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1 de 23: Mère et Fils, relation d’amouNote de l’auteur: Je me suis souvent demandé si cette histoire est une fiction ou une réalité. Mais savons-nous vraiment ou la réalité se termine et ou nos rêves commencent ?Note de reprise : J’ai repris cette saga, en la corrigeant tant pour les quelques fautes de typo et orthographe, mais aussi dans sa mise en page. J’espère que son rédacteur/traducteur fantome ne m’en voudra pas, mais ses textes sont d’une tel qualité qu’il serait dommage de ne pas les redécouvrir.Chapitre 1: Noël avec maman- OOhh, regarde…il neige !Maman me regarde avec de l’étonnement et de la joie sur son visage. On vient juste de sortir du centre commercial, les bras chargés des achats de dernière minute pour les cadeaux de Noël après plusieurs heures de shopping. Monsieur météo avait dit dans son bulletin “Possibilité de chute de neige” mais il y a déjà plus de 5 cm de neige et en regardant le ciel chargé çà devrait tomber encore pendant un bon moment.Alors que nous marchons à travers les flocons de neige, je ne peux m’empêcher d’admirer ma jolie maman avec ses longs cheveux noirs saupoudré de flocons de neige.Nous jetons nos cadeaux dans le vieux break de maman et partons à la recherche d’un restaurant. Dans un grill local, nous commandons des steaks et depuis notre siège à coté de la fenêtre nous regardons la neige qui tombe de plus en plus.- Je me demande si nous n’avons pas fait une erreur mon chéri. Dit ma mère. Nous aurions peut-être du rentrer directement en sortant du centre.Je hoche la tête en la regardant.- Peut-être bien ! Même le gars de la météo n’a rien vu venir. Ma mère est venue me chercher pour les fêtes de Noël. Je suis à l’université dans une grande ville du nord et j’ai un studio prés de celle-ci ce qui fait que je n’ai pas besoin d’une voiture. Maman qui habite à 200 Kms mais qui aime bien conduire c’est proposée de venir me chercher pour profiter des magasins de cette grande ville.Nous quittons le resto et il y a presque 10 cm de neige au sol. Le break de maman patine un peu et à la radio il annonce que la neige risque de tomber jusqu’à demain à midi. Près de mon studio, nous sommes bloqués par un camion qui a glissé sur le bas coté et pendant que la dépanneuse essaye de le tirer, maman en profite pour téléphoner.Maman découvre qu’a la maison ce n’est pas mieux et prévient papa qu’elle va rester avec moi au studio en attendant que les routes soient dégagées. Papa n’est pas heureux et engueule même maman d’avoir pris la route par ce temps. Maman le coupe en disant:- Tu ne vas pas en faire toute une histoire ! Toi et les jumeaux vous pouvez survivre quelques jours sans moi. Et probablement apprécier Noël encore plus. Elle est un peu peinée qu’il râle au lieu de s’inquiéter de sa sécurité si elle prenait la route.Maman raccroche le téléphone et essuie une larme dans le coin de son œil et me dit:- Eh bien, mon grand, je suppose que c’est juste toi et moi pour ce Noël.J’embrasse ma mère et un frisson passe à travers moi. Je dois avouer que l’idée d’avoir ma mère pour moi pendant peut-être plusieurs jours m’emballe vraiment. Je manquerais à mes frères et légèrement à papa, mais j’ai un cri de sincère vérité quand je réponds.- je ne peux pas imaginer une personne plus merveilleuse que toi pour passer Noël, maman.La route dégagée, nous arrivons tant bien que mal au studio et après avoir garé la voiture dans le box qui me sert de débarras nous grimpons les escaliers avec nos paquets et nous effondrons sur le canapé.J’allume la petite télé pour entendre un météorologue annoncer que nous allons avoir un Noël très blanc et qui nous conseille de s’installer confortablement au coin du feu avec la personne que l’on aime.Maman me regarde d’un sourire un peu mystérieux je lui rends son sourire en disant:- Tombe la neige… je reste là ce soir… tombe la neige…Nous sommes le 23 décembre 1975 et je vais passer Noël avec la femme que j’aime le plus au monde.Inspiré, je vais chercher dans le box vieil arbre de Noël synthétique que maman m’avait donné la première année au studio et que j’avais emballé avec ses décorations et guirlande électrique. Nous passons le début de soirée à le remettre en ordre et une fois en place nous apprécions cette décoration qui nous rappelle toujours des souvenirs d’enfance.Miraculeusement, la guirlande électrique s’allume du premier coup et maman frappe dans ses mains en sautant comme une gamine.Je ne peux pas m’empêcher de remarquer comment ses seins rebondissent d’une façon séduisante sous son chandail serré.Je mets une musique douce de Noël sur ma chaîne stéréo, nous éteignons toutes les lumières et blottis sur le canapé nous regardons notre arbre de Noël. Maman, ses pieds recroquevillés sous elle, se penche sur moi, mes bras autour d’elle et sa tête sur mon épaule.- C’est parfait… dit-elle doucement. C’est… c’est…- Romantique ?Dis-je en-là tirant contre moi.- Oui mon chéri, romantique, Me répond-elle en me regardant dans les yeux.- Voilà comment j’aurais toujours voulu passer Noël avec votre père. Blotti sur un canapé avec l’homme que j’aime, mais… Eh bien… tu sais comment il est.Et elle reste sur ce non-dit.- Oui, je sais. Il faudra que tu te contentes de moi et faire comme si j’étais ton amour…Dis-je en plaisantant, mais réalisant qu’elle pourrait le prendre comme un flirt.-En fait Dany, je préfère être avec toi. Tu sais toujours exactement ce que j’aime. Je ne peux pas imaginer quelqu’un d’autre en ce moment. Je te remercie d’être là pour moi.Ma mère se lève et m’embrasse sur le coin de la bouche.- Je t’aime mon fils.Je me penche vers elle et je réponds.- je t’aime aussi, maman et je lui rends son baiser.Je rate le coin de sa bouche et j’embrasse ses lèvres. Je ne me précipite pas pour m’écarter d’elle et le baisé a peut-être duré cinq secondes.Maman halète un peu quand je recule légèrement et me regarde comme si elle voulait encore m’embrasser. Nous restons les yeux dans les yeux pendant longtemps et l’air est plein de tension. Enfin, elle me sourit et se penchant vers moi à nouveau pour mettre sa tête sur ma poitrine.- Oui, c’est très romantique, murmure-t-elle,Et silencieusement la tension diminue.Ce moment magnifique et romantique à duré longtemps, heureux d’être dans les bras l’un de l’autre.Comme nous approchons de minuit, maman bâille et dit,- je crois que je vais aller au lit. La journée a été longue mais intéressante. Puis;- bon Dieu, je n’ai rien pris avec moi ! Je m’attendais à être rentré à la maison maintenant!Elle se lève et en s’étirant ajoute;- Puis-je t’emprunter un T-shirt ou quelque chose du genre pour servir de chemise de nuit ?Intérieurement, je bouille de désir. Si seulement maman savait combien de garçon pense voir une femme dans l’une de leurs chemises. Je ne sais pas pourquoi, mais je crois bien qu’il y a un gars qui ne serait pas excité par la vue d’une belle femme qui ne porterait rien d’autre qu’une de leurs chemises.- Je suis sûre que nous pouvons trouver quelque chose, maman. Sauf si tu veux rester naturelle comme tante Lilly ?La Sœur de maman est tristement célèbre pour ses habitudes de nudiste.Maman sourit légèrement et dit:- dans tes rêves, Dany. Et tu ne voudrais surement pas voir le corps relâché d’une vieille dame !En fouillant dans le tiroir de ma commode je retire un vieux sweat-shirt, confortable, et le jetant à ma mère je réponds:- Je pourrais être surpris.Maman rougit et dit:- je vais aller me changer. Tu me prépare le canapé en attendant ?Maman va dans la salle de bain en me souriant et elle ferme la porte.Je me change aussi pour enfiler T-shirt et un short de sport ample salle de gym. Ensuite, je change les draps de mon lit et je vais faire le mien sur le canapé. Pas question de faire dormir maman sur mon canapé. D’ailleurs je m’endors là la moitié du temps de toute façon.Je suis assis quand maman ressort de la salle de bain et sans réfléchir je siffle avec un regard admirateur. Maman est franchement délicieuse dans mon sweat-shirt. Il moule parfaitement sa poitrine, attirant l’attention sur ses seins magnifiques d’une belle grosseur et il tombe à mi chemin sur ses cuisses mettant ainsi ses longues jambes en valeur et la rend très sexy.