors s’il existait d’autres chemins conduisant à ce lieu où si, comme l’affirmait Thomas, il s’agissait d’un bastion dans lequel les parrains locaux pouvaient se barricader même en ces temps modernes.

Ils remontèrent une longue allée pavée et Emily fut surprise de ne croiser personne alors qu’ils auraient dû rencontrer les visiteurs ou dans le pire des cas les hommes de main de ce Yvon Parini qui était censé contrôler la forteresse. Et soudain, elle comprit que, comme l’avait prédit Thomas, ils étaient attendus et qu’on leur avait dégagé la route.

A un moment, Thomas lui indiqua qu’ils devaient quitter le chemin balisé pour emprunter une petite voie qui bifurquait sur la droite et signalait la direction des appartements des employés. Bien sûr, elle était interdite au public mais ils n’en eurent cure. Ils marchèrent encore quelques minutes avant d’arriver devant une petite porte en bois marquée «privé ». Thomas tapa deux Avcılar Escort Bayan fois puis une troisième fois quelques secondes après et on lui ouvrit. Un homme d’une grande taille leur fit signe d’entrer et ils se retrouvèrent dans un grand hall en face de cinq hommes, armés. Emily fut alors convaincue que son compagnon n’avait rien inventé et qu’ils se trouvaient effectivement dans le repaire de truands.

– « Le frère », fit l’un d’entre eux avec une voix dans laquelle Emily discerna un tout léger tremblement. Yvon t’attend mais avant tu dois me donner tes armes.

Il devait faire dans les deux mètres et s’approcha d’eux, visiblement dans l’intention de les fouiller mais Emily se rendit compte qu’aucun des autres hommes n’avait esquissé le moindre geste pour l’imiter.

– Hors de question que tu poses la main sur moi, indiqua Thomas en fixant l’homme.

– Alors tu n’iras pas plus loin, menaça l’homme en bombant le torse bien plus que de nécessaire. Et si tu ne sais pas compter nous sommes cinq contre…

– Je te reconnais, commença Thomas, Alonso Esperanza. Je me souviens parfaitement de toi.

– Je…., balbutia l’homme qui devint livide.

– Tu faisais partie des commandos de Ryan lors de ses grandes heures, reprit Thomas, tu étais de ces hommes qui violaient à la chaînes toutes ces pauvres victimes innocentes dans le but d’en faire des esclaves bien dociles pour l’organisation du Loup.

L’homme s’était arrêté net mais ce fut Thomas qui s’avança vers lui et aussi étrange que cela paraissait, il semblait avoir grandi tant Esperanza s’était recroquevillé sur lui-même.

– Dis-moi Alonso, as-tu fait partie des pourritures qui ont violé ma femme? Elle n’a jamais oublié leur visage. Alors crois-tu que si je le lui demande, elle se rappellera du tien? REPONDS-MOI!!!!

L’homme sursauta comme un enfant apeuré devant la colère de son père et Emily fut persuadé qu’il était sur le point de pleurer mais ce ne fut pas ça qui l’effraya le plus. Ce qui la terrorisa fut le regard dur que Thomas portait sur lui et elle sut que ce n’était pas un jeu pour réussir à passer tout en conservant son arme. « Il pense chaque parole qu’il prononce, songea-t-elle, si jamais Esperanza a la sottise de réagir, il va l’exécuter comme un chien ». Derrière elle, elle sentait les quatre autres truands qui observaient cette scène, tétanisés, mais elle savait que si un coup de feu partait ils retrouveraient vite leurs esprits et elle savait aussi que Thomas en avait conscience mais qu’il s’en fichait. Elle saisit alors pleinement le sens des paroles de Thierry et sut qu’elle n’avait Thomas en face de lui. « C’est ‘le frère’ qui menace cet homme en ce moment, analysa-t-elle, et c’est lui qui n’hésitera pas à provoquer un bain de sang pour satisfaire ses névroses ». Elle décida d’agir avant qu’il ne soit trop tard et elle s’approcha de Thomas le plus calmement qu’elle en était capable et posa sa main sur son avant-bras.

– Thomas, fit-elle, nous sommes venus pour parler avec Yvon Parini car il peut nous aider à sauver votre nièce, Thomas. Vous vous rappelez, Sophie, votre nièce, Thomas.

Elle avait répété son nom volontairement dans l’espoir que l’homme qui se trouvait prisonnier derrière la bête puisse sinon le contrôle au moins tempérer la folie qui l’habitait.

Il posa les yeux sur cette main posée sur son avant-bras et Emily sentit une vague glacée traverser son corps. Elle résista cependant à l’envie irrépressible de retirer sa main et quelques secondes plus tard, il leva ses yeux jusqu’aux siens.

– Vous avez raison, reconnut-il. Nous avons mieux à faire.

Ils passèrent alors le hall d’entrée sans que personne n’ose à nouveau leur réclamer leurs armes.

CHAPITRE 3

Kono gara la voiture du juge dans le grand parking de la résidence de Guillermo Diaz et descendit pour ouvrir la porte au vieux politicien. Ronaldo accueillit de Saint Servier et le conduisit immédiatement jusqu’à l’étage principal où Diaz l’attendait en bonne compagnie. De la jeune fille qui était en train d’administrer une fellation à l’homme d’affaire hispanique, le juge ne voyait que sa queue de cheval châtain foncée qui se balançait au rythme des allers-retours verticaux de sa tête, son dos striés de meurtrissures de coups de fouets et un fessier admirable reposant sur ses chevilles pliées.

– Mon cher juge, fit Diaz en le remarquant enfin. Prenez donc un siège. Attendez donc une minute, j’ai bientôt fini.

L’hispanique ferma les yeux et poussa un râle de satisfaction indiquant qu’il était en train de jouir. Dans le même temps, il posa ses grosses mains sur la tête de la jeune femme pour l’obliger à conserver la bouche bien plaquée sur son pénis et, dans un cri étouffé, cette dernière dut avaler son sperme. Quand enfin il relâcha son emprise sur elle, elle détourna la tête en toussant violemment et le juge put enfin voir son visage et la reconnaître.

– Marine Ospins, fit-il autant surpris que ravi de voir que l’assistante sociale Avcılar Escort maitre-chanteuse avait été asservie dans un délai aussi court.

– Elle a encore énormément à apprendre, estima Diaz, mais c’est une bonne élève surtout quand on l’éduque à coup de trique.

Diaz passa ses mains sur le dos de la jeune femme qui tressaillit de douleur indiquant que certaines de ses meurtrissures étaient toutes récentes.

– Vous voulez y gouter? proposa Diaz. Je connais vos goûts particuliers et je serais heureux de les combler surtout qu’elle n’a pas encore connu ce genre de plaisir mais je crains que vous ne soyez pas très concentré alors je vous suggère seulement d’utiliser sa bouche qu’elle a très habile.

Le juge hocha la tête et Diaz tira sur la queue de cheval de Marine qui poussa un nouveau cri de douleur. De Saint Servie savait que l’homme d’affaire ne montrait jamais aucun signe de douceur avec ses esclaves dans aucune circonstance, préférant se faire uniquement obéir par la violence. Le fait était que cette méthode fonctionnait aussi puisque Marine rampa vers le juge et, sans un mot, dégrafa son pantalon, sortit son pénis pour commencer une nouvelle fellation. Le juge s’adossa dans son siège pour profiter du travail expert de la jeune femme.

– Revenons à nos moutons, fit Diaz qui ne voulait pas que son invité perde le sens des priorités. Nous avons de nombreuses choses à parler. La première étant les élections municipales qui approchent à grand pas.

– Oui, le maire Andretti pense toujours que je le soutiens et les sondages le donne gagnant mais son avance s’effrite.

– Il est temps de sortir notre lapin de notre chapeau.

– Oui, notre candidat est prêt. Il est parfait, inconnu au bataillon, totalement corrompu et soumis à notre autorité et facilement remplaçable s’il devient trop gourmand. Vous allez nous en faire un héros.

– C’est en cours. Tout cela dépend et notre ami Laroquette et sa petite esclave Sonia Ordoz.

– De plus, Marietti ne peut déjà plus compter sur le soutien de plusieurs notables et notre grand projet va continuer à acculer les autres à la ruine. J’ai appris que l’AngDiaz avait raflé deux gros projets à ce pauvre Pierre Bastier.

– C’est grâce encore à notre désormais nouvel associé Laroquette et aux informations glanées par cette chères Morgane Bastier. Il est tellement plus facile de faire des devis plus intéressants que son concurrent quand quelqu’un vous fournit tous les documents de ce dernier. A ce rythme, j’ai bien peur que l’entreprise de Bastier ne passe pas l’Eté.

– C’est bien triste. Et un soutien financier en moins pour Andretti. Mais pourquoi m’avoir fait venir, nous aurions pu en parler durant la réunion du Club.

– En fait, j’ai un autre problème bien plus grave. Vous connaissez Adriano Silva.

– Le nabot auquel vous avez laissé la belle Caroline Georges en « sous-location ».

– Exactement. Il m’a appelé voici quelques jours pour me signaler qu’il avait eu une visite des plus désagréables : Costanza Molanta.

De Saint Servier se redressa et écarta Marine. La jeune femme tomba par terre, un filet de sperme coulant au coin de sa bouche.

– C’est sérieux?

– Vous saviez que le juge Molanta était une amie personnelle que Caroline et le risque existait qu’elle s’inquiète un jour de la transformation de cette femme de caractère en la poupée gonflable d’un obscur technicien surgi de nulle part. Le juge a tenté de forcer le passage pour parler à Caroline mais heureusement Adriano a réussi à la convaincre que Caroline était en voyage professionnel mais cela ne durera pas et si elle met son nez dans nos affaires, elle finira par flairer quelque chose. Sans compter que j’ai appris qu’elle comptait mener la liste de gauche à l’élection municipale.

– C’est plus que gênant, Costanza est une figure incontournable au même titre qu’Andretti et elle constituerait une candidate bien plus plausible que les baudruches habituelles de ce parti de fantoches. Que proposez-vous?

– A vous de me le dire, vous la fréquentez depuis plus longtemps que moi. C’est une de vos collègues et une adversaire politique.

– Costanza Molanta n’est pas n’importe qui et vous le savez. C’est une icône dans l’univers de Lilleland de par son rôle dans « la guerre des deux frères » et une femme extrêmement intelligente. C’est l’une des rares filles de notable qui ne soit pas totalement sclérosée par ses préjugés. Dans son métier, elle est irréprochable et si tous les membres de son parti étaient comme elle, le parti de centre-gauche serait au pouvoir depuis longtemps.

– Justement, elle est trop dangereuse pour nous, surtout qu’elle se présente aux élections municipales. Nous devons la circonvenir.

– Vous pensez l’avilir. Vous croyez que je n’y ai pas pensé? C’est l’une des rares personnes de cette région sur laquelle je n’ai jamais réussi à constituer de dossier, c’est vous dire. Elle est droite comme la justice et n’a pas peur d’affronter ses erreurs.

– Alors, il nous reste une solution : l’assassiner.

De Saint Servier dévisagea Diaz comme s’il se demandait s’il n’était pas devenu fou.

– Et j’ai déjà trouvé le tueur tout désigné, ajouta l’homme d’affaire : Bella Cathy.

