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RémyL’été où j’avais fini mes études au lycée et j’allais rentrer en fac je me suis trouvé un job pour gagner de l’argent de poche. J’avais été embauché pour repeindre des couloirs et la cage d’escalier d’un hôtel situé en ville pas très loin de chez moi. Le chantier était assez conséquent et j’en avais pour trois semaines. Je passai donc mes journées sur une échelle à lessiver et repeindre toutes les surfaces. Je devais être attentif d’abord pour faire du bon travail mais aussi parce que l’hôtel n’était pas fermé et des clients passaient de temps à autre à proximité de ma zone de travail. Le travail était un peu monotone et je m’amusai quand on ne me voyait pas à regarder dans les chambres par la vitre qui était au-dessus des portes pour faire rentrer de la lumière dans le couloir. Ça m’amusait de voir travailler les femmes de ménage ou d’admirer le gros bordel que certains clients laissaient derrière eux. L’état de certains lits au matin révélait un champ de bataille équivoque. J’étais amusé quand j’arrivais à me souvenir des clients qui les avaient occupés. J’étais puceau et donc un peu excité par cette ambiance.Le matin perché sur mon échelle il m’arrivait aussi d’entendre assez bien les conversations des clients qui n’étaient pas encore parti. Souvent des échanges banaux sur les projets de la journée ou le rangement des valises. Parfois c’était plus croustillant. Un jour j’entendis une voix d’homme dire « Ne mets pas ta canlı bahis şirketleri culotte, j’ai envie de toi ». Puis une voix de femme répondre « viens j’ai envie de te sucer » suivi de gémissements. De nouveau l’homme « tourne toi donne-moi ton cul » suivi des grincements de lit répétitifs puis la femme « Oui défonce moi, vas-y, plus fort » et l’homme « t’aime ça salope ; dis-le que t’aime ça te faire démonter le cul ». Suivirent des aveux inavouables de la femme que j’écoutai surpris et ravi de l’entendre crier quand elle a joui. Une heure après ce beau couple au look classique est passé devant moi en partant sans même me saluer. C’est pendant cette période que j’ai été dépucelé dans des circonstances amusantes. Une fin d’après-midi j’avais vu arrivé une cliente seule, grande belle femme dans la trentaine, avec une petite valise. Elle avait le look de la commerciale en tournée avec une élégance sobre. Une heure après alors que je terminais ma journée une toute jeune femme petite et mince, habillée comme une étudiante avec un jean et un tee-shirt sobre mais déformé par de beaux seins l’a rejointe discrètement. Elle n’avait pas de bagage. Je me suis dit « ça doit être sa fille ». Le lendemain matin je travaillais, pas loin de leur chambre, et j’ai vu qu’elles avaient mis sur la poignée l’étiquette « Ne pas déranger ». Je n’ai pu m’empêcher de déplacer sans bruit mon échelle et de commencer à lessiver le plafond canlı kaçak iddaa au-dessus de la partie vitrée qui me donnait une vue plongeante sur le lit. Elles étaient nue enlacées et je me suis écarté un peu pour continuer à voir sans être vu. Elles s’embrassaient et se caressaient partout. Moi je bandais comme un âne. Puis elles se mirent en tête-bêche pour se bouffer le minou. C’est la grande femme qui avait l’initiative et le jeune qui subissait en écartant ses cuisses en grand et en suçant avidement sa maîtresse. La grande femme entrepris ensuite de masturber la fille en la pénétrant tout en lui suçant les seins. J’entendais la jeune gémir et dire « Oui, continue, tu es bonne, tu vas me faire jouir ». Mais la femme s’arrêta, alla à sa valise et en sorti un gode ceinture. Pendant qu’elle s’équipait le jeune se mis en levrette au bord du lit et cuisses ouvertes attendit en me masturbant. La femme la baisa longtemps et la fille finit par s’écrouler secouée de spasmes. Au bout d’un moment elle dit « tu m’as faite jouir comme une folle, je t’aime ». Et elles s’embrassèrent de nouveau puis la grande dit « ça fait égalité car cette nuit tu m’as possédée en diablesse que tu es. Surtout Tu ne dis rien aux autres que je puisse continuer à vous faire cours ». En reculant l’échelle j’ai fait un peu de bruit et j’ai dû me déplacer rapidement pour ne pas être soupçonné. La fille de nouveau lookée en étudiante à quitter l’hôtel canlı kaçak bahis très discrètement peu après. Et la femme a ouvert sa porte et m’a fait signe de venir. Elle était habillée élégamment et m’a fait rentrer dans la chambre. Elle a fermé la porte à clé et s’est appuyée contre. Puis en me regardant fixement elle me dit « alors petit tu t’es bien rincé l’œil en nous matant ». J’ai rougi jusqu’au bout des cheveux. Elle ajouta « Je t’avais vu mais et je t’ai laissé profiter car ça m’excitait que tu regardes et que tu t’instruises. Alors dis-moi ça t’as plu ?».Moi hésitant j’ai avoué « Oui je vous ai trouvées belles ensemble et ça m’a excité ». Puis on a parlé pour détendre l’atmosphère. Elle m’a demandé mon prénom, Rémy, ce que j’allais faire comme études puis ajouta « on se croisera peut-être je suis assistante à la fac et la fille que tu as vu avec moi est une de mes étudiantes. Puis elle me questionna de façon plus intime sur ma sexualité et elle compris vite que j’étais vierge. Elle s’approcha de moi, se mit à genoux, sortit ma bite déjà tendue et me pris dans sa bouche. Elle me suça habillement en me regardant dans les yeux et en caressant mes testicules. J’étais très sensible très vite elle sentit que j’allais éjaculer. Elle se releva et me branla en massant bien mon gland. J’ai envoyé ma giclée de sperme sur la porte. Elle me fit un baiser au coin de la bouche et dit « Je ne te propose pas plus, je n’aime pas me faire pénétrer par un homme. Tu gardes un secret absolu sur tout ce que tu as vu aujourd’hui ». Puis elle me caressa la joue en ajoutant « t’inquiète pas à la fac tu trouveras facilement une copine avec qui faire l’amour ». Puis elle m’ouvrit la porte.

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