- Tu veux bien te taire, Dany. Je ne suis pas une de tes conquêtes… je suis ta mère !Elle grogne mais je vois bien qu’elle est contente de ma réaction. En tout cas, elle reste plantée à la porte de la salle de bain, les mains sur ses hanches, s’exhibant devant moi pendant plusieurs secondes. Enfin, elle s’avance doucement en tirant sur le bas du Sweat-shirt comme si elle avait peur d’en montrer trop devant moi.- Mon lit est prêt ?- Ouais, j’ai changé les draps de mon lit. Tu es mon invité et je t’offre mon lit ce soir. – Pas la peine mon cœur, je serais très bien sur le canapé.Nous bataillons pendant quelques minutes, ce qui me donne une excuse pour reluquer le corps sexy de ma mère. Enfin, d’une voix exaspérée, je lui dis,- Maman, arrête de discuter et tu vas dans mon lit !Maman me jette un drôle de coup d’œil et je réalise le double sens de mes mots. Le rouge me monte aux joues ce qui fait sourire maman d’une façon bizarre et elle dit d’une voix calme.- Eh bien, je suppose que quand un fils ordonne à sa mère d’entrer dans son lit, elle ferait mieux de faire ce qu’il dit !Elle m’embrasse pour me dire bonne nuit et cette fois sur mes lèvres. Je ressens une nouvelle fois ce petit frisson avant qu’elle n’ajoute.- Bonsoir mon fils, je t’aime.Je la regarde s’éloigner et réponds.- Je t’aime, maman. Bonne nuit.J’éteins la télévision, puis la lumière et nous sommes dans une obscurité partielle, notre seul éclairage étant les lumières multicolores de notre arbre de Noël.Nous avons tous deux du mal à dormir. J’entends les ressorts de mon vieux lit grincer quand maman se tourne et se retourne plusieurs fois avec quelques lourds soupirs. Moi aussi je suis agité, mais pas à cause du canapé, mais en raison de cette étrange tension qui flotte dans mon studio. Tous mes sentiments pour ma mère remontent à la surface et je me demande si je vais être capable de les retenir pendant que maman sera avec moi dans cet espace réduit. Finalement, j’entends la respiration de maman se stabiliser pour devenir un léger souffle. Je commence a réfléchir sur notre vie ensemble et ou nous en sommes en cet instant.En grandissant, je pense que j’ai toujours su que j’avais un lien particulier avec ma mère. Peut-être parce que je suis le premier et que j’ai failli mourir d’une grave maladie et si je suis encore de ce monde c’est grâce à la détermination de maman. Ou bien c’est écrit d’avance… notre destiné en quelque sorte. Nous naissons avec de puissants liens qui nous relient à d’autres personnes, certains que nous rencontrons seulement plus tard dans la vie, et certains qui nous lient toute notre vie à quelqu’un.En tout cas, tout au long de mon enfance et dans mes premières années d’adultes, je sais que notre relation était plus étroite qu’une simple relation mère et fils et maman le sait aussi. Nous étions comme des amis qui peuvent lire dans la pensée de l’un ou de l’autre. Toujours ensemble, nous étions inséparables. Je suppose que çà devait paraitre un peu bizarre aux yeux de mes frères et, parfois, même de mes amis. Quand mes potes jouaient dehors ou allaient faire certains trucs, je préférais rester traîner avec maman, l’aidant dans la cuisine ou dans le jardin ou simplement la regarder s’agiter dans la maison.Mon père m’appelait “le bébé a sa maman” pour me taquiner mais je voyais bien que je n’étais pas le genre de fils qu’il aurait aimé car j’avais peu d’intérêt pour le football ou la chasse qui sont ses principales obsessions dans la vie. Mes jeunes frères furent beaucoup plus à son goût, et une fois qu’ils ont commencé à s’intéresser à ses loisirs, il m’a peu à peu ignoré ce qui est très bien. Pendant qu’il s’occupait avec mes frères, j’avais plus de temps à passer avec maman.Lors de mon adolescence, j’ai réalisé que j’étais éperdument amoureux de ma mère. J’ai été attiré par elle dès ma puberté et maman a été le centre de mes fantasmes d’adolescent, mais il a fallu un certain temps pour comprendre que ce que je ressentais était plus qu’un désir sexuel d’adolescent. Je me sentais simplement plus heureux quand elle était près de moi, et qui pourrait me blâmer ? Maman est la plus merveilleuse personne que j’ai connue. Maman est aimable et généreuse et aimante et à mes yeux, la plus belle femme du monde.Ma mère a quarante-deux ans et mesure 1,72. C’est une belle femme qui attire les regards des hommes car elle a une grosse poitrine lourde avec de beaux tétons longs et épais qui se remarquent tout de suite si elle porte un pull léger ou s’il fait froid. Maman a un ventre légèrement bombé et des hanches larges probablement dû à ses 2 accouchements mais sa silhouette reste très voluptueuse. Elle est fière de ses longues jambes qui sont encore très bien faite et sexy et elle choisit toujours une robe qui les met en valeur.Assez pale de peau et avec de beaux yeux brun-vert sur un fin visage encadré par des cheveux épais et noir qui descendent sous ses épaules. Je ne manquais pas une occasion lorsque cela était possible, pour enfoncer mon visage dans sa crinière sombre, savourant le parfum de ses cheveux. Maman semble toujours avoir un parfum de jasmin autour d’elle, qui, mélangé avec son propre parfum naturel provoque toujours une réaction en moi.Pour sa part, je pense que maman c’est progressivement rendu compte de mes sentiments pour elle et a probablement reconnu qu’elle avait des sentiments plus que chastes ou maternelles à mon propos. Elle me dit souvent que je ressemble à son père qui est mort avant qu’elle ne rencontré mon père et que je suis le plus bel homme qu’elle connait. Bien sûr je la crois et je fais tout pour entretenir mon corps musclé.En tout cas, maman et moi avons souvent agi plus intimement que la norme le voudrait entre une mère et son fils. A mon anniversaire des 18 ans nous avons même légèrement flirté et par la suite elle me traitait plus comme un conjoint que comme un fils. Parfois, maman se rendait compte que ça devenait limite, voire dangereux, et elle m’évitait pendant un jour ou deux. Mais comme une espèce d’insecte volant attiré par une bougie, nos anciennes habitudes familières reprenaient le dessus au risque de se bruler les ailes.L’éloignement de mon Université à calmé ce jeu dangereux et nous nous sommes jamais vraiment retrouvés dans une situation qui pourrait inciter notre attraction mutuelle d’aboutir à quelque chose d’autre.*******************Je me réveille et encore un peu dans les vaps je me souviens d’un fatras de rêves érotiques impliquant maman et moi, comme j’en ai eu beaucoup depuis que je suis un adolescent. Je me sens aussi excitée et mon short de gym que j’ai gardé en me couchant est tendu par une énorme érection matinale. Je m’extrais des draps pour entendre ma mère dire joyeusement.- Bonjour mon chéri, mon fils à bien dormit ?Je la regarde et mon érection est encore plus douloureuse. Maman est dans le coin cuisine de mon studio, encore vêtu de mon sweat-shirt et exhibe ces jambes sacrément bien foutues. Ses longs cheveux noirs un peu hirsute par la nuit tombant dans son dos la fait ressembler à une déesse arrivant dans ma chambre pour m’extraire des bras de Morphée. Elle est en train de me faire des œufs sur le plat !