CHAPITRE 4

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

La Reine de Glace Pt. 04

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Et ils vécurent malheureux…

1.

Quelques jours avant le mariage, une dispute majeure éclata entre les deux amoureux.

– Sylvie, Tu ne trouves pas que tu consommes trop?

– Euh… Je ne sais pas mon amour.

– J’ai dressé une liste de ce que tu as pris dans les deux dernières semaines.

– Je sais, c’est beaucoup. C’est que je suis stressée depuis que Léo l’Italien… ben… tu sais… J’en ai eu besoins.

– C’est trop Sylvie. Tu deviens une junkie.

– QUOI! Je dois me faire baiser par cette brute pour sauver ton cul et maintenant tu me fais des reproches…

Le ton se mis à monter. La querelle dégénéra au point ou Maxime claqua la porte en disant :

– Je te parie que tu ne peux même pas rester sobre jusqu’au mariage.

Sylvie était bien décidée à prouver que Maxime avait tort. Elle se dirigea vers la pharmacie pour dresser l’inventaire des différentes drogues présentes afin de prouver sa future sobriété. Maxime avait déjà tout retiré, il ne restait plus rien.

2.

Quand Sylvie se présenta au mariage, elle était sobre depuis un peu moins d’une semaine. Les premières journées s’étaient bien passées, mais elle commençait rapidement à éprouver des symptômes de sevrages. Elle était nerveuse et se sentait fiévreuse. Elle avait des nausées. Elle suait abondamment. Bref, elle se sentait très mal.

Maxime ne lui avait pratiquement pas adressé la parole depuis leur dispute. Il rentrait aux petites heures du matin et s’enfermait dans son bureau puis repartait sans un mot. Cette situation bouleversait Sylvie encore plus que le manque de drogue. Leurs rares querelles s’étaient toujours terminées par des réconciliations spectaculaires. Maxime passa brièvement à la maison la veille en fin de journée pour lui remettre sa robe de soirée et lui indiquer en un minimum de mots, l’heure de leur départ. Désespérément seule, Sylvie entrepris une nouvelle fois une fouille minutieuse de l’appartement. Elle cherchait une dose ou quelque chose qui pourrait calmer son angoisse. Elle ne trouva rien. Maxime rentra vers minuit et se coucha dans le lit. Heureuse, Sylvie se blottit contre lui, mais il la repoussa gentiment et s’endormie. Elle tenta de lui faire une fellation, mais il la repoussa encore, cette fois plus fermement. Le reste de la nuit se passa dans la fièvre et les larmes.

Au matin du mariage, ils quittèrent la maison tôt. En chemin, Sylvie babillait sans cesse tant pour tenter de renouer le contact avec son amoureux que pour cacher son manque de drogue. Il répondait par oui ou non, sans plus. Arrivés sur les lieux, Maxime la conduisit à la chapelle où on lui indiqua sa place et alla rejoindre Raphaël. Très nerveuse, elle observait les allez et venus des gens autour d’elle. C’est alors que son cœur sauta un battement. Léo Gianti, l’homme qui l’avait humiliée, venait de faire son entrer. Il avançait dans la chapelle comme un roi pour gagner sa place. La nervosité et l’angoisse de Sylvie explosèrent. Les symptômes de son sevrage aussi.

L’attente et la cérémonie furent interminables. Comme Maxime accompagnait le Parrain, Sylvie restait désespérément isolée. Sa seule compagne était sa mère dont la froideur et l’attitude de marbre empêchaient toute forme de communication. Pire encore, elle se sentait observée. Elle devinait le regard de Léo Gianti sur elle. Elle le surprit à quelques reprises qui l’observait en souriant tout en parlant à d’autres hommes. Elle l’imaginait racontant comment il l’avait baisée, comment il l’avait manipulée.

La noce ne fut pas plus facile. Maxime l’ignorait. Partout, elle voyait le visage de Léo qui lui souriait. Elle était totalement désorientée. Elle tentait de rester en retrait et d’éviter les contacts, mais c’était impossible. A plusieurs reprises, des hommes qu’elle ne connaissait pas venaient vers elle. Il la prenait par le bras, sans dire un mot et l’amenait sur la piste de danse. Là, il la pelotait sans gêne, lui disait des mots d’amour, lui passait des commentaires salaces sur son corps. Ils lui disaient ouvertement qu’ils voulaient la baiser, qu’ils voulaient se faire sucer, qu’ils voulaient l’enculer. Sylvie réussissait toujours à s’arracher à ces hommes, mais il y en avait toujours un pour la retrouver.

Un observateur aurait remarqué que Sylvie tranchait vraiment dans cette foule. Son corsage désajusté, sa robe froissée, son regard paniqué et les tremblements qui commençaient à secouer son corps lui donnait une allure de névrosé parmi ces gens si chics. Quand Marie et Raphaël quittèrent la réception pour leur chambre, Sylvie n’y tenait plus. Elle parti à la recherche de Maxime. Elle avait besoin de lui, de sa protection et surtout… d’une dose. Elle le supplierait. Elle commencerait une désintoxication dès le lendemain, mais elle devait avoir une dose, maintenant.

Elle chercha Maxime pendant un bon moment. Lorsqu’elle le vit, il était en discussion avec Léo, un peu en retrait, près de la piscine. Elle marcha jusqu’à lui d’un pas décidé. Elle le pris par le bras et le tira jusqu’à une petite cabane où on rangeait l’équipement d’entretien Escort Avcılar de la piscine. Une fois seule avec, elle s’agenouilla toute tremblante et l’implora.

– Je m’excuse pour tout Maxime. Tu as raison. Je suis une droguée. SVP, aide-moi. Demain, je commencerai un traitement. J’ai besoin d’aide Maxime. Je n’en peu plus. J’ai peur. Je ne veux pas te perdre.

Maxime la fixait sans dire un mot. Sylvie continua en pleurnichant.

– Je t’en prie mon amour. Aide moi. Je ferai ce que tu voudras. Donne moi une dose. Une seule petite et amène moi loin d’ici. Demain, on ira dans une clinique. Promis. Je te le jure…

Pour seule réponse, elle reçu une violente gifle au visage qui l’envoya rouler sur le sol. Elle se releva lentement, s’agenouilla de nouveau devant lui en pleurant de plus en plus fort. Elle fini par dire à travers ses larmes

– Frappe moi encore… si tu le veux Je… je… le mérite. Frappe moi plus fort si tu… le désir. Je… ne te… mérite pas. SVP aide moi… Juste pour tenir jusqu’à demain…

– Tu es pathétique.

– S…V…P…

– Avant longtemps, tu vas m’offrir une pipe en échange d’une dose. Tu es devenue une pute Sylvie.

– NON!

– Je t’ai vu te faire trousser sur la piste de danse. Pas moins de trois hommes différents ont mis leurs mains dans ta robe.

– Je n’avais pas le choix.

– Tu ne t’es pas défendu très fort d’après ce que j’ai vu.

– Maximmme!

– Je dois partir Sylvie. J’ai besoin de réfléchir.

Sans rien ajouter, il quitta la petite cabane. Sylvie s’écroula en pleure sur le sol, totalement désespérée et plus en manque que jamais. Lorsque finalement elle reprit ses esprits et se redressa, elle vit la silhouette de Léo qui la regardait en souriant.

– Hey Cagna! Tu n’as pas l’air bien. Ton mac t’a plaqué ou quoi?

Sylvie ne savait plus quoi faire, quoi dire. Elle resta un moment dans cette position, assise dans la poussière, son maquillage coulant sur ses joues, tremblante et fiévreuse. Finalement, des mots sortirent de sa bouche sans qu’elle les contrôle vraiment.

– J’ai besoin d’une dose Monsieur Léo.

L’Italien éclata d’un long rire sonore. Il sortie de la poche de son veston deux petits sacs de plastique. Le premier contenait une poudre brunâtre et le second, une petite quantité de cachets. Sylvie se releva, prête à bondir.

– Un momento.

Sylvie s’immobilisa aussitôt. Elle était toujours accroupie, sur le point de se relever. Léo remit les sacs dans sa poche et dégrafa son pantalon, exhibant sa queue déjà durcie.

– Si tu veux la drogue Cagna, tu devras travailler pour. Viens. Lentement.

Sylvie traversa les quelques mètres qui la séparaient de l’homme en rampant à quatre pattes sur le sol poussiéreux. Une fois au pied de Léo, elle se redressa pour se mettre à la hauteur de son membre, mais celui-ci l’arrêta. Il prit un vieux linge sale qui traînait, cracha dedans à plusieurs reprises et entrepris de laver le visage taché de maquillage de la pauvre fille qui tremblait à ses genoux. L’odeur du torchon était infecte. Une fois sa tâche terminée, il posa sa queue sur ses lèvres. Elle engloutit le pénis sans hésiter tout en gardant les mains derrière son dos. Elle suçait furieusement. Elle voulait en finir au plus vite et partir avec la précieuse drogue.

Il l’agrippa soudain par les cheveux et tira violemment sa tête vers l’arrière, lui arrachant un petit cri.

– Hey doucement salope. Moi j’aime quand sa dure, quand c’est long et c’est bon. Si le client n’est satisfait, pas de cam pour la dame.

Sylvie repris sa fellation sous le rire tonitruant de Léo. Elle avalait lentement son membre jusqu’à ce que le poil lui pique les narines pour ensuite reculer lentement et lécher son gland. Elle entendait sans comprendre les insultes que lui lançait son tortionnaire. La seule pensée qui hantait son esprit était qu’elle suçait l’homme qu’elle détestait le plus au monde pour de la drogue. Maxime avait raison, Jeanne avait raison. Elle était une pute.

Léo la repoussa durement et replaça son membre dans son pantalon. Sylvie le regardait interloquée.

– Je veux te baiser.

Elle se redressa et passa les mains sous sa robe pour retirer sa culotte. Léo intercepta le mouvement et souleva la robe le plus haut possible. Il agrippa son joli string bleu et d’un coup sec, le tira vers le haut. Le tissu craqua, mais résista. Il du répéter le mouvement à trois reprises avant que la culotte cède. À chaque fois, le string entrait profondément dans le sillon intime de Sylvie et lui arrachait un cri de douleur.

– Viens Cagna, pas ici.

Il l’attrapa par le bras et ils sortirent de la cabane. Ils traversèrent la réception ainsi. Léo marchant devant, traînant Sylvie par le bras. Ils passèrent devant le gros moustachu qui avait servi de père au mariage, Rodriguo. Léo lui lance deux petites phrases courtes en Italien et le bonhomme suivit le couple. Ils entrèrent dans le petit enclos qui était situé sous le balcon de la chambre. La musique était très forte. Léo baissa son pantalon en vitesse et Avcılar Escort Bayan se coucha à même le sol. Il plaça Sylvie de manière à ce qu’elle soit de dos à lui pour le chevaucher et il l’attira vers elle en relevant sa robe. Rodrigo avait roulé sa chemise bien proprement sur son ventre et avait sortie une petite queue bien raide. Il l’enfouie dans la bouche de la jeune femme malgré ses protestations. Le trio s’exécuta tant bien que mal dans cette position pendant plusieurs minutes.

