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Découverte de la soumission 22MANON me tient la main, je suis dans le noir complet. Elle me guide jusqu’à l’entrée de l’entrepôt. Un casque audio est posé sur mes oreilles, il diffuse une musique techno déroutante.Je suis coupé totalement de tout ce qui m’entoure. MANON fait tout pour que je perde mes repères, elle a réussi. Je ne sais plus du tout ou je suis. Je marche maintenant sans me poser de questions, elle me tient la main. J’ai dû marcher une dizaine de minutes, au moins.Le sol de l’entrepôt est fait de carrelage, de béton lissé, et de parquet. La, je marche sur de la moquette ou un tapis. Je monte trois marches, MANON me chuchote à l’oreille. _Position une. Elle me fait écarter un peu plus les jambes, plusieurs mains me touchent, des bracelets sont attachés à mes chevilles puis fixés au sol. Des bracelets sont aussi fixés à mes poignets. Une grande et large ceinture est fixée à ma taille. Un gros collier est fixé à mon cou. On détache ma cage de chasteté, ma queue se dresse immédiatement. MANON me parle toujours à l’oreille, elle me demande de me plier en deux, de m’allonger sur une planche. Des mains me tiennent la tête et les bras. Mon cou se pose sur quelque chose qui semble l’entourer, mes bras sont légèrement écartés, mes mains sont elles aussi fixées. Mon ventre est plaqué sur la planche. Mon cul est plus haut que ma tête. Je suis immobilisé dans une position qui dévoile toutes mes parties intimes. Je ne peux absolument plus bouger. MANON me Félicite pour cette très belle position et me remercie pour mon obéissance.On m’enlève le casque. Je crois deviner des gens qui parlent, un léger bruissement me parvient de partout autour de moi. Puis je reconnais ma voix, je hurle ma jouissance, je remercie mes collègues, je m’entends parler de mes désirs, de mes envies. Je clame ma vénération pour mes collègues. Je parle de mes engagements, de mon désir de devenir l’esclave de toutes mes collègues, de mon Épouse….Ce sont toutes mes confessions intimes. On a gardé des phrases chocs. Je m’entends crier de plaisir, je reconnais ma jouissance. Je suis vraiment très très expressif. Cela dure assez longtemps. Le son de ma voix s’arrête, il est remplacé par un tonnerre d’applaudissements. Je suis entouré de bruits de voix, il y a beaucoup de monde.Je reconnais la voix de PATRICIA. _juju, nous venons toutes d’admirer une partie de tes magnifiques prestations. Nous sommes toutes la pour officialiser ton statut à l’entrepôt. Ma cagoule est retiré. Devant mes yeux, contre le mur, des images de moi sont projetées, le son semble venir de partout. Les séquences s’enchaînent. Je me vois en gros plan dans toutes les positions. Toutes plus humiliantes les unes que les autres. Tout est dévoilé, tout est montré, sans aucune pudeur. Les gros plans s’enchaînent. Il y a même des images de la cave de Maitresse S. Je peux voir mon cul largement ouvert et défoncé, mes éjacuations avec et sans la cage.Pas un détail de mon anatomie n’est oublié. La pose de ma première cage de chasteté, la deuxième, le fist de CÉLINE,… Tout, il y a absolument tout. Le plus fou c’est que pas une fois on voit clairement un visage féminin. Elles sont toutes floutées ou cachées. Je les reconnais toutes, mais il est impossible de les reconnaître réellement. Un projecteur est dirigé vers moi, la lumière m’aveugle. Il me faut plusieurs secondes avant de réaliser qu’il y a beaucoup de monde assis dernière moi. Je ne peux pas bouger ou tourner la tête, je ne peux que regarder devant moi. La lumière diminue, je me vois alors en direct à l’écran.Je suis attaché sur une sorte de table de massage réduite. Elle est fixé au milieu d’une estrade. Je suis surélevé d’un petit mètre. Tout est rouge, la table, mes bracelet, mon collier, la moquette. Cette mise en scène est impressionnante. Mon visage est maintenant en gros plan, puis l’angle change, c’est mon cul qui est exposé, mes couilles, ma queue toujours tendue. L’estrade bouge, elle tourne.Je peux voir alors au ralenti, toutes mes collègues assises dans des grands fauteuils, un verre à la main. Elles m’observent, me regardent, certaines avec un grand sourire, d’autres avec un regard sévère. Mon Épouse est là, elle trône au milieu, CÉLINE est sa gauche, PATRICIA à sa droite, puis vient LAETITIA, VANESSA, CORINE, la Directrice Madame FLORENCE , il y a aussi Maîtresse S