- Bonjours maman, ça sent bon…J’apprécie cette sensation de me réveiller ainsi pour trouver une femme sexy qui me fait le petit déjeuner.Je me levé et je m’étire réalisant trop tard que mon érection est parfaitement visible sous mon petit short. Maman qui regarde par-dessus son épaule me lance:- C’est prêt dans cinq minutes, Dany. Mais tu ferais mieux de prendre soin d’une certaine chose avant que çà n’explose.Encore une fois, je me sens rougir et je me précipite vers la salle de bain pendant que maman rigole. Je fais pipi pour faire débander ma queue et m’asperge le visage d’eau fraiche. En attrapant ma serviette je vois sur une des barres un slip de maman. C’est un slip standard mais il me suffit de la voir pour que ma bite recommence à gonfler encore une fois. Je tends ma main et je la touche. Elle est un peu humide, illegal bahis et je réalise que maman doit l’avoir portée cette nuit car elle sent encore son parfum caractéristique (et oui, j’ai souvent eu l’occasion de renifler les culottes sales de maman). Ma bite, tout d’un coup, a des secousses quand je me demande ce que maman porte ou pas sous mon sweat-shirt.J’essaye de positionner mon short pour cacher mon le plus gros de mon renflement et retourne avec précaution dans la pièce principale.Maman entend le craquement du plancher et crie:- Bébé, le petit déjeuner est presque prêt, où mets-tu ton grille-pain ?Je me tourne vers le coin cuisine et je reste figé dans mon élan. Maman est penchée sur l’un de mes placards bas entrain de fouiller dans mes ustensiles de cuisine. Son sweat-shirt est remonté vers le haut, exposant pleinement son cul, ses magnifiques fesses rondes et… sa chatte ! J’ai déjà eu auparavant l’occasion d’apercevoir furtivement la chatte poilue de maman dans sa salle de bain mais là…dans cette position… les lèvres de sa chatte sont très bien exposées, comme des pétales d’une fleur poussant sur son gazon pubien, s’ouvrant pour dévoiler une fine ligne rose et luisante de la chair de sa chatte. C’est le plus sacré des Graal pour moi. J’ai tellement rêvé de voir la chatte de maman et maintenant est sous mes yeux !- Je n’arrive même pas à répondre et je bredouille quelque chose d’inintelligible.Maman tourne sa tête pour me regarder et voyant mon expression se rend compte immédiatement de ce qui cause mon trouble.- OH ! Dit-elle en se redressant. Je suis désolé, Dany!Nous restons quelques secondes à nous regarder un peu embarrassé puis maman:- Mais putain ! Il est ou ce grille-pain !- Heuuu, là-haut…En indiquant le placard du haut. Mes yeux reviennent sur le bas du sweat-shirt, espérant avoir la chance voir une nouvelle fois la chatte de ma mère.Ma mère se retourne essayant de faire les choses normalement. Elle lève son bras et ouvre la porte du haut et sur la pointe des pieds essaye d’att****r le grille-pain. Tournant la tête elle me dit:- Tu veux ton pain grillé comment ? Beurre ou…bon sang !Maman s’est rendu compte trop tard que pour atteindre le grille-pain, elle expose de nouveau son cul à mon regard. Je ne vois pas sa chatte aussi bien que la première fois mais j’apprécie la vue de ce renflement couvert de poils noirs et bouclés et de ses fesses pulpeuses.Elle se retourne essayant de tirer vers le bas son sweat-shirt, mais j’ai eu le temps de voir son pubis noir avant. Maman a un beau tapis de poils pubiens noirs un peu un indisciplinés qui forment un “V” qui monte au-dessus de sa chatte pour se désépaissir progressivement sur son bas-ventre.Les joues de ma mère sont rouges comme les miens et nous nous regardons ainsi pendant quelques secondes, jusqu’à ce que nous éclations de rire. – Bon, att**** le grille-pain, Dany.Le grille-pain en main je me retourne et je vois qu’elle fixe mon entrejambe. Je baisse mes yeux pour voir que ma bite tend le tissu comme le mât d’une tente. Si elle continue de me fixer ainsi je vais finir par trouer le tissu de coton.- Mon Dieu, Dany. Je suis ta mère ! Et ce n’est quand même pas la première chatte que tu vois.- J’essaye de rire mais ça sonne faux;- Non, mais… c’est la plus jolie que j’ai jamais vu. Maman, tu es belle!Et essayant de mettre un peu de distance entre nous.- Mon garçon on ne dit pas de telles choses à sa mère me rappelle-t-elle.Je sens qu’on atteint le seuil critique dans notre relation et dit:- Oui, mais…tu es tellement belle. Tu es la plus merveilleuse des femmes.E m’avance vers elle pour lui avouer mes sentiments, mais elle me coupe.- Bon, ça suffit. Considère ceci comme un petit cadeau de noël avant l’heure. Maintenant avale ton petit déjeuner avant que çà ne refroidisse.Je connais bien cette pointe d’énervement dans sa voix et ça veut dire qu’aucune discussion supplémentaire n’est autorisée.Je hoche de la tête et je vais prendre mon café sur la tablette du coin cuisine. Nous avons déjeuné dans un silence inconfortable. Je me tortille sur mon siège, essayant de ne penser à rien et ainsi de faire baisser mon érection, mais chaque fois que je regarde maman, je revoie sa chatte et ma bite se redresse immédiatement.Maman fait tomber sa fourchette pour la deuxième fois et je réalise, quand se baissant pour le ramasser, elle regarde furtivement mon érection sous la table. Elle recommence son manège encore deux fois avant que nous finissons notre petit déjeuné et son visage était maintenant très rouge. Je vois d’après le soulèvement de ses seins qu’elle essaye en vain de contrôler sa respiration.J’essuie la vaisselle du matin alors qu’elle prend sa douche. Elle pend une très longue douche. À un moment il me semble l’entendre crier et je frappe à la porte.- Maman… tout va bien ?- Heuuu, ouiii, Dany j’ai juste fait tomber le savon hors de la douche. Répond ma mère d’une voix tremblante.- Je serais dehors dans quelques minutes.Une pensée me traverse le cerveau et je rougi de nouveau. Je me suis demandé si ma mère se masturbait… en pensant à moi… à ma bite !Quand maman sort de la salle de bain avec son jeans et son pull je vois ses joues qui sont un peu rouges. Maman renifle son chandail et dit:- Je ne sais pas quoi faire. Je n’ai pas d’autres vêtements, et ceux-ci vont sentir la sueur dans peu de temps.- Eh bien, j’ai beaucoup de pulls et de pantalons de survêtement. Ça pourra faire l’affaire en attendant que lave tes affaires.Je passe dans la salle de salle de bain qui sent le jasmin, le savon et autre chose qui flatte mes narines et ma bite qui devient dure comme du fer.J’imagine surement mais je sens l’odeur si caractéristique du jus de maman comme si je reniflais sa culotte. Depuis mon réveil je n’arrive pas à débander.En sortant de la salle de bain ma mère à enfilé un vieux costume jogging bleu et regarde dehors par la fenêtre. Sur le sol un petit tas de vêtements, jeans, pull, soutien-gorge et chaussettes. La veste du jogging est ouverte et elle a mis un T-shirts de l’école. Le tissu de coton moule bien ses seins et les tétons épais pressent le tissu pour chercher la liberté, durci par l’air frais qui s’infiltre dans le cadre de la fenêtre.- Regarde Dany, c’est un paysage hivernal. C’est beau.Et elle a raison. Près de 30 cm de neige et pratiquement rien ne bouge. Il n’y a pas de voitures et quelques personnes luttent dans la neige profonde à la recherche d’un magasin de quartier qui serait ouvert. Au loin, dans un petit parc des enfants jouent avec la neige.Je mets mon bras autour de ses épaules et je la tire contre moi. Je ne peux m’empêcher de mettre le bout de mes doigts dans le bas de ses seins. Maman glisse son bras autour de ma taille et penche sa tête sur mon épaule et nous regardons la neige qui tombe encore légèrement sur la ville.- Je suis désolée de mettre énervée tout à l’heure, chuchote ma mère. J’ai eu peur.- C’est rien maman, et quoi qu’il arrive, je suis content de passer Noël juste avec toi. Mais je suis peut-être égoïste ?Maman glousse légèrement et me regarde amoureusement.- Peut-être un petit peu et peut-être que je suis aussi égoïste que toi. Je suis heureuse que nous puissions être nous-mêmes cette fois-ci. Tu me manque beaucoup et j’avais besoin d’être avec toi. J’ai juste besoin d’un peu de temps…Et sur la pointe des pieds elle m’embrasse sur les lèvres, en frémissant un peu. Ses mains viennent derrière ma tête et elle continue de m’embrasser. Un baiser toujours chaste, mais insistant, ses lèvres chaudes et douces contre les miennes. Maman se colle contre moi, ses seins entrent en contact avec mon corps et je sens ses tétons durs. Je peux aussi sentir le cœur de maman battre sauvagement comme le mien. Le baiser prend fin, et maman recule juste un peu.- C’est… c’est sympa, mon grandDit ma mère d’une voix altérée. Elle baisse ses yeux et semble soudain réaliser comment ses tétons sont tendus. Timidement, elle referme la veste du jogging en montant la fermeture éclair et d’un ton plus clair – Ou est la machine à laver pour mes vêtements ?- Dans le box, mais je n’ai pas de sèche-linge.- Ça va prendre une éternité à sécher !