Discrètement, Maxime entra dans l’enclos et regarda l’étrange coït les bras croisés. N’importe quel observateur aurait pu dire à ce moment que l’homme avait le teint très pâle, la mâchoire serrée et qu’il était sur le point de vomir.

La porte de la chambre qui donnait sur le balcon s’ouvrit…

3.

Sylvie n’avait rien vu de la cohue qui avait suivit l’évanouissement de Marie. Rodrigo s’était déversé à gros bouillons dans sa gorge et elle s’était étouffée, régurgitant la semence. Léo l’avait alors brutalement retournée pour la posséder par derrière en s’assurant de bien lui mettre le nez dans ses déjections. Il l’avait baisée ainsi pendant un court instant avant de se vider dans son vagin. Il s’est alors rapidement relevé et avait lancé les deux sacs vers Sylvie avant de quitter l’endroit.

La pauvre femme ramassa la drogue en vitesse et releva la tête au moment précis où Maxime s’éloignait de l’enclos pour se diriger vers une petite porte situé plus loin. Il l’avait vu. Sylvie se releva à toute vitesse et courue vers lui. Elle le rattrapa au moment où il entrait dans une petite pièce qui faisait penser à une salle de réunion.

Les ex amants restèrent face à face, en silence, pendant plusieurs minutes. Sylvie gardait les yeux obstinément fixés vers le sol. Si elle les avait relevés, sa vie aurait été changée. Le regard de Maxime était embué de larmes. Il combattait un urgent besoin de la prendre dans ses bras et de l’amener loin de cette pièce. Dans ce milieu, ce genre de chose ne se faisait pas, mais si elle l’avait regardé…

La porte s’ouvrit finalement. Léo Gianti entra dans la pièce accompagné d’une toute petite femme aux cheveux blonds et de deux hommes armés. Il parla avec Maxime en italien. Maxime ne dit pas grand-chose, mais à un moment donné, il acquiesça de la tête. Léo sortie une impressionnante liasse d’argent et la remis à Maxime. Celui-ci tourna les talons sans même jeter un dernier regard à Sylvie.

Elle tenait toujours les sacs de drogues dans ses mains, la bouche entrouverte, ne comprenant rien à ce qui se passait. La petite blonde s’était penchée sur le sexe de Léo et le suçait avec un enthousiasme toute professionnel. Sylvie n’osait pas bouger. Elle fixait la porte par laquelle Maxime avait quitté la pièce, priant de toute son âme pour qu’il revienne l’arracher à ces brutes.

– Tu es vraiment plus conne que tu en as l’air.

– Maxime…

– Il ne reviendra pas idiote, il t’a vendue.

Il repoussa la blonde qui trébucha et s’approcha de Sylvie. Il la retourna pour qu’elle soit dos à lui. Il déchira sa robe et sorti ses lourds seins de son corsage. Il la projeta sur le mur en face d’elle. Sa tête frappa la paroi avec un bruit sourd. Il se précipita sur sa proie. De la main droite, il pris le bras de Sylvie et le releva dans son dos dans une clef très douloureuse. De son pied gauche, il écarta ses jambes et de sa main gauche, il releva sa robe. Il se cala tout contre elle et guida sa queue jusqu’à son anus. Le geste avait été répété plus d’une fois et il n’eu aucune difficulté à trouver la rondelle de sa victime. D’un coup de rein sec et puissant, il l’encula.

Sylvie pleurait et criait sa douleur et son chagrin. Léo adorait le moment. Il dégustait la déchéance de cette femme racée. Le drame de la situation nourrissait son plaisir. Il sortait lentement sa queue de son anus et il la replongeait avec force au plus creux de l’intestin de son nouveau jouet. À chaque pénétration, Sylvie frappait durement le mur en gémissant. Les coups se firent de plus en plus durs et finalement, Léo se vida dans son cul en disant:

– Tu vois, ton trou du cul m’appartient maintenant.

Puis, se retournant vers ses hommes.

– Amenez-la au moulin. Installez-la au sous sol. Vous pouvez vous amuser avec si ça vous chante, mais je vous préviens, elle pue.

Il retourna son attention vers Sylvie. Il se pencha, arracha les sacs de drogue de ses mains et sorti de la pièce au bras de la petite blonde.

4.

On avait rapidement ramené Marie à sa chambre. La petite foule était en émoi, la mariée s’était évanouie. Elle se réveilla bien vite, mais elle était fiévreuse, délirante. L’humiliation qu’elle avait subie combinée au choc de voir sa sœur et sa mère traitées comme des jouets sexuels l’avait anéantie.

Anne, sa confidente et meilleur amie, se précipita dans la chambre. Il y avait le médecin du Parrain, Raphaël Da Silva lui-même ainsi que la petite compagnie de gardes du corps et autres lécheurs de bottes qui ne le quittait que rarement. Marie la regarda dans les yeux et aussitôt, Avcılar Escort Anne fit évacuer la chambre. Le médecin remis des calmants a la servante et encouragea tout le monde à laisser la jeune femme se reposer. Raphaël se retira, inquiet et ne comprenant visiblement pas l’émoi de sa femme. Il n’avait rien vu de ce qui se passait dans les enclos et il voyait dans l’exposition du drap de virginité un honneur issu de traditions lointaines visant à souligner le caractère virginal de la femme et à montrer à tous qu’elle ne s’était donnée qu’à son homme.

Dès qu’elles furent seules, Marie éclata en sanglot. Anne l’écouta en silence, lui caressant les cheveux, la réconfortant. Après un certain temps, Marie se calma. Son caractère pragmatique reprit le dessus. Elle raconta tout à Anne: le viol de sa mère, l’asservissement de sa sœur, les cruelles soirées à la villa des Castillos et finalement l’emprise d’Alphonso sur sa mère. Au fur et à mesure qu’elle racontait son histoire, ses idées redevenaient claires. Et plus Marie parlait, plus les yeux de Anne devenaient sombres. Les deux femmes parlèrent toute la nuit. Jamais Marie ne s’était sentie si soulagée. Elles tirèrent les conclusions qui s’imposaient.

Le soleil se levait quand Anne résuma la situation.

– Pour Da Silva et ses mignons, le sexe est un outil. Avant ton arrivée, il y avait régulièrement des prostituées qui fréquentaient le domaine. La rumeur dit que les partouzes étaient monnaies courantes. Je ne sais pas jusqu’à quel point ton mari était impliqué, mais trois choses sont sures. L’idée de violer ta mère vient de lui. C’est également lui qui a donné ta mère à Alphonso. Ici, tout passe par le Parrain. Finalement, s’il n’est pas l’architecte de la déchéance de Sylvie, il est parfaitement au courant.

– Mon Dieu.

– Je sais que tu n’es pas naïve Marie. Tu dois savoir qu’une grande partie des affaires de ton mari repose sur des activités de prostitution et sur la production de matériel porno. C’est Maxime qui est en charge de cette division.

– J’aurais dû m’en douter.

– Et le Parrain suit de très près les activités de son lieutenant alors que les gens qui s’occupent du commerce de la drogue, des armes et de la protection restent assez éloignées du domaine et de l’entourage du chef.

– Comment sais-tu toutes ces choses.

– Tu sais Marie, je vie sur le domaine depuis que j’ai 4 ans. Je fais partie des meubles et je suis la petite fille de tout le monde ici… Alors, j’ai des connections.

– Pourquoi tu ne m’en as jamais parlé?

– Les choses ont changé au domaine depuis ton arrivé. Je ne voulais pas te faire peur pour rien.

– Je me sens mal Anne.

– Marie, tu n’as plus le choix. Tu dois rester forte, quoiqu’il t’en coûte. Après ce que tu as vu, il est certain que les choses n’ont pas changé. Le sexe est le point faible de ton mari. Si tu te rebelles contre lui sur ce point, il te fera subir un sort pire que celui de ta sœur, mais si tu collabores, il mangera dans ta main.

– Je sais.

– Prends exemple sur ta mère. Sers les dents. Contrairement à elle, le temps joue en ta faveur.

Peu après, Marie réussie à fermer les yeux.

5. Les paroles d’Anne résonnèrent longtemps dans la tête de Marie. Bien après son réveil, elle méditait sur ces mots : « Le sexe est le point faible de ton mari. ». Elle retournait la phrase dans tous les sens. Elle repassait le fil des événements avec une froideur qui lui faisait peur. Elle s’inquiétait pour elle-même. Elle aurait dû être terrorisée, elle aurait dû être intimidée, elle aurait dû être démolie par l’asservissement de sa sœur, par le viol de sa mère, par la mort de son père, par son mariage forcé, par toutes les humiliations. Au contraire, sa tête était plus froide que jamais. Elle maudissait Raphaël Da Silva pour avoir fait d’elle une personne si mature, si jeune. Il lui avait volé la plus belle période de sa vie. Elle n’était pas insensible aux malheurs de sa sœur et de sa mère, mais dans son esprit, elle vivait dans un théâtre de guerre. Elle n’avait pas le loisir de s’apitoyer sur son sort. Si elle baissait sa garde maintenant, elle en mourrait. Peut-être pas physiquement, mais certainement moralement.

Alors, elle calculait. Son mari l’avait rejoint au matin et il s’était occupé d’elle personnellement avec une attention et une tendresse non feinte. Le premier constat de Marie avait été que Raphaël Da Silva l’aimait vraiment et qu’il prenait très au sérieux ce mariage. Elle n’était pas sotte au point de penser que cette situation était définitive, mais tant que l’homme ne se retournerait pas contre elle, il ne serait pas une menace.

Le second constat, était qu’elle ne pouvait rien pour sa mère et sa sœur. Jeanne devrait subir les assauts d’Alphonso. Elle ne pouvait en aucun cas s’en prendre a lui car son influence était immense. C’était certainement la personne la plus dangereuse de l’organisation. Quand à sa sœur, elle devait la sacrifier. L’influence de Maxime sur elle était trop forte et sa dépendance aux drogues trop grande. Marie réalisait que son influence sur le Parrain n’était pas assez grande pour changer le destin de sa sœur. Elle regardait cette situation avec froideur. Non qu’elle ait été insensible, mais elle voyait la chose comme un générale qui sacrifie un bataillon pour sauver son armée.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

La Descente aux Enfers de Jessie 06

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Je remercie Sadkins116 et Rebeccasm les auteurs de ce récit dont le titre original est « Jesse’s Journey Down a Rabbit Hole » sur ce site.

Dans sa version originale, cette histoire est illustrée, donc je ne peux que vous inciter à aller jeter un coup d’œil sur les pages des auteurs ci-dessus pour visualiser les dessins.

Enfin, je remercie tous les lecteurs qui me suivent et plus particulièrement ceux qui me laissent un petit commentaire.

Bien sûr, l’avertissement est de rigueur : Ce texte comprend de la soumission féminine et masculine, de la contrainte, de l’esclavage. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

************

Jessie sort par la porte principale de l’université. Maître John l’attend sur la route devant. Il est mal habillé. Il porte une chemise et un short hawaïens très moche. Son gros ventre tend les boutons de la chemise. Jessie s’est changée pour une jupe et un haut assortis. La jupe n’arrive pas à mi-cuisse et le haut est très serré avec un grand décolleté. À chaque pas, ses seins menacent de sortir. John lui sourit. Jessie se sent vraiment humiliée que tout le monde puisse la voir monter dans sa voiture habillée en pute.