et ANA, elle Escort porte toujours sa combinaison noire, puis une dizaine d’autres femmes que je ne connais pas. Je crois reconnaître trois femmes qui travaille pour la boîte. Je suis vraiment impressionné. C’est absolument fou. Elles sont toutes habillées de cuir ou de latex. On pourrait penser à des déguisements mais au contraire, elles sont juste extraordinaires.Je crois reconnaître des tenues de Maîtresse S. Elles sont vraiment magnifiques. Elles sont toutes a moins de trois mètres de moi. Je peux même sentir leur différent parfum.L’estrade continue de tourner, je refais un tour complet pour m’arrêter devant mon Épouse. PATRICIA se lève. _Mon petit juju, notre petit juju, il y a un peu plus d’un mois tu nous offrait un magnifique spectacle en solo. Ce soir nous sommes toutes la pour profiter d’un autre spectacle. C’est en effet le premier jour officiel de ta nouvelle vie, comme tu as pu le remarquer notre Directrice est présente, ainsi que plusieurs de tes collègues et amies.Notre Directrice générale est même descendue exprès de Paris,pour l’occasion. Tu as souhaité devenir l’esclave des Femmes de l’entrepôt. Ta dévotion, est louable et remarquable. Nous sommes toutes conscientes de ta nature profonde.Tu es un mâle soumis, un homme né pour nous servir, un esclave fait pour être à notre disposition.Tu es le mari de STÉPHANIE. C’est ta seule et unique MAITRESSE.Mais pour l’entreprise tu es notre esclave.Toutes les femmes ont maintenant, tous pouvoir sur toi. Rassure toi, ta vie ne sera jamais mise en danger. Maintenant, nous allons toutes te marquer, ainsi tu n’oubliera jamais qu’elle est ta place. L’estrade tourne, je suis face à l’écran.PATRICIA s’avance, elle monte sur l’estrade, elle tient une longue baguette dans ses mains. _Tu vas compter à voix haute chaque coup reçu en nous remerciant. As tu compris ?_Oui Madame PATRICIA. Je vois à l’écran son bras se lever puis s’abattre sur mes fesses. La baguette siffle dans l’air, ce n’est pas un jeu. La douleur est violente, fulgurante, soudaine. Je pouse un cri. _juju n’ai pas honte, tu peux crier autant que tu veux, mais n’oublie pas ma demande. Je me reprend rapidement, je me suis engagé à être parfait, je ne veux pas décevoir. _Un, Merci Madame Puis la Directrice prend sa place. _Deux, merci Madame. Son coup est moins fort mais tout aussi douloureux. Une femme que je ne connais pas, s’approche à son tour, elle me gratifie d’un terrible coup sur le haut de mes cuisses. _Trois, merci Madame. Puis une autre femme, je la reconnaît, elle travaille avec la DRH._Quatre, merci Madame. Les larmes commences à monter. La douleur est immense. Mes fesses, mes couilles, mes cuisses sont visées. Elles semblent toutes viser des endroits non marqués. Mon érection à maintenant totalement disparue. Elles changent de côté. Tiens, une autre collègue qui était dans le bureau de MANON lundi matin. _Cinq, merci Madame. Puis une autre salariée que j’ai déjà vu. _Six, merci Madame. Les larmes coulent, je ne peux pas les retenir. La douleur est insupportable. Je n’ai jamais aimé la v******e physique. La! c’est très très difficile à supporter. _Sept, merci Madame. Une autre femme s’avance, je ne l’a connais pas. _Huit, merci Madame. Puis une autre femme, et une autre, et encore une autre. Mon Épouse est venue à côté de moi, elle me parle à l’oreille en même temps. Elle me félicite, m’encourage, me réconforte, sa main est chaude, douce, elle caresse la tête, les épaules, le dos. Je vois à travers mes larmes, Maîtresse S s’avancer suivie d’ANNA. Puis c’est au tour de VANESSA, de LAETITIA, de CORINE, et enfin de CÉLINE. _Dix-sept, merci Madame. Mon Épouse reste seule sur l’estrade. Elle tourne autour de moi, je sens ses mains parcourir tout mon corps, s’attarder sur mes cuisses, mes fesses, mes couilles, elle semble parcourir des ses doigts chaque sillon qui zèbre mon corps. Mon sexe qui s’était recroquevillé renaît, il grandit. L’image de mon sexe qui durci et s’allonge passe en gros plan. On voit ses doigts entourer et gratifier ma queue de quelques vas et viens, puis elle stoppe ces délicieuses caresses. Je suis au bord de l’orgasme, je sens la jouissance venir, un simple frolement suffirait à me faire exploser. L’angle de la caméra à changé, je vois mon épouse en entier. Elle porte une guêpière Escort Bayan en cuir noir et rouge, sa poitrine généreuse est mise en valeur d’une façon