- On les mettra sur le radiateur… Nous allons mettre le lave-linge en route et on sort dehors emmitouflés dans nos manteaux et nous nous dirigeons vers l’épicerie.Maman appelé à la maison et a parlé aux garçons. Papa avait l’air vachement embêté pour faire le dîner de Noël sans elle mais maman lui a dit brusquement de mettre son nez dans un livre de recettes.Maman lui a souhaité ainsi qu’aux jumeaux un joyeux Noël en attentant de pouvoir rentrer à la maison.En sortant du magasin maman m’a pris le bras et en soupirant à dit.- Nous fêterons Noël tous les deux et heureusement nos cadeaux sont chez toi.Je m’arrête pour l’embrasser au bord des lèvres avant de répondre:- J’ai déjà mon cadeau. Je suis avec la plus belle des femmes pour Noël ! Et c’est ma maman chérie.Et là, au milieu d’une rue j’embrasse ma mère. Encore une fois, c’est un baisé chaste, mais long. Les bras de maman sont de nouveau autour de mon cou et elle se penche vers moi en tirant mon corps contre le sien. Une chaleur semble se propager de ses lèvres pour me réchauffer de sa chaleur et de son amour. Je vois vaguement des passants passer près de nous dans la neige qui pour la plupart sourient en voyant un couple d’amoureux s’embrasser dans la neige.Près du petit parc il y a une colline ou quelques adultes et enfants font de la luge. Nous les regardons pendant un certain temps, puis maman dit:-Ils s’amusent bien. Tu n’as pas envie de faire comme eux?Je souris et réponds:- Cela me rappelle quand j’étais gosse mais nous n’avons pas de luge.Maman hausse ses épaules et dit:- Qui a dit qu’on a besoin d’une luge…Avant que je me demande ce qu’elle veut dire elle me fait tomber sur les fesses et je glisse vers le bas sur mon dos.Arrivé en bas je ne sais pas si je dois rire ou non, mais en voyant rigoler les enfants je me mets sur mes genoux et je vois ma mère qui se tord de rire.Tellement qu’elle glisse et la voilà qui dévale la pente à son tour. Je l’ai reçue dans mes bras et nous avons rigolé tous les deux. Enfin, elle me tend ses mains et dit,- Aide-moi à me relever. J’ai plein de neige dans mon pantalon !J’essaye de tapoter le pantalon de son jogging sur ses fesses mais elle sursaute.-Putain, c’est froid ! J’ai de la neige dans les fesses !Ça me fait rire plus fort et du coup elle prend une boule de neige, m’att**** par les épaule et me fourre rapidement de la neige dans mon pantalon. Je hurle quand je sens la glace dans mon entre jambe et maman;- Voilà ! Tu sais ce que ça fait maintenant !Elle se met à rire et quand je veux l’att****r elle se met à courir et quand je la ratt**** nous glissons contre une congère. En jouant et criant je prends de la neige et je soulève sa veste pour frotter son ventre, mais je sens soudain mes doigts frôler quelque chose, lourd et charnu. Les cris de maman s’arrêtent subitement car nous réalisons tous deux que je viens de toucher sa poitrine nue. Le temps semble ralentir. Nous nous regardons quand mes doigts se posent sur ses seins puis je la retire en m’excusant.- Désolé, maman, excuse-moi.Maman voit mon ennuie sur mon visage et immédiatement tente de minimiser la situation- Aaah, tu es désolé !Elle rigole et me fout de la neige sur la figure. Elle se dégage et court plus loin pour s’adosser contre un arbre. Elle resta là, la respiration haletante, me regarde et je vois qu’elle a de belles joues rouges et les yeux brillants, ses cheveux noirs tombant sur ses épaules. Mon dieu qu’elle est belle…Je me rapproche d’elle, main ouverte sans neige et elle ouvre ses bras pour me blottir contre elle. Mes lèvres trouvent les siennes et nous nous embrassons à nouveau, bouche fermée, mais c’est tout de même exaltant. Alors que nos lèvres sont l’une contre l’autre, nos cœurs battant, maman ouvre ses lèvres légèrement et je sens un petit bout de sa langue contre mes lèvres. J’ouvre mes lèvres et j’accueille la langue inquisitrice de ma mère.Maman gémit un peu, son corps se presse plus contre le mien et nous nous embrassons comme deux jeunes amoureux. Je sens son entrejambe enserrer ma cuisse et ses bras serrés autour de mon cou, elle me tire plus près et notre premier vrai baiser devient plus passionné. Quand maman lâche mes lèvres un petit filet de salive reste accroché entre nos langues avant de se casser et d’éclabousser les lèvres de maman. Elle lèche ses lèvres lentement de sa langue comme si elle en savourait le gout.Maman frissonne et dit.- Mon chéri, je pense que nous serons mieux à la maison.De retour à mon immeuble, nous récupérons le linge dans le lave-linge et grimpons dans mon studio. Maman à du mal à monter les marches et tient son pantalon qui est un peu grand pour elle et qui, tout mouillé, a tendance a glisser.Je cherche mes clés mais avec la pile de vêtements mouillés ce n’est pas facile. Je dis à ma mère.- Tiens prends ça pour que j’ouvre la porte.Maman tend ses deux mains et son jogging tombe à ses pieds. Les clés dans ma main, prêt à ouvrir la porte et regarde ma mère qui est maintenant nue de la taille aux pieds ! Son buisson noir est comme un aimant à mes yeux. Je ne peut m’arrêter de fixer cette douce vision entre les jambes de maman ! Maman émet un bruit bizarre puis c’est un ” Merde” tonitruant.Elle baisse ses yeux et soupir.- Je suppose qu’aujourd’hui je suis destinée à te montrer ma chatte…Elle resta là, ses bras chargés de vêtements mouillés et puis dit, tapotant du pied,- Eh bien, Dany, qu’attends tu…il fait froid ici! En me jetant son soutien-gorge humide sur la figure.- Désolé, maman !Je me tourne et essaye de déverrouiller la porte mais il me faut quelques secondes avant de me retourner pour voir de nouveau ma mère à demi nue.Maman le visage rouge me regarde en roulant des yeux- Aaah je te jure…les hommes tous les mêmes !Et elle se précipite dans le studio.Moi j’admire ses belle fesses rebondies pendant qu’elle pose les vêtements propre mais mouiller sur une chaise et annonce:- Dany, je suis gelée, je vais prendre une douche chaude.Maman retire ses bottes puis sort son pantalon de jogging. En marchant lentement et moitié nue vers la salle de bain, maman laisse tomber sa veste de jogging et tire son T-shirt au-dessus de sa tête et le laisse aussi tomber au sol. Figé, la bouche ouverte, je regarde le corps nu de maman qui se dirige vers la salle de bain. À la porte, elle se tourne, me donnant une vue splendide sur son corps, en particulier ses seins magnifiques, vus de profil. Les tétons de ma mère sont gonflées, étonnamment long et épais qu’ils me mettent l’eau à la bouche. J’en bave d’envie et ils réveillent mon appétit sexuel.- Mon cœur, je vais avoir besoin de vêtements secs quand j’aurai fini.Et elle disparaît dans la salle de bain, fermant la porte derrière elle. Maman reste un bon moment sous la douche et quand elle réapparaît, elle a retrouvé ses esprits car elle se cache derrière la porte pour me demander de lui passer des vêtements. Après le dîner, j’essaye de faire dévier la conversation sur notre attirance mutuelle mais ma mère ne me suit pas sur ce terrain.- Dany, j’ai besoin d’un peu plus de temps. Nous sommes très proche mais s’il te plaît sois patient, je suis ta mère et … enfin… tu dois me comprendre. Nous avons passé la soirée à regarder un vieux film assis sur le canapé côte à côte avec une couverture drapée au-dessus de nous. Le corps de maman est néanmoins fermement pressé contre le mien. Je peux sentir ses seins bouger comme elle respire. Nous nous tenons la main et de temps en temps, maman la presse plus fort quand le film est sur une séquence d’amour et elle m’embrasse chastement.Après le film, nous regardons les infos et la météo qui prévoit encore de la neige pendant la nuit. Maman se lève et me dit qu’il est temps de se mettre au lit. Passage par la salle de bain et pendant ce temps j’enfile un pyjama short et un T-shirt et j’écoute a la radio un air de blues. Maman ressort seulement en sweat-shirt, sexy comme l’enfer, car elle me permet de voir ses jambes galbées et je me demande si elle a quelque chose en dessous.- Muuummm, j’aime illegal bahis siteleri cette musique, Dany, Dit ma mère en se balançant sur ses jambes.