Elle essaie de ne regarder que l’homme. Il ouvre la portière passager et ordonne :

– Monte et enlève la jupe! Je veux voir ta chatte de salope, esclave.

Jessie a un mouvement de recul. Mais elle lui obéit en priant que personne ne les surveille.

John contourne la voiture et se met au volant. Il démarre, sourit et ordonne :

– Salope, sors tes seins! Je veux que tes nichons soient à l’air libre.

Jessie ouvre son haut et expose sa poitrine. La ceinture de sécurité passe entre ses seins et ne fait qu’attirer l’attention sur ses seins nus.

– J’ai hâte d’acheter des vêtements respectables pour ma nouvelle salope. Dit John en regardant sa poitrine.

Il leur faut presque vingt minutes pour se rendre dans la boutique spécialisée où John veut habiller son esclave. Après s’être garé sur le parking, John sourit et dit :

– Maintenant que nous sommes arrivés et que je peux en profiter, mets-toi à genoux sur le siège et suce ma bite en montrant ton cul nu à tout le monde.

Une larme coule sur la joue de Jessie, mais elle obéit. Son corps tremble tellement elle est excitée. Sucer la bite de John est repoussant, elle déteste le faire. Elle le hait et être forcée de lui faire une fellation dans sa voiture est totalement humiliant. Mais Jessie est plus excitée à ce moment qu’à un autre de toute sa vie. Sa chatte est inondée de son jus. Ses mamelons lui font mal, ils sont si durs. Elle a un orgasme quand il gicle son sperme dans sa gorge, malgré tous ses efforts pour garder le contrôle.

John reste assis et regarde son esclave trembler alors qu’un orgasme pulse à travers son corps. Il attend qu’elle se reprenne et lui tend sa jupe :

– Habille-toi et allons-y. Je veux te présenter à quelqu’un.

Jessie glisse sa jupe le long de ses jambes et remet ses seins dans son haut. John sort le premier et va lui ouvrir la portière. Elle se met debout sur ses jambes tremblantes et il lui prend la main. Elle est encore un peu embrumée de sa jouissance.

La tête de Jessie s’éclaircit rapidement alors qu’ils marchent dans la rue. Elle se sent et ressemble à une pute. Et être dirigée par Maître John ne fait qu’empirer les choses. Ils marchent sur un pâté de maison quand un jeune homme noir sort de l’allée. Jessie est sur le point de passer et de l’ignorer quand elle entend John parler :

– Hé J-man, quoi de neuf?

– Gros John, juste à l’heure mon gars.

– Alors J-man, c’est la salope dont je t’ai parlé. Elle va bientôt avoir besoin d’argent et je pense que tu peux aider.

– Bien sûr Gros John, c’est une belle salope, je pense que nous pouvons arranger quelque chose.

– Super! Nous allons mettre à jour sa garde-robe. Tu veux venir?

– ok j’ai le temps. Et puis nous devons apprendre à nous connaître. Dit-il en regardant Jessie.

L’enseignante a maintenant peur après avoir entendu la conversation. Elle ne veut pas se prostituer. Elle commence à s’éloigner, mais John presse sa main et lui lance un regard noir par-dessus son épaule. Elle sait que même si elle arrive à s’échapper, elle a nulle part où aller. Elle n’a ni argent, ni pièce d’identité. Jessie n’est même pas sûre de l’endroit où elle se trouve. Elle décide d’attendre jusqu’à ce qu’elle soit sûre de pouvoir rentrer chez elle. Tous les trois, ils continuent dans la rue jusqu’à arriver à une boutique qui se nomme « Vêtements sexy ». Jessie réfléchit à ce qui va se passer.

Ils entrent dans le magasin et sont accueillis par une jeune et jolie rousse. Elle mâche son chewing-gum et regarde Jessie comme si elle est une moins que rien.

– je m’appelle Mandy. Que puis-je faire pour vous messieurs. Demande-t-elle poliment.

– Il faut que je trouve une nouvelle garde-robe pour ma salope ici. Dit fièrement John.

Mandy regarde Jessie et ricane :

– Je pense que nous pouvons l’habiller comme la salope Escort Avcılar qu’elle est. Suivez-moi monsieur.

Jessie rougit jusqu’au bout des orteils. Elle veut crier qu’elle est une enseignante respectée, mais comment peut-elle expliquer sa tenue habituelle ou sa soumission à Maître John. L’humiliation et la honte sont écrasantes. Elle baisse la tête et ferme les yeux, son corps vibrant d’excitation.

Mandy les conduit le long d’un couloir jusqu’à un petit vestiaire. Elle regarde Jessie, sourit et dit :

-Ok salope, déshabille-toi! Laisse-moi voir avec quoi je dois travailler.

Mandy se tourne vers John et dit :

– Elle est un peu vieille non? Je veux dire : elle est encore baisable?

Jessie a le souffle coupé, les mots de la jeune fille la blessent jusqu’à l’os. Elle ne peut même pas regarder la rousse dans les yeux. Elle ne peut que suivre les ordres et se déshabiller au milieu de la pièce. Au moment où elle enlève sa culotte, Mandy lui tend des vêtements et lui montre un vestiaire ouvert. Jessie enfile la robe et fait glisser les bas sur ses jambes. La tenue consiste en une robe sans manches en dentelle rouge, bien ajourée au-dessus des seins. Les bretelles forment un collier autour de son cou. La robe est si courte que l’on peut voir le haut de ses bas rouges. En fait, c’est très joli, mais pour une sortie sexy en boite de nuit. Jessie sait très bien que ce n’est pas l’endroit où elle la portera.

Mandy regarde l’enseignante debout dans la cabine d’essayage et rigole :

– Bon ça va! Mais je pense que nous avons quelque chose de beaucoup mieux. Enlève ça salope!

J-man s’approche de Jessie alors qu’elle enlève la robe en dentelle.

– Je l’aime avec ou sans la robe. Elle a un beau cul.

Ils rigolent tous les trois alors que Jessie rougit à nouveau.

Dans l’heure qui suit, Mandy fait essayer à Jessie plusieurs tenues, chacun un peu plus sexy que la précédente. Certaines ont même des accessoires assortis

Finalement, Mandy lui fait mettre un bikini noir en cuir. Il y a une chaîne qui recouvre ses seins ainsi qu’un collier avec une bande de cuir qui descend dans le dos. Mandy demande à Jessie de mettre ses mains dans le dos et de saisir ses coudes. Elle utilise ensuite le bout de cuir pour lui lier les mains. Quand elle sort l’esclave humiliée de la cabine d’essayage, elle la tourne et laisse les deux hommes vicieux inspecter son cul encore rouge des fessées anciennes. John et J-man caresse ses fesses avant que Mandy ne la retourne à nouveau.

Quand Jessie fait face à la vendeuse, son souffle s’accélère quand celle-ci lui montre les accessoires fournis avec la tenue.

Jessie tremble, mais pas de peur, plutôt d’excitation. La pensée d’être bâillonnée et qu’on lui mette un plug dans le magasin ne fait que nourrir son humiliation et l’excite encore plus. Finalement Maître John est satisfait de ses choix et stoppe les essayages. Jessie porte maintenant une tunique bleue qui ne couvre pratiquement rien. Ils paient les achats et sortent du magasin.

Jessie est très calme sur le chemin du retour jusqu’à la voiture. Quand ils sont à l’intérieur, Maître John lui demande de se déshabiller. Jessie est nue pendant tout le trajet. Elle est si tendue qu’elle tremble. Les vêtements choisis par maître John sont pires que vulgaire. Elle ne peut pas les porter en public et rien que cette pensée fait dégouliner sa chatte. Quand ils arrivent près de la voiture de l’enseignante à l’université, Maître John lui jette les vêtements qu’elle portait pendant ses cours et lui dit :

– Mets ça salope pour retourner chez toi.

Il attend que Jessie s’habille puis la renvoie de sa voiture. Elle se précipite vers sa propre auto et saute à l’intérieur. Elle reste assise sans rien faire pendant une minute et voit Maître John s’éloigner. La journée a été très longue. Son corps est en ébullition. Elle déteste son voisin, mais ce qu’il lui a obligé de faire, lui a fait atteindre de nouveaux sommets d’excitation. Elle met la clé dans le contact et démarre la voiture. Juste avant de se mettre en route, elle se souvient des instructions de Maître X.

Elle regarde autour d’elle dans le parking désert et ne voit personne. Soulagée, elle défait sa jupe et la tire le long de ses jambes. Assise maintenant dans la voiture à moitié nue, elle pose son téléphone sur le tableau de bord, le pointe sur son corps et ouvre l’application photo. Sachant ce que veut Maître X, elle commence à rouler, pose une main sur sa chatte dégoulinante et commence à caresser son clitoris. Au moment où elle arrive sur l’autoroute, elle n’est pas loin de jouir. Elle tend la main et prend une photo.

Le retour à la maison est très difficile. Jessie a du mal à se concentrer sur le trafic et les embouteillages. Mais elle fait comme ordonné et joue avec son clito tout le long du chemin. Au moment où elle arrive chez elle, sa seule pensée est de se faire baiser. Elle se fiche de savoir par qui ou comment, elle a juste besoin de s’envoyer en l’air. Jessie ouvre la portière, saute de la voiture et court vers sa maison.

À son Avcılar Escort Bayan insu, son voisin d’à côté la surveille.

Jessie se précipite vers la porte d’entrée en essayant de ne pas se faire voir des voisins. Elle se précipite dans les escaliers et se laisse tomber sur le lit. Elle pleure de manière hystérique quand lui vient une pensée. Ni Maître X, ni Maître John ne l’aime. Elle n’est rien d’autre qu’une esclave à utiliser. Peu importe qu’elle soit enseignante. Sa vie et celle de Marcus est entre leurs mains et il semble qu’ils essaient de les détruire.

Il ne faut qu’une minute ou deux avant que Maître John ne se présente à la porte de sa chambre.

– Lève-toi salope! Il est temps de faire de l’exercice. Habille-toi et sois en bas dans cinq minutes.

L’homme se détourne et repart dans le couloir. Arrivé à l’escalier il tourne la tête et crie :

– Et ne ferme plus jamais une porte. Tu les laisseras toujours ouvertes. Tu n’es pas autorisée à avoir une vie privée.

Jessie a sursauté quand Maître John a fait irruption. Elle essaie d’arrêter de pleurer, mais le sentiment d’être impuissante l’envahit. Et maintenant la situation est pire car un sentiment de désespoir est né aussi. Elle ouvre sa commode, sort sa petite tenue de sport et l’enfile.

Jessie descend dans le salon dans les cinq minutes. Maître John rit doucement quand il voit combien sa tenue épouse chaque courbe de son corps. Il dit :

– Tu vas devenir très populaire dans le quartier à partir d’aujourd’hui. Maintenant approche et suce-moi la bite, tu vas courir avec mon sperme sur le visage.

Les épaules de Jessie s’affaissent, mais elle se laisse tomber à genoux et engloutit la bite de son maître. Elle fait bouger sa bouche de haut en bas de la queue tout en bougeant sa langue sur la hampe. En dépit de son état d’esprit, sucer une bite l’aide. C’est comme si elle suçait une sucette, ça calme son esprit et son corps. Mais comme l’homme avait déjà joui deux fois dans la journée, il faut près de vingt minutes à Jessie pour le faire éjaculer sur son visage.