délicieuse, des bas noirs dans une matière brillante semblent une deuxième peau. Une paire d’escarpins noir et rouge complète le tableau. Elle est tout simplement divine, c’est une Déesse. Elle tient la baguette entre ses mains, elle éprouve sa souplesse. Nos regards se croisent, je vois dans ses yeux une pure extase, de la fierté, de la puissance, de l’amour. Le temps s’est arrêté, comme dans un film au ralenti, son bras se lève, la baguette s’abat sur mes fesses dans un silence religieux. Le coup est violent, pas un son ne sort de ma bouche excepté. _Dix-huit, merci Maîtresse STÉPHANIE . Elle est encore plus radieuse, je veux qu’elle soit fière de moi. Je souffre pour Elle, je supporte mon supplice en silence pour lui montrer mon Amour. Elle change de côté, son bras se lève encore . Slack, un coup extrêmement fort. _Dix-neuf, merci Maîtresse STÉPHANIE. Je pleure, les larmes coulent sur mon visage, je suis silencieux. Elle me frappe si fort, j’ai si mal. Mon sexe est étrangement encore en érection, je suis si excité.Nous sommes seul au monde, plus rien n’existe que notre ballet à tous les deux. Elle passe sa main sur mes fesses. _Mon juju d’amour, encore un petit effort, le dernier, pour faire un compte rond, pour que tu n’oublies jamais que je suis ta Maîtresse.Et parce-que je le désire.Tu comprends mon juju d’amour ?Elle prend son temps, je la vois sur l’écran, un grand sourire illumine son visage. Elle passe la baguette sur mon cul, l’a descend jusqu’à mes mollets, l’a remonte. elle semble viser, elle lève son bras et me frappe un grand coup, peut-être le plus fort de tous. Je hurle en silence, les larmes ne s’arrêtent pas. Mon cul doit être en sang. _Vingt, merci Maîtresse STÉPHANIE. Elle vient devant mon visage, elle m’embrasse, essuie mes larmes. _Mon juju, je suis fière de toi, tu as passé ta première épreuve avec beaucoup de courage. Je t’aime. Un moment plus tard, des mains me caressent le cul, les cuisses, les jambes, on me passe de la pommade partout, je ressens un soulagement presque immédiat. Puis, des mains écartent mes fesses, un liquide coule dans mon trou, des doigts me pénètre, me fouille le cul. STÉPHANIE est toujours devant moi. _Détend toi, tu vas adorer ce moment. Laisse toi faire, lâche toi, libère toi. Profite, savoure ce moment, tu es parfait.Tu es notre jouet, on a toutes envie de jouer avec toi. Tu ne risques rien, juste prendre beaucoup de plaisir. Les doigts ont laissez place à un objet qui rentre dans mon cul. Deux mains me tiennent par la taille. STÉPHANIE m’embrasse et me dit à tout à l’heure. Sur l’écran, je vois à présent PATRICIA derrière moi. Elle tient entre ses mains un gode ceinture immense. Je le sent forcer sur mon cul. Il me pénètre. Lentement, centimètres par centimètres il s’enfonce inexorablement. Mon cul et mes cuisses me brûlent, la douleur atteint des summums. Je me sent défaillir, le gode continue sa lente progression. Je m’ouvre encore et encore, je transpire à grosses goûtes. Ma respiration et mon coeur se sont emballées. Je pousse des râles a****l.Je gémis, je hurle. Ses mains m’agrippent encore plus fermement les hanches. Rien ne peut arrêter ce gode immense, dressé entre ses jambes. Dans une dernière poussée son corps s’est collé à moi. Elle ne bouge plus, les brûlures de mes cuisses de mes fesses semblent avoir disparu. Au bout d’un moment, je la sens se reculer très lentement. Elle sort le gode entièrement, pour l’enfoncer d’un coup sec et rapide. Puis, Les mouvements s’accélèrent. Elle me baise, elle m’encule, elle se déchaîne. Les mouvements sont amples et rapide. La douleur, la brûlure de mon cul s’estompe, peu à peu le plaisir m’envahit. Je gémis, je couine, ce ne sont plus des cris de douleur mais des gémissements de plaisir qui sortent de ma bouche. J’aime vraiment me faire enculer.La sensation physique est décuplée par la présence de toutes ses femmes. Je me lâche totalement, je me fais prendre le cul, je m’offre avec un réel plaisir, tout mon corps exprime ma jouissance.L’écran me permets de voir le gode ceinture de PATRICIA, il est gigantesque. Je me sent écartelé, remplit jusqu’au plus profond de mon corps. PATRICIA s’est reculée, le gode Bayan Escort est toujours enfoncé dans mon cul.Le silence est maintenant total. Je suis toujours en gros plan sur l’écran. La Directrice est face à moi, deux autres femmes que je ne connais pas sont avec elle. _juju, mon petit salarié préféré, je te présente notre Directrice Générale Madame D. et Maître LOC qui est huissier de justice. Je veux qu’elles entendent de ta bouche, les choix que tu as fais. Es-tu vraiment volontaire pour devenir notre esclave ?