- Veux-tu danser maman ?Elle a un grand sourire- J’adorerais, Dany !J’éteins les lumières, allume les lumières du sapin de Noël et prends maman par la main pour l’emmener au milieu de la pièce en face de l’arbre de Noël clignotant. Maman met ses bras autour de mon cou et moi autour de sa taille et nous dansons lentement sur cette musique douce.Maman posa sa tête contre ma poitrine et murmure,- Je t’aime, Dany.J’ai presque une crise cardiaque et je chuchote;- je t’aime, Sabine.Maman pousse un soupir et elle se blotti contre moi.- Chéri, fais-moi une faveur. En public, lorsque cela est nécessaire, appelle-moi Sabine, mais quand nous sommes seuls comme ça, s’il te plaît n’oublie pas de m’appeler maman.Elle lève la tête pour me regarder en face, ses yeux brillants d’amour et je pense de désir.- Quoi que nous fassions ou que nous devenions l’un pour l’autre, toi et moi nous serons toujours mère et fils. N’oublie jamais çà Dany.- Maman, je ne veux surtout pas l’oublier. Je t’aime tellement, maman.Nous continuons à danser, nos corps moulés l’un contre l’autre et nos cœurs à l’unisson. Je serre encore plus fort maman contre moi, savourant sa chaleur, sa douceur contre mon corps et mes mains glissent vers le bas de son Sweat-shirt et je réalise que je tiens maintenant ma mère par ses fesses. Sa peau est douce et chaude au toucher. Je m’aperçois aussi que je suis aussi dur que du granit et que ma bite appuie sur le ventre de maman.Maman pousse un gros soupir et semble se rendre compte comment je la tiens contre moi mais attend la fin de la chanson pour se dégager. Et pour clore le tout la chanson se termine par “.. .Si seulement dans mes rêves”. – Eh bien Dany, nous ferions mieux d’aller dormir un peu. C’est presque Noël.Maman se lève et m’embrasse doucement sur les lèvres.- Bonne nuit, Dany. Je t’aime, mon garçon.- Je t’aime, maman. Bonne nuit.Je regarde maman monter dans le lit. Je me couche sur le canapé et encore une fois, j’entends maman soupirer de temps en temps et elle met du temps à s’endormir.Je pense et j’espère que nous allons devenir plus que mère et fils. Notre raison et notre éducation nous bloque encore mais je ne peux m’empêcher d’être amoureux de ma mère et de la désirer. Je suis plus que prêt à franchir le pas et avoir une relation i****tueuse et je crois que ma mère est dans le même cas. Elle doit juste laisser son désir envahir son esprit et lui faire oublier ce principe des temps moderne qui veut qu’une mère ne couche pas avec son fils. C’est Noël et j’espère un miracle.Je me réveille soudainement. Je regarde ma montre, il est presque 1 heure du matin. Maman se tient à côté de l’arbre de Noël et regarde par la fenêtre la neige tomber. Elle est baignée dans une lueur multicolore des lumières de l’arbre. Maman a retiré mon sweat-shirt et portait un joli déshabillé. Blanc, je pense, mais de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel reflétées par les lumières de l’arbre de Noël.- Maman ? Ça va ?- Oui… viens voir, chéri.Je sors du canapé juste en short et je la rejoins. Elle prend ma main, se retourne et me guide derrière elle, et mon bras s’enroule naturellement autour de sa poitrine. Elle s’appuya contre moi, son cul ferme et doux s’enfonçant dans mes cuisses. C’est comme si elle était nue car en regardant vers le bas je vois son corps admirable.Les seins de ma mère sont bien visibles dans le décolleté généreux et couvert partiellement par un tissu transparent qui ne cache rien. Je peux même voir, juste à droite de son téton gauche tout gonflé une tache de rousseur. Ses seins bougent au rythme de sa respiration qui tente de rester calme.- N’est-ce pas magnifique, Dany chéri ? Gros soupir et,- Il y a longtemps que je n’ai vu une si belle neige.Dehors de gros et lourds flocons tombent, éclairés par les réverbères, rejoignant la couverture blanche et épaisse qui semble avoir avalé une grande partie de la ville.Je tiens ma mère étroitement serrée contre moi en savourant la façon dont son cul est plaqué contre mes jambes. Sa peau fébrile rayonne une chaleur et son parfum habituel me monte à la tête.- Oui, maman c’est beau, maman, mais pas aussi beau que toi…Dans le reflet de la fenêtre je vois le corps sexy de ma mère, à peine caché dans son déshabillé, ses seins et clairement dans la vitre, son abondante fourrure.- Tu es belle, maman. La plus belle femme que j’ai jamais vue.Ma mère sourit, le regard heureux et se retourne dans mes bras, et sans honte elle frottait ses seins charnus sur ma poitrine.- Dany ? Tu aimes mon déshabillé… je l’ai acheté hier au centre commercial en espérant que çà fera réagir ton père. Et ce soir je me suis dit que tu apprécieras plus que lui. Peut-être que sans m’en rendre compte je l’ai acheté pour toi…mon chéri.- Il est…génial…et sexy, maman. Je te remercie.Maman enroule ses bras autour de mon cou et son corps se presse plus fermement contre moi.- Nous ne pouvons plus ignorer ce qui se passe entre nous, n’est-ce pas ? Je t’aime, Dany. Je t’aime comme mon fils et je t’aime comme un homme. Comme l’homme que tu es devenu. Je ne peux plus refouler mes sentiments mon garçon.En disant ces mots maman me regarde d’un air plein d’amour mais anxieux. A-t-elle peur d’un refus de ma part ?- Oh, maman, je ne pense qu’à toi et je veux plus. Je t’aime, maman. Je rêve à cela depuis tant d’années. Je voudrais te ….Maman a mis un doigt contre mes lèvres pour me faire taire.- Ne rêve plus mon chéri. Maintenant nous allons vivre un véritable amour.Maman se met sur la pointe de ses pieds et m’embrasse. Ses lèvres se pressent fermement et avidement contre les miennes. Elle entrouvre ses lèvres et je suce sa langue dans ma bouche. Je goute sa saveur douce avec toujours ce parfum de jasmin qui l’entoure. Le baisé dure longtemps et nos langues se caressent langoureusement pendant que nos deux corps se pressent l’un contre l’autre. J’embrasse ma mère comme un homme embrasse une femme, comme un mari embrasse sa femme et… c’est merveilleux.Mes mains glissent lentement vers le bas de son dos et prennent les fesses généreuses. Je la soulève légèrement et dans le même temps maman soulève une jambe et agrippe le derrière de ma cuisse pour accompagner mon geste. Nous gémissons tous les deux quand je sens à travers mon léger short, le renflement de sa chatte poilue sur ma bite tendue. Maman d’une de ses mains réussi à tirer mon short vers le bas. Ma queue libérée se glisse dans l’épaisse forêt de son buisson velu. Je sens parfaitement la moiteur et cette délicieuse chaleur.Je continue de soulever maman et elle a maintenant les deux jambes enroulées autour de ma taille piégeant ma bite contre sa chatte luxuriante. Ma mère prend appui sur moi et d’un rapide mouvement elle déchire son beau déshabillé en disant haletante,- J’ai besoin de sentir le corps de mon amour de garçon contre le mien.Et pour la première fois, nous sommes nus, nos corps pressés l’un contre l’autre, mère et fils dans l’étreinte de deux amants. Nous nous embrassons devant la fenêtre, indifférent à toute personne qui pourrait nous voir.Je viens de recevoir mon plus beau cadeau de noël de toute ma vie !Maman se détache à regret et murmure:- Emmène-moi dans ton lit mon fils. Et fais l’amour à ta mère.