– Maintenant tu ressembles à une vraie salope. N’oublie pas de faire des exercices d’échauffement pendant cinq minutes pour chaque. Et ensuite tu iras courir trois kilomètres. Et je ferais mieux de ne pas entendre parler que tu caches ton visage ou que tu essaies de l’essuyer. Vas-y esclave!

Jessie se relève et sort de la maison. Elle descend du porche et se place sur la pelouse devant. Elle regarde la rue de chaque côté en espérant que ses voisins ne soient pas sortis. Ne voyant personne, elle commence des étirements pendant cinq minutes, puis elle se baisse pour toucher ses orteils plusieurs fois les cinq prochaines minutes. Au moment où elle finit cet exercice, elle est couverte de transpiration. Le prochain échauffement consiste à mettre ses mains derrière la tête et à plier les genoux complètement. Quand elle a fini de s’échauffer son visage est couvert de sueur et de sperme. Elle regarde autour d’elle et commence à courir.

Lorsque Jessie termine sa course, le sperme de Maître John s’est mélangé à sa sueur et dégouline de son visage sur ses seins. Elle se sent toute collante et sale. Elle descend la rue vers sa maison et voit son voisin dégueulasse d’à côté debout sur son perron. Jessie ne connaît même pas son nom. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’il est dégoûtant et qu’il la déshabille du regard à chaque fois qu’il la voit. Jessie court dans la rue jusqu’à ce qu’elle arrive sur sa pelouse devant sa maison. Elle connaît ses instructions, mais elle souhaiterait que son voisin ne la surveille pas. La pensée de ne pas faire ce qu’on lui avait dit ne lui vient jamais à l’esprit. Elle commence ses exercices de récupération. Elle ne voit pas le voisin dégoûtant s’approcher.

Jessie ne sait pas à quel point il est proche avant qu’elle ne se soit relevée et retournée. Quand elle se retourne il n’est qu’à un mètre derrière elle et il lorgne son cul. Sans réfléchir elle agit et le frappe sur la joue droite. Elle explose et crie :

– Qu’est-ce que vous regardez sale type? Arrêtez de baver sur moi et allez-vous-en!

C’est la première fois depuis longtemps qu’elle tient tête à un homme. Mais après avoir crié, elle regarde chez elle, en priant pour que Maître John ou Maître X ne l’aient pas vue se mettre en colère et frapper l’homme. La dernière chose qu’elle souhaite c’est qu’ils utilisent le voisin pour l’humilier. Elle se tourne, remonte son allée et pénètre dans sa maison.

Marcus est juste derrière la porte quand elle entre. Il lui sourit alors qu’elle enlève son short et son haut. Elle est nue, couverte de sperme et de sueur. Son mari la prend dans sas bras et lui murmure à l’oreille.

– Nous devons faire quelque chose pour la semaine prochaine, quand les enfants rentreront à la maison. Nous ne pouvons pas les laisser nous voir comme ça. Je ne peux pas porter tes culottes et tes bas dans la maison quand ils seront ici.

Jessie hoche la tête et répond :

– Laisse-moi prendre une douche et nous parlerons à Maître X. Je suis sûre que nous allons Avcılar Escort trouver une solution.

Marcus acquiesce, embrasse la joue de sa femme et part dans le salon. Ce qu’ignore le couple, c’est que Maître X a entendu tout la conversation. Il sourit et attend qu’ils le contactent. Il se demande ce qu’il peut obtenir pour leur laisser deux jours de liberté.

Il faut environ vingt minutes à Jessie pour prendre sa douche. Elle sort de la salle de bain et voit Marcus assis sur le lit. Il regarde sa femme. Il l’aime tellement, mais depuis que Maître X est entré dans leur vie, tout a changé. Leur voisin, John, avec l’aide de Maître X les domine maintenant. Marcus doit porter les culottes et les bas de Jessie à tout moment dans la maison. John a rendu sa vie misérable. Alors qu’il n’avait jamais sucé de bites auparavant, il a fait de nombreuse fellations à John depuis qu’il est soumis.

Jessie regarde tout autour et demande :

– Où est Maître John?

– Es-tu obligée de l’appeler Maître John? Je sais qu’il travaille avec Maître X, mais l’appeler Maître? Demande Marcus.

– C’est ce qu’on m’a ordonné de faire. Est-il là? Demande de nouveau Jessie.

– Non il fallait qu’il aille voir sa femme. Pourquoi? Rétorque Marcus.

– C’est le bon moment pour parler à Maître X de la visite des enfants. Dit Jessie.

– Je suis d’accord et j’aimerai que John s’occupe moins de toi. Il t’a quand même promené avec lui toute nue. Dit Marcus, sa colère augmentant.

Le couple entre dans le bureau et éteint l’économiseur d’écran. Maître X est assis à son bureau, son visage dans l’ombre comme d’habitude. Jessie et Marcus se mettent à genoux et attendent que leur Maître leur parle.

– Ok les esclaves! Pourquoi me dérangez-vous? Grogne le dominateur.

Jessie parle en premier :

– S’il vous plaît Maître X nous avons une demande. Nos enfants reviennent chez nous de leur université le week-end prochain. Nous vous demandons de nous laisser les deux jours. Nous ne pouvons pas leur faire connaître notre nouveau mode de vie.

Maître X rigole et dit :

– Esclave, tu connais les règles : trente jours de soumission absolue et d’obéissance complète. Si tu échoues, je ne m’occupe plus de vous et tout ce que j’ai collecté sera rendu public.

– Oh mon Dieu non! Ne faites pas ça s’il vous plaît Maître X. Nous avons été obéissants jusqu’ici. C’est juste que nos enfants ne vont pas comprendre. Tout ça est nouveau pour nous et nous n’en avons jamais discuté avec eux. S’il vous plaît Maître X? Supplie Jessie.

L’homme sait que c’est juste une question de temps avant que ces deux esclaves soient totalement soumis et lui donnent tout, y compris leurs enfants. Mais il aime les faire souffrir.

– Qu’en dis-tu Marcus? Tu n’as rien dit. Tu veux ça aussi?

– Oui Maître X, je ne peux pas laisser mes enfants me voir habillé ainsi. Plaide Marcus.

– D’accord esclaves, je vais vous donner votre week-end, mais ça a un coût. Et ce n’est pas négociable. Vous acceptez mes conditions ou vos enfants seront bien surpris. Êtes-vous d’accord?

Jessie hoche la tête et Marcus regarde l’ombre sur l’écran :

– Je veux connaître les conditions avant d’accepter.

– Alors les voici. Vous avez tous les deux listé des limites à ne pas franchir sur votre questionnaire. Je veux que deux d’entre elles soient retirées de la liste. Et c’est moi qui choisis lesquelles.

Marcus, tu iras au salon de beauté et tu te feras épiler complètement, de tes pieds jusqu’au cou. Je vais également contrôler ce que tu portes à l’intérieur et à l’extérieur de la maison. À partir de ce jour, tu ne portes rien que je n’aie approuvé.

Jessie, tu n’as plus le droit de refuser aucun homme, n’importe où et n’importe quand. Tu vas également envoyer un mail à tes enfants avec une pièce jointe que je te donnerai. Tu leur demandes de l’installer pour protéger leur ordinateur contre le piratage.

Le week-end où vos enfants seront ici, débrouillez-vous pour qu’ils vous voient nus au moins deux fois.

Marcus et Jessie perdent leur souffle quand ils entendent les conditions pour pouvoir cacher leur secret à leurs enfants.

– Maître X, quelles limites allez-vous ôter des listes. Demande Marcus.

– Marcus, tu vas commencer un entraînement anal. À partir de maintenant, tu auras toujours quelque chose dans le cul. Cette chose ne pourra être enlever qu’avec ma permission.

Jessie, je vais prendre quelques rendez-vous pour toi, on va décorer ton corps. Tous les deux, vous allez maintenant profiter du frisson ses sports nautiques.

– S’il vous plaît Maître X, ayez pitié de nous. Ce sont des conditions très difficiles à accepter. Ce que vous demandez est un prix très élevé à payer. Supplie Jessie à nouveau.

– Vous avez le choix. Soit vous acceptez ces conditions, soit vous dites à votre fils et votre fille que tu es une salope d’esclave et que Marcus est un travesti qui suce de bites. Faites votre choix, vous avez une minute pour vous décider.

Maître X regarde ses deux esclaves. Il sait qu’il a gagné lorsqu’il remarque que les épaules de Marcus se sont affaissées. Il sait qu’elle ne peut pas refuser ses conditions, même si elle essaie de faire bonne figure. Il sait que les limites écrites ne valent pas plus que le papier sur lesquelles elles sont écrites.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Julie Découvre Le Facesitting

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Anal

Je m’appelle Julie et j’ai 27 ans. Je ne suis pas féministe, mais je suis forcée d’avouer que ce mouvement a tout de même réussi à changer ma vision de la femme. Quand j’étais plus jeune, avec mon petit ami de l’époque, nos relations sexuelles étaient souvent à sens unique. Les préliminaires ne duraient pas longtemps, puis il me pénétrait jusqu’à jouir et ensuite oubliait mon existence. Evidemment, certaines nuits étaient plus ardentes que d’autres, mais les orgasmes que j’ai eu avec lui se comptent sur les doigts d’une main.

Aujourd’hui les choses ont bien changé et étant donné tous les messages qui circulent au sujet de l’égalité femme-homme, je me suis dit qu’il serait temps pour moi d’arrêter d’avoir des relations sexuelles qui ne plaisent qu’à l’homme. J’ai donc décidé de me rendre sur un site pornographique afin de me faire une idée de ce qui se faisait en matière de sexe. Les vidéos de la page d’accueil se ressemblaient toutes, un mec musclé qui se déchaînait sur une femme. La seule différence avec mon couple était que l’homme de la vidéo était plus violent. Je suis même tombée sur la vidéo d’une femme qui se faisait pénétrer par la bouche pendant 10 longues minutes jusqu’à ce que l’homme jouisse. La femme pleurait mais pourtant l’homme continuait. Ce n’était pas dans une catégorie “hardcore” ou “domination”, c’était considéré comme du sexe casual alors qu’il était évident qu’il y avait un individu beaucoup plus dominant que l’autre. Si les rôles étaient inversés, la vidéo aurait directement été classée dans “femdom”, mais comme dans ce cas la femme était soumise, alors la vidéo était catégorisée comme du sexe banal car d’après les films X, être soumise est la norme.