_Madame la Directrice S, Madame la Directrice Générale D, Maître LOC. Je souhaite de tout mon coeur, de toute mon âme, devenir votre esclave. Personne ne m’a obligé, personne ne m’a imposé ce choix de vie. C’est un rêve qui devient réalité. Jamais je ne remettrai en question votre autorité, je ne causerait jamais de tords à l’entreprise. J’ai la chance, l’honneur, le privilège, de travailler avec les plus fabuleuses collègues du monde. Elles ont su me guider, me conseiller, m’accompagner dans mon évolution. Merci. Ma seule préoccupation est de vous satisfaire, vous toutes Mesdames. _C’est parfait juju, tu signeras ton nouveau contrat de travail un peu plus tard. Tout y est consigné, détaillé. Des clauses de confidentialité nous protégent devant la loi. Je te souhaite la bienvenue juju dans ton nouvel emploi, pour ton nouveau poste. Sache que toutes les femmes de l’entreprise peuvent t’utiliser, se servir de toi. Mais pour le moment, ton épreuve n’est pas terminée, nous sommes nombreuses encore à désirer t’essayer.C’est nouveau aussi pour certaines d’entre nous tu sais. Une femme se positionne derrière moi, PATRICIA l’aide à fixer et ajuster les sangles du gode. Mon visage est en gros plan, elle commence les va-et-vient, timide au début, elle accélère progressivement. Je vois dans son regard de la joie, du plaisir de me prendre le cul . Mes râles semblent lui plaire, elle aussi prend du plaisir, elle devient toute rouge, elle pousse un petit cri strident accompagné de petits mouvements saccadés, puis tout s’arrête. Le gode est toujours profondément enfoncé, elle s’est détachée avec l’aide de PATRICIA. Une autre prend sa place, je l’a connais, une secrétaire, elle aussi s’amuse avec mon cul. Les sensations deviennent surprenantes, je prends du plaisir, c’est une jouissance puissante qui me submerge, mais ça s’arrête brusquement, la femme me regarde, je vois dans son regard qu’elle aussi à pris beaucoup de plaisir. Elle est remplacée par une autre puis une autre, même la Directrice Générale et la Directrice m’enculent avec un plaisir non dissimulé. Le gode est sortit plusieurs fois entièrement, elles rajoutent régulièrement du lubrifiant, mon cul reste ouvert, la caméra montre mon trou béant et ma queue tressaillir. Je ne sais pas comment de temps ça a duré, j’ai joui plusieurs fois, mon sperme coule dans une assiette posée entre mes jambes. Je suis dans un état second. Tout mon corps est une zone érogène. La jouissance est permanente, c’est une vague ininterrompue de plaisir qui me submerge. Je n’ai plus conscience de ce qui m’entoure. Mon corps explose de jouissance. Ma vue se trouble, je crois que j’ai hurlé un grand OUI, puis plus rien. STÉPHANIE est devant moi, elle me parle, me caresse le visage, je crois que j’ai perdu connaissance. Mes liens sont défaits, la ceinture et le collier ont disparu. Le gode n’est plus au fond de mon cul, je suis toujours allongé sur le ventre, je ne sent plus mes jambes et mes bras.La voix de mon Épouse me raccroche à la réalité, je l’entend, la comprend, l’écoute. Elle me parle d’amour et de passion, de domination, de soumission. Je suis dans un état de béatitude hallucinant. Je suis parfaitement bien. Les sons de la salle me parviennent à nouveau. Les femmes parlent, rient, des verres tintent, des bouteilles de champagne sont ouvertes. CORINE est à côté de moi, avec mon Épouse elles m’aident à me redresser. Je prends conscience petit à petit de mes jambes, de mes bras, de ma tête. Mon cul et mes cuisses sont douloureuses. Mes jambes ne me tiennent pas. Heureusement qu’elles me soutiennent. Je lève la tête, les discussions se sont arrêtées, les regards semblent admiratifs, et bienveillants. Je descends de l’estrade, je découvre alors trois hommes presque nu, faire le service. Ils ont des plateaux garnis de petits fours. La table est recouverte de bouteilles, de verres, et d’un assortiment très fournit de petits fours sucrés et salés.Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il peut être. Je me sent très fatigué mais en même temps épanoui, heureux. J’ai vraiment eu un orgasme foudroyant.

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