- C’est un honneur et un plaisir que je ne peux te refuser, maman. Je t’aime.Je porte ma mère comme une jeune mariée vers le lit nuptial, je l’allonge sur le dos et je me mets à genoux entre ses cuisses. Ma bite vibre quand je vois cette vue céleste et inimaginable il y a peu de temps. Ma mère, nue et réveillée dans mon lit, jambes écartées, en attente que je lui fasse l’amour.Maman ferais pleurer de joie n’importe quel artiste peintre avec ses longs cheveux noirs déployés sur les oreillers, les seins lourd et charnus palpitants, les tétons long, gros et durs tandis que ses cuisses écartées révèle un paradis charnel, étincelant de jus féminin. Ses larges lèvres vaginales épanouie, révèlent sa chair rose baignée par un filet de cyprine qui coule à travers les plis de sa chatte. La bouche de maman est ouverte et elle respire fortement, ses yeux pleins d’amour i****tueux, de désir et d’envie pressante. Une de ses mains se soulève et un de ses doigts s’agite vers moi pour dire ” viens ici”.Je viens au-dessus d’elle et je m’abaisse en chuchotant;- Joyeux Noël, maman. Je t’aime…- Je t’aime mon fils, halète maman excitée. Joyeux Noël, pour tous les amoureux. Et elle soulève son bassin pour répondre aux battements de ma bite. Mon gland glisse entre ses lèvres labiales et je gémis sous cette douce chaleur qui enveloppe ma chair. Doucement, pour me rappeler de cet instant toute ma vie, je pénètre dans sa chatte millimètres par millimètres. Elle est chaude ma mère, soyeuse, humide à souhait et je m’enfonce…je m’enfonce.Maman pousse un soupir,- Mon dieu chéri ! Qu’elle est grande !Mais sans crainte je poursuis mon chemin vers le paradis et j’enterre complètement ma bite dans son vagin de velours. Ma bite et la chatte de ma mère semblent être fait l’un pour l’autre.Sans une pause, instinctivement, je baise ma mère et nos deux corps sont de concert comme si nous étions amoureux depuis des années. Les jambes de maman viennent derrière moi pour me saisir avec ses cuisses, ses talons sur mes flancs et elle guide le rythme de mes poussées. Je me sers de ses gros seins comme d’un oreiller, appréciant les sensations de ses mamelons durs et épais qui frottent contre ma poitrine velue. Je pose ma bouche sur la sienne et nous nous embrassons en taquinant nos lèvres mutuellement, léchant ou mordillant avant de finalement écraser nos bouches dans un baiser passionné d’amants i****tueux.Sous le grincement des ressorts qui marquent le rythme de nos ébats i****tueux nous gardons nos yeux ouverts, nous perdants dans le regard de l’autre.La chatte de ma mère serre ma queue et semble résister à chaque recul de ma bite pour ensuite se relâcher et, doucement, caresser ma chair quand je replonge dans sa gaine moelleuse et crémeuse. Enfoui profondément au fond de son ventre, son corps palpite de désir, masse mon sexe avant que de nouveau je me déplace dans ce trou merveilleux. A chacune de mes profondes poussées, les yeux de maman augmentent de largeur et semblent me supplier pour encore plus de sexe.Les bras de maman lâchent mon cou et elle s’agrippe à la tête de lit pour faire levier et permettre ainsi à ma bite de la fouiller au plus profond de son ventre. a atteint dos et saisi les rails en laiton de la tête de lit et utilisaient pour l’effet de levier pour Poussée plus farouchement au mon pénis fouiller. Maman quitte ma bouche d’un seul coup et crie sous son orgasme qui commence à exploser à l’intérieur de son corps.- Ouiiiii…encore ! Plus fort ! Baise ta mère ! Plus loin, plus profond, Dany ! OOOhhhh mon Dieu, tu me fais jouiiiirrrr… Dany. Tu fais jouir ta maman !Des larmes commencent à couler sur les joues de maman et elle se mord les lèvres pendant que des vagues de plaisir déferlent sur elle et sous les contractions de son corps sa chatte serre sur le même rythme ma bite enterré profondément dans son antre d’amour. Moi aussi je sers les dents pour ne pas me laisser aller sous ce plaisir incroyable qui peut m’envoyer au paradis. Maman, le dos arqué pour ne pas perdre un cm de mon sexe en elle continue de jouir sous son orgasme qui ne veut pas s’arrêter et son visage est déformé par le plaisir et reflète son état extatique.Enfin, maman s’écroule comme un pantin dont les cordes ont été soudainement coupées. Ses jambes retombent sur le lit et sa respiration est sifflante.- Whaou…mon amour… je n’ai jamais jouis comme ça avant toi !A ces mots ma bite palpite avec fierté et elle se gonfle de joie ce qui fait que maman laisse échapper un gémissement de plaisir et de nouveau m’enlace de ses jambe en déclarant,- Dany… fait-moi jouir encore une fois !Rayonnant de fierté, je recommence a baiser cette chatte brûlante et gourmande en modulant mes coups de bite pour savourer chaque petit grognement ou soupir de bonheur que ma queue provoque à ma mère. Maman a reprit son second souffle et elle recommence à accompagner mes poussées pour faire claquer bruyamment nos corps moites. En appui sur mes mains je commence à baiser ma mère fortement en frappant sa toison noire contre mon pubis et enchevêtrer nos poils humides. Je la regarde se tortiller sous moi, appréciant le spectacle érotique de ses gros seins lourds qui roulent et rebondissent de tous côtés. Avec douceur et précaution pour ne pas interrompre notre danse charnelle et i****tueuse, je lève ses jambes une à la fois et je les pose sur mes épaules. Maman recommence à crier très fort quand je m’enfonce dans la partie la plus profondes de son ventre, et que je cogne mon gland contre son utérus. Son second orgasme est immédiat et plus fort que le précédent. Son jus de chatte coule abondamment et inonde ma bite endolorie et tout à coup ses muscles chatte recommence leurs sarabandes pour masser et traire ma bite. Je m’enterre profondément dans le ventre de ma mère et j’att**** un sein lourd par en dessous et presse mes lèvres sur son téton tout dur. En aspirant cette tétine légèrement caoutchouteuse, l’orgasme de maman monte à un niveau encore plus élevé et un séisme ravage son corps qui provoque l’éruption de mon sperme par jets violents et répétés. Tout le corps de maman semble vouloir s’incruster dans le mien et continuant de crier et de trembler sa chatte enlace ma bite si fermement que j’ai l’impression qu’elle veut m’arracher ma bite.Je laisse tomber son mamelon et remontant, j’emprisonne ses lèvres et introduit ma langue dans sa bouche. Nous nous embrassons avidement, follement, avec passion surfant sur nos orgasmes mutuels. Il me semble que je ne vais jamais arrêter d’éjaculer, comme si j’avais préservé pendant des années mon sperme pour une chatte qui le méritait le plus, celle de ma mère bien-aimée. Peu à peu, nos corps se calment et la chatte de maman finit de traire les dernières gouttes de sa progéniture et nous reprenons une respiration normale.- Maman…c’était incroyable ! Tu es…merveilleuse ! Je t’aime encore plus !Maman hoche de la tête sans dire un mot et des larmes coulent de nouveau sur ses joues. Elle se met à trembler et à sangloter. Je la regarde avec inquiétude.- Maman, Ça va ?Je commence à vouloir me retirer de sa chatte mais elle m’att**** pour m’embrasser et m’entourer de ses bras et de ses jambes. Elle me tient fermement et pousse de nouveaux gémissements. Je suis partagé entre inquiétude et ravissement par cette soudaine étreinte qui bloque ma bite semi-dure et sa chatte qui n’est pas disposée à me libérer de son fourreau humide remplit de mon sperme.Plusieurs minutes s’écoulent, et les sanglots de maman commencent à s’estomper pour ne devenir que des reniflements. Une nouvelle fois je lui demande:- Maman… tout va bien ? Je t’ai fait mal ?Maman relâche son étreinte afin que je puisse la regarder.-Non chéri…Je t’aime tellement, Dany. Je n’ai jamais pensé…imaginer… que je ressentirais cela aussi fortement. Qu’un homme pourrait me donner un plaisir aussi grand… et surtout mon propre fils. Tout mon corps était en transes.- Alors pourquoi tu pleures, maman ?Petit rire étouffé et reniflement avant de répondre.- Les femmes sont ainsi faites mon fils. Quand leur amant leur donne un orgasme si puissant et si impérieux, elles ne contrôlent plus leurs émotions et elles peuvent pleurer de joie ou de désir incontrôlé. Elle s’essuie les joues et ajoute,- Merci, mon chéri…pour le plus beau moment de ma vie.Nous nous embrassons à nouveau, longtemps et avec amour. Puis avec regret, je me détache de ma mère et ma bite glisse hors de sa chatte chaude et humide. Maman reste recroquevillée contre moi et nous nous embrassons sur chaque partie de nos corps qui se trouve sous nos lèvres.- Mon cœur…crois- tu que nous avons commis l’irréparable ? – Que veux-tu dire, maman ?Demandais-je en regardant son visage angélique.Elle pousse un soupir et dit:- Nous avons souvent joué à ce jeu amoureux mais nous sommes restés toujours au bord de la porte interdite. canlı bahis siteleri Nous savions bien que nous étions attirés l’un par l’autre… que nous nous aimions mutuellement plus seulement comme mère et fils. Mais nous n’avons jamais sauté le fossé de l’i****te.Elle caresse mon visage.