Se faire dominer de la sorte est peut être un fantasme pour certaines femmes, mais pas pour moi. Cependant, le rôle de l’homme m’excitait un peu, et c’est là que j’ai eu un déclic. J’ai commencé à imaginer à quoi ressemblerait ma vie sexuelle si je refusais de me soumettre comme la femme dans cette vidéo, si je forçais mon partenaire à être celui qui subit. Cette pensée à elle seule a suffit à faire frémir mon corps tout entier et a éveillé un si profond désir en moi qu’elle en a changé complètement ma vision des relations femme-homme. Tout est devenu plus limpide. Comme si chaque femme avait enfoui en elle une envie de domination inépuisable, mais que la société actuelle faisait tout pour réprimer cette envie. Sauf qu’une fois que cette envie était exposée à la lumière de ma conscience, un désire ardent de domination s’est mis à grandir en moi. S’il était normal pour un homme de faire preuve de tant de violence durant l’amour, alors une femme doit pouvoir faire pareil sans éprouver de remords. La seule différence est qu’un homme est plus fort physiquement qu’une femme et doit donc faire preuve de retenue, tandis que je n’ai pas à me retenir autant car j’ai moins de chances de le blesser par mégarde. Réaliser qu’il était possible d’avoir des relations avec quasiment aucune forme de retenue a été libérateur pour moi.

En faisant quelques recherches supplémentaires sur internet, je me suis rendu compte que je n’étais pas la seule en avoir marre de subir. J’ai été surprise de voir à quel point une femme pouvait tant déstabiliser un homme et avoir le dessus durant le sexe, et surtout à quel point cela pouvait sembler naturel pour les femmes expérimentées. Là où les hommes faisaient preuve de retenue Escort Beylikdüzü pour ne pas blesser, les femmes avides de contrôle que j’ai pu observer sur des sites pornographiques semblaient beaucoup plus libérées et donc plus dangereuses. J’ai aussi constaté que contre toute attente, certains hommes aimaient être malmenés. C’est ce que j’allais vérifier ce soir avec mon rendez vous Tinder.

Il s’appelle Thomas et a 23 ans. Je l’ai repéré sur Tinder car il avait écrit en bio “Tant que j’aurais un visage, tu auras toujours une place où t’asseoir”. Il l’a probablement écrite sans trop réfléchir, s’il savait quelle était mon interprétation de sa bio, il n’aurait jamais osé venir à notre rendez vous.

Il est 21h, Thomas sonne chez moi, je le fais entrer.
“Salut Julie, tu es encore plus belle en vrai qu’en photo”

Il a l’air timide et peu expérimenté, ce qui me convient parfaitement. Je le fais entrer dans ma chambre, allume l’ordinateur portable et netflix et on s’asseoit tous les deux sur le lit pour décider de ce que l’on va regarder. Je me couche sur le ventre, du côté droit du lit, ce qui lui offre une vue parfaite sur mes fesses. Je mesure 1m65, je ne suis pas grosse, mon IMC est exactement dans la moyenne, cependant mes fesses sont plus imposantes que la plupart des filles et ça peut impressionner certains hommes. Thomas se trouve à ma gauche et l’ordinateur portable est devant nous. Je décide de le taquiner un peu
“Intéressante ta bio tinder, tu pensais vraiment ce que tu as écrit?”
Il repense à ce qu’il a écrit, puis regarde mes fesses et rougit, c’est drôle mais je décèle aussi une part de peur dans son regard.
“Oh tu sais c’était une blague, je ne veux pas vraiment que tu poses ton derrière sur mon visage! Tu sais les mecs écrivent parfois des choses débiles pour impressionner les filles. Surtout que tu es assez impressionnante en vrai au niveau de…, je suis pas sûr de pouvoir…”
Les mecs sont tous les mêmes, ils ont une grande bouche et regardent toujours nos fesses, mais quand vient le moment d’assumer leurs propos, il n’y a plus personne.
Je le vois quand même continuer à me mater, je réfléchis donc à un moyen de m’amuser avec lui en jouant de son obsession pour mon gros derrière.
Le film commence. Il est couché sur le dos, avec la tête légèrement surélevé par le coussin tandis que je suis toujours sur le ventre.

Je repense à mon objectif de prendre le plein contrôle de mes relations, et je décide de passer à la vitesse supérieur.
Quand un homme a une énorme paire de fesses comme les miennes à côté de lui, un rien suffit à l’exciter.
“Tu es sûr que ta bio n’était qu’une blague? J’en ai marre d’être couchée sur le ventre et ton visage a l’air confortable…”
C’était très osé de ma part de dire ça, mais oser le dire témoigne d’une énorme confiance en moi, je sentais un mélange de peur et d’excitation en lui, il pensait que si j’avais assez de cran pour dire ça, c’est que mes propos étaient à prendre au sérieux.

“C’est à dire que… en vérité j’ai toujours voulu essayer, mais avec toi j’ai peur de m’étouffer ou d’avoir le nez cassé, et encore, si ce n’était que cela ça irait, mais il y a une aura sadique qui émane de toi, je ne sais pas quoi en penser.” dit-il

Il m’a bien cerné, je ne savais pas que mes intentions étaient si évidentes, comme si une simple prise de décision suffisait à changer Beylikdüzü Escort Bayan entièrement une femme au point que même un inconnu le remarque. Mais ma détermination est inébranlable, je dois le rassurer sinon il va prendre peur et fuir.

“Si ça peut te rassurer, on peut utiliser un safe word. Si tu dis “stop”, j’arrête tout, d’accord?”

Il aquiesca sans trop réfléchir, obnubilé par la vu qu’il avait, il ne parvenait pas à penser clairement. A force de gigoter de manière ostentatoire je savais qu’il ne pensait plus qu’à une seule chose, mes jambes. Je me suis volontairement exposée à sa vue afin de faire monter son désir et le rendre plus docile. Je me suis mise à quatre pattes pour monter le son de l’ordinateur, ce qui l’exposa a une vue encore meilleure et j’aperçu un début de bosse sous son pantalon. Et maintenant on peut commencer les choses sérieuses. il était déjà allongé sur le dos. Je mets mes pieds de part et d’autres de son visage, face à l’ordinateur et à ses pieds et je m’abaisse lentement jusqu’à ce que mes fesses soient en plein sur son visage. La sensation physique est agréable, mais ce qui m’excite le plus est d’avoir l’ascendant physique et mental sur lui, de savoir qu’il est assez soumis à moi pour me laisser m’asseoir sur lui, malgré la taille imposante de mes fesses qui englobent tout son visage.

Je recule légèrement pour mettre sa bouche face à la partie du jean qui recouvre ma vulve. La pression exercée est agréable, mais le jean entre nous deux diminue un peu les sensations que j’aurais ressentis sans. je dois donc exercer encore plus de pression sur son visage si je veux vraiment sentir quelque chose. Le dérangement que ça lui procure a l’air très supérieur au plaisir que j’en retire. Mon ancienne personnalité aurait sûrement arrêté de presser si fort contre son visage en sachant cela, mais maintenant que j’ai réalisé à quel point les hommes sont violents par rapport aux femmes durant l’amour, je me dis que le faire souffrir est acceptable du moment que ça contribue à mon plaisir, même de manière infime, et qu’il fallait que j’arrête de prendre les choses aussi sérieusement. Si un homme pouvait baiser une femme jusqu’à la faire boiter et l’oublier le lendemain, alors je ferais pire.

Je l’entends essayer de dire quelque chose, mais je ne comprends pas quoi. Cette sensation de puissance mélangée au plaisir physique de l’avoir entre mes jambes me donne l’impression d’être toute puissante. je commence à frotter de plus en plus intensément ma vulve contre son visage afin de compenser la perte de sensation que cause mon jean. Je pourrais très bien l’enlever afin d’éprouver plus de plaisir en ayant pas besoin de me frotter aussi fortement à son visage, mais savoir qu’il souffre pour mon plaisir est encore plus excitant à mes yeux. Il me repousse fortement afin de pouvoir prendre sa respiration. Je lui laisse 5 secondes, puis je le force à remettre sa tête en face de ma vulve et je recommence à me frotter contre son visage inlassablement, de plus en plus intensément jusqu’à entrer dans un état de transe, si proche de l’orgasme que je n’arrive plus à m’arrêter. Je sens qu’il est épuisé et qu’il n’a plus la force de me résister. Il essaye de me repousser à nouveau mais cette fois rien n’y fait, il essaye de parler mais je ne comprends pas, ses jambes se débattent mais il est impuissant face à mon bassin imposant et impossible Beylikdüzü Escort à arrêter, comme si j’étais une machine bloquée sur la vitesse maximale. Je suis à deux doigts d’atteindre l’orgasme, je me frotte si intensément contre son visage qu’on ne voit plus sa tête qui s’enfonce profondément dans le coussin et dans le lit à intervalles de plus en plus courts jusqu’à ce que j’atteigne enfin l’orgasme.

j’ai les jambes qui tremblent, je n’ai jamais atteint un orgasme aussi puissant, j’attends un peu en étant toujours assise sur son visage, afin de lui faire comprendre que c’est ma proie et que je laisserais son visage libre quand je l’aurais décidé. Le film que l’on avait mis en route arrivait bientôt sur sa fin. Je décide de continuer à regarder tout en restant encore assise sur son visage. J’entends des semblants de phrases provenant de sous mes fesses, mais le son est trop étouffé pour que je comprenne quoi que ce soit. En entendant le générique de fin, Thomas semblait soulagé, il pensait que j’allais enfin le libérer. Pour le taquiner, je décide de regarder le générique jusqu’à la fin, il dure 10 longues minutes… Puis je finis enfin par le libérer. Son visage est tout rouge, il a du mal à parler et est à bout de souffle, il a l’air résigné et essaye de reprendre ses esprits, immobile sur le lit.

Le voir dans autant de souffrance devrait me peiner, mais pourtant je ne ressens que du positif, ainsi qu’une sensation de plaisir encore présente.

“C’était génial” dit Thomas, contre toute attente

Malgré les apparences, Thomas a aimé ce moment sous mon énorme derrière. J’ai du mal à le croire, mais il l’a dit de sa propre bouche, aussi usée soit elle. Il est donc possible de penser uniquement à soi du début à la fin tout en faisant quand même plaisir à son partenaire. Je repense à ces vidéos d’hommes si violents avec les femmes, et je comprends maintenant pourquoi ils choisissent d’être si brutal. Même si celui qui subit peut penser avoir eu une expérience plaisante, ce n’est rien comparé au bonheur de celui qui a le contrôle, au bonheur d’avoir les plein pouvoir, d’avoir le visage d’un homme sous son bassin et baiser son visage jusqu’à ce qu’orgasme s’en suive. Ce mélange d’autorité, de plaisir physique et de savoir qu’un homme est prêt à autant souffrir pour son plaisir n’est comparable à aucune sensation que j’ai pu connaître durant l’amour auparavant. Baiser son visage de plus en plus vite en sachant que c’est difficile pour lui, mais sans pour autant arrêter, est une sensation dont je ne pourrais plus jamais me passer. Faire souffrir en connaissance de causes sans connaître la moindre once de culpabilité, je n’aurais jamais cru en être capable, et surtout je n’aurais jamais deviné à quel point ça fait du bien!

C’est décidé, je dois trouver un homme qui me laissera utiliser son visage comme bon me semble quand je veux, je veux pouvoir décider de la durée, de l’intensité, de tout. Une fois qu’on a goûté au pouvoir, il est dur de s’en passer. Si je commence à me lasser de baiser son visage, alors je repousserais simplement les limites, je ferais durer ça plus longtemps, je me montrerais encore plus dure pour assouvir mes besoins toujours plus grands de domination. Au bout d’un moment je ne demanderais même plus l’autorisation pour chevaucher son visage. Je continuerais jusqu’à ce que ça devienne une dépendance pour moi et que je ne puisse plus arrêter de le faire même si je le voulais. Thomas était content de me voir prendre autant de plaisir, malgré le calvaire que je lui ai fait subir, ce qui me conforte dans l’idée de devenir encore plus égoïste vis à vis de mon plaisir pour mes prochaines relations.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Educatrices Ch. 02

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Anal

EDUCATRICES . Ch 2

Coulybaca

Texte personnel.