- Dany, nous ne pourrons plus revenir en arrière et les choses sont ce qu’elles sont et d’ailleurs je ne le veux pas. Nous sommes des amoureux maintenant. Je n’ai pas eu de rapports sexuels avec ton père depuis un bon moment et à l’avenir je ne lui en donnerais pas l’occasion. Je t’aime, Dany, et toi seul. Maintenant tu seras mon homme et mon amant.Mon cœur va exploser. Je pourrais hurler de joie ! Depuis des années je rêvais d’un instant comme celui ou ma mère me dirait… je t’aime, fais-moi l’amour !- Je t’aime aussi, maman. Comme un fou ! Moi aussi je ne veux que toi ! Personne d’autre, juste toi ma belle et merveilleuse maman !Nous restons enlacés silencieusement pendant une longue période dans le noir, heureux d’être ensemble mais pensant l’un comme l’autre à ce que notre avenir nous réserve. Enfin, je lui demande: – Alors, qu’en est-il avec Papa ?- Je l’enverrais bien en enfer mais… ton père et moi ne formons plus un couple. Notre mariage est mort depuis plus de 2 ans. Mais nous restons ensemble pour les jumeaux. Quand ils obtiendront leur diplôme dans deux ans, le lendemain je demande le divorce. En attendant… Sa voix s’affaiblit et j’ai peur de ce qu’elle va dire.- En attendant, nous ne pouvons pas être ensemble.Mais comme toujours ma mère lit dans mes pensées et en caressant mon pénis à demi-dressé.- D’ici là, nous saisirons chaque moment où nous pourrons être seuls tous les deux. Nous devons être prudents, mais tu es mon amant maintenant. Je n’abandonnerais cette belle bite pour rien d’autre au monde et elle est juste pour moi.Maman m’embrasse et me pousse sur le dos. Embrasse ma poitrine, taquine mes tétons qui ressortent aussi bien qu’une femme en chaleur et me fait gémir quand elle les suce et les mordille avec ses dents acérées.Sa langue voyage plus loin vers le sud et papillonne en dessous de mon estomac. Maman pose son visage sur mon aine et je sens son souffle quand elle frotte son visage dans mes poils pubiens. Maintenant, étendue entre mes jambes, maman regardé fixement ma bite se durcir rapidement sous ses caresses d’amoureuse.- C’est le plus beau cadeau de Noël que je n’ai jamais eu. Il m’a donné plus de plaisir en une nuit que j’en ai eue dans ma vie avec ton père, dit maman en riant.Et relevant ses sourcils.- Et elle est aussi beaucoup plus grosse que la bite de ton père Je pense que je suis gonflé comme un jeune coq qui vient de sauter sa première poule. Si je ne me retenais pas je crierais “Cocorico!”.Ma mère me fait revenir à la réalité quand elle commence à me sucer la bite. Elle me la suce, la lèche comme une friandise et nettoie notre jus de notre premier amour. Si elle manque de pratique elle sait comment sucer la bite de son fils.- Je n’ai pas toujours été sage quand j’étais plus jeune.Me dit maman comme pour plaisanter mais elle ajoute:- Mais c’est une autre histoire…Et sans lâcher ma queue terriblement redevenue dure elle me chevauche.- OOOhhhh…maman…Je ne peux m’empêcher de gémir quand elle guide ma bite dans sa chatte et quelle se laisse glisser dessus sur toute sa longueur. Je la sens encore grossir à l’intérieur de son vagin pour mieux apprécier sa gaine de velours. Je regarde son beau visage qui reflète son désir charnel et son excitation. Je n’ai jamais cette expression sur le visage de ma mère et à ce moment la mère s’efface pour laisser place à une femme en chaleur qui veut se baiser avec une bonne et grosse bite.Maman a commencé à monter et descendre sur moi, ses deux mains sur ma poitrine et ses ongles qui dessinent des arcs de cercle en s’enfonçant dans ma peau.- Je t’aime… je t’aime Dany, roucoule maman en prenant progressivement de la vitesse.La chatte de maman est vraiment un gant de velours humide qui encapsule mon sexe dans une chaleur ardente, liquide. Maman rebondie de haut en bas, ses seins affaissés par leur poids roulent et se balancent follement. Je la laisse faire et je reste juste dans l’axe de sa chatte chaude et mouillée si incroyablement douce et humide. Enterrer ma bite à fond dans la chatte de maman me semble à tort ou à raison l’état parfait que j’ai cherché toute ma vie !- Maman ! Je vais jouir !Je ne sais même pas si elle m’a entendue. Elle est dans son monde sexuel avec ses longs cheveux mouillés de sueur qui se balancer autour de son visage, ses gouttes de sueur sur sa peau distillent son parfum épais dans mes narines, me demandant de libérer mon sperme- Jouis ! Jouis en moi mon fils ! Elle ouvre la bouche, elle aussi sur le bord de l’orgasme.- Donnes-moi ta semence i****tueuse ! Tu es mon amant et je veux ton foutre Dany ! Remplis ta mère de ta liqueur de bébé ! Mets-moi enceinte, mon fils !- OOOIIIiiiiii !J’ai hurlé ce “oui” quand maman m’a dit ces mots et enfonçant ma bite le plus profondément possible dans le vagin de ma mère, ma bite explose et j’ai vu dans mon esprit des images de maman avec un ventre énorme, avec… mon enfant. J’inonde la chatte de maman avec une quantité incroyable de sperme.Maman cligne des yeux de surprise et cris de joie en sentant mon sperme chaud qui la remplit et lui procure un autre orgasme énorme. Maman gémit et cri et ne peux rien dire que:- DANY…DANY…DANY…DANY…DANY ! Maintes et maintes fois.Une nouvelle fois nos orgasmes mutuels se terminent avec une mère en larmes. Sachant maintenant que je ne suis pas directement responsable de ses larmes je la tiens fermement et la laisse crier comme elle veut et je savoure la sensation de ses larmes brûlantes sur mon cou. Quand elle reprend le contrôle d’elle-même, elle essaye de se retirer du pal qui la pourfend mais je la retiens en disant:- je ne suis pas prêt de te laisser te retirer, maman.Bien qu’un peu ramollie, ma bite est toujours à l’intérieur d’elle, et je ne veux rien faire d’autre que la tenir contre moi et que nos organes sexuels ne face qu’un.- Pour la vie, maman, toujours unis comme maintenant. Je t’aime.Et des larmes jaillissent à nouveau dans les yeux de maman qui me dit;- Pour toujours mon fils chéri. Je t’aime…à la folie !On s’embrasse passionnément et blottit l’un contre l’autre nous sombrons dans un sommeil profond, nos sexe réunis corps et âme pour passer le meilleur Noël de ma vie.Je me réveille pour voir et entendre la neige qui frappe la vitre de la fenêtre et découvrir avec joie ce qui m’a fait sortir de mon rêve érotique et surtout avec le plaisir merveilleux des lèvres de maman enroulées autour de mon sexe. Les couvertures sont au bout du lit et maman, en ce matin de noël, ressemble à un ange envoyé du ciel entre mes jambes, mon pénis en érection dans sa bouche. Maman me regarde émerger tout en suçant ma bite et la laissant glisser momentanément hors de ses lèvres:- Joyeux Noël, bébé ! Je ne sais pas si le Père Noël est passé, mais voici mon cadeau !Et sur un clin d’œil coquin elle reprend ma bite en bouche avec un petit ” Huuummm”Pendant plus d’une minute, je reste vautré dans ce plaisir i****tueux. Cependant, mes propres désirs montent rapidement dans mon bas ventre et surtout l’envie de rendre ma mère heureuse comme je le suis en cet instant. Maman gémit en signe de protestation, quand je délaisse doucement ses lèvres douces.- Je n’ai pas encore fini ! Grogne-t-elle.Je fais tomber ma mère sur le dos et je plonge entre ses cuisses.- Je sais maman… mais je veux juste te faire la même chose.Maman crie quand je frotte vigoureusement mon nez dans ses poils de chatte épais et noir.- Ooh, Mon dieu ! Dany… oh mon chéri !Elle gémit quand ma bouche cherche sa fente rose et que ma langue plonge entre ses lèvres humides pour les écartées et entrevoir les chairs fragiles de son chaud vagin. Je me retourne pour me mettre à cheval sur le visage de maman qui sans se poser de question reprend ma bite en bouche alors que je commence à lécher sa chatte juteuse.J’ai dans ma tête la vision charnelle et i****tueuse de nous deux, mère et fils, enfermés dans un soixante-neuf passionné, mes doigts écartant les fesses de ma mère pendant que j’enfouis mon visage profondément dans sa chatte crémeuse, faisant glisser ma langue sur son humidité rose, exhortant son clitoris de sortir de sa cachette pour faire crier maman de plaisir. Son jus au goût sucré / salé, mélangé avec mon sperme de cette nuit magique est un nectar des dieux. Ma figure est rapidement trempée par le jus de chatte de maman et son parfum capiteux remplit mes narines, excitant mes sens et mon envie pour cette chair tant aimée.Pour sa part, maman montre des talents insoupçonnés de suceuse expérimentée en prenant ma bite profondément dans sa gorge tandis que sa langue me rapproche de plus en plus de l’orgasme.Trop vite, me semble-t-il, nous jouissons ensemble et maman inonde ma bouche avec de grandes quantités de cyprine tout en avalant coup après coup de mon sperme épais. En attendant que nos orgasmes s’estompent lentement nous restons verrouillés dans cette position pour profiter de cet instant bienfaisant.Lorsque nous nous remettons cote à cote je regarde avec amour ma mère et je souri franchement.- Salut, Mère Noël ! J’aime bien tes moustaches blanches.Maman, qui n’a pas tout à fait réussi à avaler tout mon sperme, à des gouttes et un filet blanc de crème sur son menton et sa lèvre supérieure. Maman utilise un de ses doigts pour ramasser ma semence sur son menton. Maman lèche mon sperme sur son doigt et puis se penche en disant:- J’ai toujours enseigné le partage des bonnes choses !Et elle m’embrasse en déposant mon propre sperme contre mes lèvres et ma langue. Nous retombons dans le lit, riant et s’embrassant jusqu’à ce que nous perdions notre souffle.Enfin, je lui demande.- Que souhaites-tu que nous fassions pour ce Noël, maman ?- Je vais y réfléchir mon cœur.Maman ronronne et recroquevillés ensemble, maman s’assoupit doucement. Je la garde dans mes bras en regardant ce que je considère comme la plus belle femme que je n’ai jamais connu, m’émerveillant que ce corps voluptueux de femme aux cheveux noirs soit ma mère qui est maintenant ma maîtresse. Maman dans son sommeil a le sourire angélique d’une femme heureuse et comblée et moi aussi, enchanté, je m’endors.Je me réveille avec les odeurs de cuisine. Maman a l’air heureuse car elle chantonne en préparent le déjeuner, revêtue seulement de mon sweat-shirt et n’est plus inquiète de montrer son cul charmant ou sa magnifique chatte poilue.Pendant le déjeuner Maman m’a sacrément fait bander car elle n’a pas arrêté de caresser ma queue en me regardant manger. Ensuite je l’aide à préparer le poulet qu’elle mettra au four pour ce soir et elle me dit qu’elle aimerait bien avoir quelque chose dans son four. Une seconde plus tard on se retrouve dans mon lit pour s’aimer et faire longuement l’amour.Ce jour de Noël est passé à une vitesse folle. Nous avons mangé et bu du champagne, parler surtout de nous et de notre amour, mais nous avons surtout fait l’amour comme si cela faisait des années que nous en étions privé.Maman et moi ne pouvons enlever nos mains du corps de l’autre. Même quand ma bite, dépassée par les événements, est temporairement hors d’usage, je ne peux laisser ma mère tranquille et je lui bouffe la chatte jusqu’à ce qu’elle demande grâce en sanglotant.Et nous avons parlé…oh, comment nous avons parlé ! Toutes nos pensées et fantasmes accumulés depuis des années ont été évoqués ce jour de Noël. Maman m’a avoué qu’elle nourrissait depuis longtemps des sentiments intenses pour moi…- Pas uniquement ce désir sexuel, Dany, même si je rêvais souvent de ta bite, je savais que mon amour filiale c’était transformé en amour pour l’homme que tu devenais. Je savais que tu étais épris de moi, mais je pensais que tu traversais une phase normale de l’adolescence et qu’ensuite tu regarderais les jeunes filles de ton âge.J’ai attendu et craint pendant des années qu’une belle fille t’emmène loin de moi. Je me disais que cela serais une bonne chose mais je savais que cela me briserai le cœur!- Personne ne pourra m’arracher à toi ! Je t’appartiens Maman ! Cœur et âme ! Je suis amoureux de toi depuis ma tendre enfance et tu penses que çà ne s’est pas arrangé avec ma puberté !Un jour tu plantais des fleurs et je te regardais quand tu étais à genoux avec ton petit short en jean déchiré et en haut une sorte de bandana, tu te souviens ? Tu as levé la tête et tu m’as regardé dans les yeux en souriant mais d’une façon particulière. Tes joues étaient tachées de terre et tes cheveux tirés vers l’arrière en tresses. J’ai senti mon cœur battre très fort et pouvais à peine respirer. Depuis ce jour, te voir si belle, heureuse, et en lisant tout l’amour que tu me portais, je pense que je suis tombé éperdument amoureux de toi.Ensuite mes rêves étaient envahis par ta présence, je rêvais de faire l’amour avec toi …mais je n’ai jamais vraiment pensé que cela arriverait un jour !Je caresse son visage et pose délicatement mes lèvres sur les siennes avant de terminer.- Je suis le fils le plus chanceux du monde !Maman prend ma tête dans ses deux mains et avant de m’embrasser;- Moi aussi Dany, je suis une mère comblée par l’amour de son garçon. Un amour total, sans aucune barrière morale et physique. Je t’aime tellement Dany !Maman m’a avoué combien elle était malheureuse ces dernières années ou ses besoins sexuels n’était pas satisfait dans un mariage ou l’amour n’était plus présent. Maman a même évoqué les années soixante et soixante-dix et les désirs et fantasmes qu’elle avait au cours de ces années ou la liberté sexuelle est même devenue des mouvements à la mode.- Il y avait une partie de moi, un côté à demi nymphomane, qui rêvait de se libérer pour satisfaire tous mes désirs coquin, voir pervers pour m’abrutir de sexe et fêter ma sexualité devant le monde entier.Le ton et l’intensité de la voix de maman à cet instant est très troublant et inconsciemment je voudrais voir ce côté déchainé de ma mère.Elle a aussi piqué ma curiosité quand nous avons discuté de la nature i****tueuse de notre relation. Nous avons tous deux admis que le fait d’être mère et fils est un ingrédient très spécial et peut-être essentiel à notre relation. J’ai dit maman que je ne pouvais pas imaginer aimer n’importe qui.- Qui peut aimer autant sa mère qu’un fils ?Maman hoche la tête pensivement et répond:- Eh bien, peut-être que c’est naturel dans notre famille.Sa remarque attise mon attention et je lui demande ce qu’elle veut dire.Elle a juste un petit sourire et déclare qu’elle n’est pas encore prête à en parler.- Un jour peut-être, Dany, mais laisse les secrets de ta mère tranquilles encore quelques mois de plus.Cela n’est pas fait pour me faire oublier ses paroles et je suis maintenant vraiment intrigué.Notre Noël s’est terminé avec maman et moi couchés sur une épaisse couette devant l’arbre de Noël, nus comme le jour, que nous sommes nés, l’un contre l’autre pour se tenir au chaud. Devant les lumières clignotantes, je refais l’amour à ma mère. Nous sommes fatigués et un peu sensibles dans nos parties intimes, mais notre amour i****tueux nous transporte dans un monde de rêve où Noël nous apporte l’ultime cadeau de l’amour des uns et des autres. Je garde en mémoire le visage de maman quand elle est au bord de l’orgasme, la bouche ouverte, haletante, ses yeux reflétant son désir, l’amour et le plaisir.Puis elle se mord sa lèvre inférieure quand, enfin, notre passion éclate dans toute sa puissance et qu’une fois de plus, j’inonde son vagin de mon sperme i****tueux en déclenchant son propre orgasme.Même aujourd’hui, vingt ans plus tard, je me souviens de ce moment, nos corps en sueur cimentés, les seins généreux de maman qui rebondissent et roulent quand elle tremble sous les spasmes de son orgasme, ses pleurs en criant mon prénom, ses bras et ses jambes verrouillés autour de mon corps, exigeant une étreinte plus serrée, encore plus intime, alors que son ventre presse et extrait de ma bite tout mon sperme.Nous nous sommes endormis là, sous l’arbre de Noël, maman recroquevillés contre moi, me tenant serré comme si j’étais un miracle de Noël qui disparaîtra le lendemain matin.Au petit matin, nous sommes toujours là, toujours enlacés comme deux amants. Noël est passé mais l’amour que nous avons l’un pour l’autre et la pour toujours.
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