Chapitre 2 : Une visite à domicile, Miloud assoit son emprise…

La soirée s’était terminée calmement, bien que Françoise soit légèrement nauséeuse, vaguement insatisfaite et surtout l’esprit encombré de pensées contradictoires :

Pourquoi elle? En quoi avait-elle bien pu les provoquer

Comment avait-elle pu ressentir un certain plaisir de se faire ainsi maltraiter, car c’était indéniable, elle devait se l’avouer, elle avait frôlé l’orgasme dévastateur. Comment cela se terminerait-il?

Pourvu qu’ils se taisent!!

Jamais… Plus jamais elle ne se laisserait traiter de la sorte!!

Son service terminé Françoise rentra chez elle vers 20 h 30, sa collègue qui la relayait pour la nuit bien qu’ayant remarqué son air troublé n’avait pas fait plus de remarques.

Une bonne nuit la dessus et, du moins l’espérait-elle, le souvenir de cette ignoble soirée s’estomperait.

A son retour, Frédérique et Marc, ses enfants l’attendaient pour lui souhaiter son anniversaire, et oui cela lui faisait maintenant 34 ans .

Son mari en tournée d’inspection sur ses chantiers n’était pas encore rentré, après avoir fêté l’événement dans la plus pure tradition, gâteau et bougies, elle souhaita une bonne nuit à ses enfants, se relaxa longuement dans son

bain, puis se coucha après avoir longuement massé d’une crème adoucissante ses fesses meurtries .

Heureusement, aucune trace des sévices subis ne subsistait, hormis une vague rougeur qui passerait facilement pour un léger échauffement ; elle n’aurait donc pas à justifier de l’état de sa croupe auprès de son mari, sûr des traces quelconques auraient éveillé ses soupçons .

Avec un tel jaloux, elle ne risquait pas de se plaindre de son aventure… Lui aussi l’en aurait rendu responsable… L’aurait discréditée auprès de ses enfants et qui sait… Peut-être même aurait-il réclamé le divorce!

Allons, pas de traces pas d’aveu encombrant et tout en resterait là cherchait-elle à se convaincre .

Tard dans la nuit, elle entendit la porte de l’entrepôt qui servait de garage et de magasin pour le matériel de chantiers s’ouvrir puis se refermer avec fracas, ce bruit provoqua un partiel émergement du sommeil dans lequel elle se croyait enlisée, elle remarqua alors de drôles de bruits, des halètements,… des soupirs… Et mit quelques instants , avant de comprendre que ces manifestations émanaient de sa propre gorge .

Comme lorsqu’elle était ado, la main égarée dans les plis de sa vulve elle se branlait avec ardeur dans son sommeil.

A l’état de son con, gluant et collant, lèvres largement ouvertes elle comprit que cette branlette durait déjà depuis quelque temps… Vraiment cette aventure l’avait perturbée bien plus qu’elle ne voulait se l’avouer!

La porte de la chambre s’ouvrit, elle n’eut que le temps de se retourner vers le mur et feignit un sommeil profond, elle ne se sentait pas de taille à évoquer sa journée avec son mari.

Son esprit encore enfiévré risquait de la trahir, elle risquait alors de révéler ce qu’elle voulait désormais enfouir au fin fond de sa mémoire.

André, son mari, s’allongea à ses cotés, la croyant endormie profondément il se blottit contre elle et s’endormit rapidement la laissant maintenant toute éveillée, remâchant sa mésaventure.

Avec le recul, elle pouvait maintenant, en toute lucidité, se la remémore, elle ne se reconnaissait pas dans cette femelle orgasmant sous les coups… Jusqu’ici elle s’était toujours crue parfaitement équilibrée, sexuellement épanouie dans la normalité et voilà que les coups assénés par ce jeune voyou l’avaient émue hors de propos, finalement heureusement que Christophe était arrivé…

Qui sait comment se serait terminé cette expérience sinon?

Elle était consciente que, malgré ses efforts l’image d’elle même qu’avait dégagée cette soirée serait peut-être plus longue à s’estomper qu’elle ne l’espérait.

Cette pseudo jouissance arrachée à son corps malmené ne s’effacerait pas si facilement de son esprit!

Les jours suivants, pris en repos compensateur lui permirent d’endormir peu à peu ses souvenirs .

Le vendredi elle se rendit à l’IME pour son service de départ, elle devait vérifier le trousseau de ces demoiselles, surveiller leur toilette et veiller à la prise en bon ordre du car qui les ramènerait chez elles .

Seuls quelques cas particuliers, dont Miloud et Stephan demeuraient le week-end au domaine, faute de familles d’accueil.

Elle réussit à les éviter, s’acquitta de son service puis rentra chez elle, elle reprendrait le lundi au le retour des pensionnaires.

Elle assurait ainsi le début de semaine jusqu’au mercredi matin puis serait de congé et la semaine suivante reprendrait de la même façon, départ retour 2 jours et 3 nuits de service telle était son calendrier semaine après semaine.

Le lundi… Le mardi, se passèrent sans ennuis notables, elle sentait bien les regards concupiscents des trois jeunes sur elle, mais Escort Beylikdüzü elle arrivait à les éviter ; les rares fois où elle n’avait pu se détourner, ils s’étaient cantonnés dans un silence pesant, lourd de convoitise, mais sans manifestations menaçantes .

Elle était parvenue à se convaincre que cet épisode fâcheux n’aurait pas de suite, ni de retentissements que ce soit dans son boulot, auquel elle tenait, ou dans sa vie familiale, elle en avait même oublié l’existence des photos, et se

persuadait que finalement ils n’étaient pas aussi pourris qu’elle le craignait!

Certaine qu’elle était que si depuis cette fatidique soirée, elle avait réussi à ne pas les côtoyer, c’était aussi parce-qu’ils n’avaient pas insistés, inconsciem-ment elle en concluait que pour eux aussi le chapitre était clos et bien clos .

Ce mercredi après midi, après avoir fait travailler ses enfants durant la mati-née, elle leur avait accordé la permission de passer l’après-midi à la piscine, sous la surveillance de Francis, une grande perche dégingandée de 18 ans, fils de voisins et amis proches, qui leur servait parfois de chaperon .

La vaisselle expédié, uniquement vêtue d’une courte robe d’hôtesse, elle se prélassait dans son divan.

La sonnerie de la porte d’entrée la tira de sa douce somnolence .

Qui pouvait donc bien venir lui casser les pieds à 2 heures de l’après midi? pensa-t-elle se dirigeant vers la porte,

Encore des enquiquineurs!

Elle entrebâilla la porte et, se pétrifia, se retrouvant nez à nez avec Miloud et ses deux compères, immédiatement elle voulut reclaquer la porte.

Miloud du pied bloqua le vantail le lui interdisant.

– Que voulez-vous? demanda-t-elle d’une voix oppressée, ses frayeurs lui revenant toutes d’un bloc.

– Oh… Rien répondit Miloud, nouant le dialogue

– On revient de la piscine où on a rencontré tes gosses… Stephan voulait leur montrer les photos… Mais je me suis dit que tu voudrais peut-être en avoir la primeur…

– Les photos? Quelles photos? Mais celles où tu nous offres ton cul! Tu ne te rappelles pas… Mardi soir… Sous les ateliers… Tu nous as tout montré!

– Petits salauds! Voulez vous bien foutre le camp… N’avez-vous pas honte?

– Non seulement on n’a pas honte, mais toi… Auras-tu honte quand ton mari… Tes enfants verront tes exploits… Ca va barder, crois moi… Mais tu fais comme tu veux… Si c’est ce que tu préfères… Ou bien , on peut en discuter calmement .

Fouettée par le tutoiement, abasourdie, égarée, Françoise s’effaça les précé-dant au salon .

Là, d’autorité, Miloud et ses deux complices prirent place autour de la table basse, comme Françoise restait figée, les bras ballants, il enchaîna :

– Sers nous donc à boire, pendant que je les déballe.

Engourdie, sans réaction, elle obéit à l’injonction, sortant quatre verres et elle servit à chacun un whisky bien tassé, elle en aurait sans doute besoin .

L’attirant à ses cotés par le pan de sa robe, Miloud lui tendit les petits rectan-gles qu’il sortait d’une enveloppe de kraft.

C’était encore pire que tout ce qu’elle aurait pu imaginer, dès la première épreuve elle sut qu’elle ne pourrait pas s’en tirer .

Troussée jusqu’aux reins, son cul rougit par les coups, les mamelles malaxées par Stephan elle étalait ses charmes les plus secrets .

Aucune erreur possible, c’était bien elle, son visage tourné vers l’objectif permettait facilement son identification, elle remarqua d’ailleurs que sur toutes les photos, si on distinguait mal les trois garçons, son visage à elle était toujours bien reconnaissable.

Les autres photos haussaient encore le niveau d’obscénité, sur l’une le doigt de Miloud fiché dans son anus semblait aspiré par ses entrailles, la suivante montrait son sphincter béant, la corolle mauve qui le cerclait bien distendue suggérait le traitement qu’il venait de subir.

Elle vacilla sur ses jambes, le coup était trop fort, elle frisait le ko .

Miloud enfonça encore le clou :

– Alors… Qu’est ce qu’on fait… On les montre… Non… Non gémit-elle, Je ferai ce que vous voudrez… Mais donnez les moi… Je ne dirai rien à per-sonne…

– Non seulement tu ne diras rien à personne, mais… Si tu veux vraiment qu’on se taise… Tu feras tout ce qu’on voudra… Quant à te les rendre, il n’en est pas question… Ce que je te promets c’est que tant que tu te montreras do-cile… Et disponible ni ton mari, ni tes enfants ne les verront.

– D’accord… Je… Je ferai… Tout ce que vous voudrez… Mais surtout ne di-tes rien à personne capitula-t-elle la voix tremblante.

Profitant de son désarroi, Miloud glissa sa main sous sa robe et entreprit d’escalader le compas de ses cuisses, traumatisée, elle se laissait faire, ne tentant même pas de refermer les jambes, ce qui par ailleurs aurait maintenant

été bien inutile, ils avaient les arguments suffisants pour les lui faire écarter .

Tout de suite il se pointa au centre de la fourche, Beylikdüzü Escort Bayan dans la vallée moussue, commentant pour ses copains :

– Eh les gars! elle est à poil sous sa robe! Tu nous attendais dis donc?

Françoise ne répondit même pas, dolente elle le laissa remonter sa robe, ten-dant les bras pour lui féliciter la tâche, il l’attira sur ses genoux alors qu’il préci-sait :

– Rappelles toi que dorénavant tu m’appartiens, tu devras aussi obéir à Ste-phan et Charles, mais c’est moi ton maître… Je ne tolérerai aucune désobéissance… Reprends quelques photos qu’on voit bien qu’elle participe! enjoignit-il à Charles .

Puis il la tourna vers lui, ses lèvres se portèrent sur les siennes et il entreprit de l’embrasser, elle s’efforçait de garder les lèvres serrées, résistance vaine, bientôt la langue du voyou envahit sa bouche, elle resta passive, inerte. Mi-loud, agacé, cessa son petit jeu, la gifla avec violence et lui commanda :

– Tu participes ma salope ou alors ça va être ta fête!

Et honteuse de sa veulerie, Françoise se vit pencher la tête et mêler sa salive à celle de son suborneur.

Les mains de Miloud exploraient maintenant son corps entièrement dénudé, soupesaient sa lourde poitrine, contournaient ses flancs, tâtaient ses fesses puis se faufilaient entre ses jambes palpant les lèvres disjointes.

Du doigt il força son anus, et commença quelques rugueux va et viens, puis introduisant le pouce son vagin il se mit à jouer à la pince chinoise tout en la questionnant crûment :

– T’es-tu déjà fait enculer par ton mari? Par un amant peut-être? Non? Nous les arabes c’est ce qu’on préfère… Eh les gars, interdiction de lui prendre son pucelage arrière… Il est pour moi!

– Oh Miloud , si tu nous la passais un peu, on en a marre de se branler en vous regardant

Dit alors Stephan qui depuis quelques minutes se secouait la pine à pleine main.

– Approche lui répondit Miloud, elle va te sucer, ça corsera un peu les photos .

Stephan s’approcha du couple, Miloud tourna la tête de Françoise vers le phal-lus qui se présentait à ses lèvres, Stephan n’eut pas à forcer, matée autant par la gifle que par le petit discours, elle entrouvrit la barrière de ses

dents livrant un passage aisé au gland foncé qui s’inséra

lentement entre ses lèvres la forçant jusqu’aux amygdales puis se retira pour mieux s’enfoncer à nouveau.

Elle sentait la queue de Stephan prendre encore du volume, Miloud ordonna :

– Suce le mieux que ça… Je veux voir ta gorge travailler… Caresse le de ta langue… Lèche lui les couilles… Bon dieu! Montre ce que tu sais faire!

Il ne semblait pas se douter que jusqu’ici, si les lèvres de Françoise s’étaient déjà posées sur le gland de son mari, jamais elle ne lui avait accordé, il ne lui avait d’ailleurs pas demandé, d’aller plus loin, elle faisait là son apprentissage et sur un rythme qui lui paraissait démesuré .

Démesuré comme la queue qui lui emplissait maintenant la bouche.

Pour s’accorder quelques secondes de répit, elle le désemboucha et obéis-sante, entreprit de léchotter la hampe, descendant jusqu’aux couilles velues, recrachant quelques poils, remontant, suivant de la pointe de la langue le frein

qui frémissait, réembouchant à pleine gorge le gros bâton.

Stephan s’enfonça jusqu’à sa glotte, franchissant, sans se soucier de ses hauts le cœur la frontière de ses amygdales, et tandis que dans un dernier sursaut d’amour propre Françoise retenait son envie de vomir, la maintenant le nez enfoui dans sa toison, en longues giclées crémeuses il lui déversa sa semence dans l’arriÈre gorge.

Au bord de l’étouffement Françoise déglutit, avec difficulté, avala le sperme qu’elle crut sentir couler tout le long de son oesophage .

La queue se ramollit quelque peu, Stephan la lui ôta de la bouche, et servile comme elle n’aurait jamais crue l’être un jour, elle lécha la dernière goutte sur le méat et entreprit la toilette de la bite qu’elle venait de déguster.

– A toi de t’amuser… proposa Miloud à Charles Passe moi l’appareil, je pren-drai les photos!

Stephan l’obligea à se relever, puis l’enlaçant il ordonna :

– Et si tu nous montrais ta chambre, ça changerait de décor les photos n’en seraient que plus variées…

Totalement soumise Françoise prit le chemin de son lit, la vue du jeté de lit rouge que venait de lui offrir son mari lui arracha un bref sanglot, Stephan profitait de sa position de suiveur pour lui palper les fesses, écartant les deux

hémisphères, il lui planta deux doigts dans le vagin et la trouva ruisselante de désirs.

Effectivement ses sens durement sollicités répondaient maintenant et même si tout son être se révulsait, sa chatte elle s’était préparée au corps à corps qui l’attendait.

Sans plus de tendresse superflue, Stephan la poussa sur le lit, elle s’y étala à plat ventre, l’envie de Stephan était telle maintenant qu’il ne perdit pas de temps en préliminaires, il la retourna sur le dos Beylikdüzü Escort et se jeta tout de suite, panta-lon baissé sur les genoux, entre ses cuisses largement ouvertes.

Sa bite trouva tout de suite la fente de Françoise, la parcourut sur toute sa lon-gueur avant de s’engouffrer dans le vagin dilaté, quelques va et vient dans son con ruisselant suffirent à le faire jouir et en bramant il gicla, lui emplissant le trou.

Un soupir de regret échappa à Françoise lorsque se relevant il abandonna son corps palpitant, ses sens insatisfaits protestaient, le rude assaut avait été trop rapide pour apaiser sa libido en ébullition.

Impatient Miloud l’attrapa par les chevilles, la retourna sur le ventre, et sans lui laisser le temps de respirer lui glissa un oreiller sous le ventre, faisant ainsi saillir sa croupe, sa position dégageant bien la minuscule rondelle de son anus.

Il lui écarta les fesses avec vigueur, plus calme pourtant que Stephan il prit le temps d’observer le sphincter annelé qui déjà se ridait d’angoisse .

Ne s’étant jamais fait enculer, Françoise appréhendait cette première, sûre qu’il allait maintenant réclamer le minuscule orifice qu’il s’était clairement réservé.

Miloud dirigea son gland sur l’anneau et entreprit de le forcer d’abord sereine-ment, puis devant son insuccès avec plus de rudesse.

Sa bite paraissait bien trop importante pour le petit trou de Françoise, elle dou-tait de ne jamais pouvoir l’absorber, sous les quolibets de ses copains Miloud n’arrivait pas à forer l’étroit orifice plissé .

Stephan après s’être éclipsé quelques secondes revint de la cuisine un paquet de beurre à la main :

– T’as déjà vu le dernier tango à Paris? dit-il le passant à Miloud qui, ricanant, enduisit largement son gland puis à deux doigts lui nappa l’entre fesse et le trou obscur.

La précaution était bonne, cette fois le gland franchit le goulot resserré, Fran-çoise crut qu’on lui enfonçait un tisonnier rouge dans le fondement, Miloud avait du mal à se contenir, il dut rester quelques secondes immobiles afin de

ne pas partir précocement .

Ce maigre temps de répit permit au cul de la belle odalisque de se faire à la taille de son envahisseur et à son esprit de se faire à l’idée de sa déchéance Miloud reprit son mouvement de bielle, à chaque poussée Françoise sentait son cul s’écarteler, à chaque fois elle craignait d’entendre se déchirer son périnée, enfin à force de persévérance, Miloud s’engloutit en entier dans le cul

maintenant dompté, ses couilles vinrent battre les fesses.

A nouveau il reprit son souffle avant d’animer à nouveau son bas ventre de profonds mouvements alternatifs qui la firent geindre.

Miloud se foutait de ce qu’elle ressentait, il n’était pas là pour lui faire prendre son pied, mais bel et bien pour la foutre et la plier à tous ses désirs.

Un dernier coup qui lui sembla presque remonter jusqu’à la gorge et elle sentit des flots de sperme se répandre dans son cul, lorsque Miloud se releva, il lui en avait injecté une telle quantité qu’elle le sentit sourdre de son cul poissant le couvre lit.

Ce spectacle avait rechargé les acculs de Stephan. Il s’étendit sur le dos et l’attira à nouveau à lui.

L’esprit totalement vide, telle une marionnette, Françoise de la main guida son nouvel envahisseur, elle le présenta à l’orée de son trou plus du tout secret et s’empala lentement sur le membre qui l’envahissait de sa totalité .

Ainsi, le chevauchant elle se sentait remplie à ras bord, sa matrice en était comblée.

– Charles appela alors Miloud, prends la par le cul, on pourra terminer le do-cumentaire!

– Non… Non… Pas ça, pas à deux… Ils vont me défoncer! Se plaignit Fran-çoise .

Mais inflexible, Miloud lui faisait signe d’y aller, et sous les éclairs de flash, Françoise sentit d’abord Stephan lui agripper les fesses, les écarteler en grand pour son copain.

Ce dernier se présenta, l’anus béait encore de l’enculage précédent, les bourrelets mauves de l’intérieur étaient parfaitement visibles.

Contrairement à ce que craignait Françoise le gland s’enfonça sans mal dans le cul bien graissé.

Bien vite elle sentit les deux bites se frotter l’une contre l’autre tandis que les deux jeunes hommes commençaient à ruer en elle.

Ils la fouillaient de leurs verges, sans cruauté excessive mais pourtant doulou-reusement, se massant au travers du périnée.

Ces deux conduits, heureusement grassement lubrifiés semblaient pleins à craquer, malgré elle, les dents serrées à craquer, elle se noya dans un abîme de jouissance.

Tous ses freins avaient sautés, des étoiles explosaient derrière ses paupières, sa croupe montait et descendait sur les deux queues, c’était elle maintenant qui s’enculait et s’enconnait sur les deux phallus, qui les retenait en elles, qui s’accordait au rythme des deux queues ébranlant tout son être .

Elle vibrait de tout son corps, pleinement actrice de son coït.

– Viens nous rejoindre dit Stephan à Miloud, et ce dernier posant son appareil sur la table de nuit, la queue à la main se planta devant sa bouche.

Elle la happa voluptueusement, lui faisant de sa gorge un écrin soyeux, ali-gnant sa tête de façon à permettre une intromission la plus profonde possible .

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

rus escort şişli escort keçiören escort bahçelievler escort escort ankara erotik film izle izmir escort izmir escort izmir escort kocaeli esgort kocaeli escort kocaeli escort istanbul travesti istanbul travesti istanbul travesti ankara travesti mecidiyeköy escort şişli escort Ankara escort bayan Ankara Escort Ankara Escort Rus Escort Eryaman Escort Etlik Escort Sincan Escort Çankaya Escort beylikdüzü escort bakırköy escort taksim escort mersin escort escort bursa escort bayan görükle escort bursa escort bursa merkez escort bayan sincan escort otele gelen escort Bahis siteleri porno porno bahçeşehir escort eryaman escort demetevler escort ensest hikayeler hurilerim.com kuşadası escort bayan Escort görükle escort escort escort escort travestileri travestileri etlik escort gaziantep escort gaziantep escort güvenilir bahis bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort xnxx Porno 64 alt yazılı porno bursa sınırsız escort bursa escort bayan porno izle bursa escort görükle escort antalya escort Anadolu Yakası Escort Kartal escort Kurtköy escort Maltepe escort Pendik escort Kartal escort şişli escort istanbul travestileri istanbul travestileri ankara travestileri ankara travesti linkegit erzincan escort erzurum escort eskişehir escort giresun escort gümüşhane escort hakkari escort hatay escort ığdır escort ısparta escort istanbul escort Antalya escort Escort bayan Escort bayan bahisu.com girisbahis.com bornova escort balçova escort mersin escort